Etdes artistes, dans la rue comme sur scène, vous feront immerger dans l’ambiance d’une fête maritime authentique. Après une année 2020 sans fête, à cause de la COVID et d’une année 2021 de reprise, avec des artistes exclusivement locaux ; la 28ème édition est celle du retour d’une province invitée.
En 2016 Jean-Pierre Sidois songe à se retirer et à vendre la collection. C’est ainsi que Jean Boghossian, artiste renommé, résident régulier de la presqu’ile, décide de racheter celle-ci dont il est tombé amoureux. Issu d’une lignée de joailliers établie au 19ème siècle, Jean Boghossian perpétue le savoir-faire familial et se spécialise dans les pierres précieuses de couleur, marque de la Maison Boghossian tout en développant en parallèle une carrière artistique auquel il se consacre entièrement depuis 2010. Son travail a été présenté dans de nombreuses expositions à travers le monde. Il co-fonde la Fondation avec son père Robert et son frère Albert Boghossian en 1992. C’est sous son impulsion que la Villa Empain Bruxelles est restaurée en vue d’en faire un centre d’art et de dialogue entre les cultures d’Orient et d’Occident. La Fondation Boghossian s’est fixé comme objectifs prioritaires la formation et l’éducation de la jeunesse ainsi que l’enrichissement du dialogue entre les cultures d’Orient et d’Occident. La Fondation Boghossian propose une programmation artistique foisonnante et des activités originales tout au long de l’année expositions, concerts, conférences, spectacles de danse, ateliers pour enfants, rencontres d’artistes, visites guidées, projections de films, performances, cours de yoga… Elle continue à soutenir de nombreux projets sociaux, éducatifs et artistiques, en Belgique, au Liban et en Arménie. Le rôle de l’art est de créer un monde qui peut être toléré » William Saroyan.
Cest au total plus de 4000 coquillages venus des mer du monde entier qui sont présentés au public. Des plus petits mesurant 1 dixième de millimètre au plus grand faisant plus d'1,70 mètres! Ce musée est né de la passion Jean-Pierre Sidois, le directeur bénévole de SOS Grand Bleu et passionné de coquillages. Il est aujourd’hui le conservateur du musée. Site internet. Horaires -
Le musée de la Mer et du Coquillage est un espace unique en Martinique ! Ce musée se situe au cœur du village de la Poterie des Trois Îlets. Un lieu hors du commun, réalisé par un privé et passionné du monde marin. On y trouve plus de 4000 espèces de coquillages du monde entier, dont 700 prélevées dans les mers des Antilles. Venez faire la découverte des coraux, coquillages, oursins, étoiles de mer, crabes, mâchoires, de requins et autres poissons naturalisés, dans un premier temps… Vous participerez ainsi, à une visite ludique, intéressante et surtout très enrichissante. Comptez donc environ 1 heure pour apprécier ces 200 m2 d’exposition. En plus, de jolies fresques sont reproduites sur les murs. Vous aurez l’impression d’être comme dans un aquarium. Prenez le temps de lire attentivement tous les panneaux d’informations qui vous éclaireront sur les fonds sous-marins et les espèces aquatiques que l’on peut y rencontrer. Plongez dans l’univers fascinant de la mer et de ses trésors. La faune sous-marine n’aura plus de secret pour vous. Accessibilité et horaires d’ouverture Le musée est accessible à tous. Ouvert du lundi au dimanche de 9 heures à 18 heures, sans interruption. La visite est libre mais peut être guidée sur réservation. Contactez-nous en ligne. Au musée de la mer, nous accueillons avec beaucoup de plaisir, les groupes, les scolaires, les centres aérés… D’ailleurs, un carbet est à votre disposition pour pique-niquer ou se reposer. Et puis, sur demande, nous pourrons vous proposer un tarif spécialement conçu pour les groupes. La boutique du musée de la Mer et du Coquillage En outre, une boutique est à la disposition des visiteurs. A la boutique du Musée de la Mer, vous pourrez trouver des idées cadeaux, ou déco, des souvenirs, dents de requins, coquillages, colliers, bracelets, boucles d’oreilles… Aussi, de l’artisanat local, pour rapporter dans vos valises un joli souvenir de votre passage chez nous. Après, venez découvrir notre sélection de livres pour les plus petits. A savoir des contes sur la mer, coloriages, des bandes dessinées … Mais aussi des ouvrages plus spécialisés sur la faune marine pour les plus grands et les passionnés de la mer ! A très bientôt !

LaGalerie de Coquillages. Unique à Maurice, World of Seashells présente 8 000 pièces de la collection de M. Le Court de Billot. Ce conchyophile mauricien passionné a collecté des coquillages du monde entier avec le souci du respect des écosystèmes et des espèces. Cette collection commence avant lui, avec ses parents qui vont la lui

S’il y a une bâtisse charmante au bout de l’île de Ré, c’est bien celle du Musée de la mer, située au pied du phare des Baleines. Le lieu a été fermé il y a environ cinq ans, après la mort de sa propriétaire, une dame âgée, toujours accueillante et avenante. Marie-Paule Durand était intarissable d’anecdotes sur chaque objet exposé dans ce musée privé, qui était en son temps ouvert d’avril à novembre. Vendredi prochain 16 mai, le contenu du musée sera vendu aux enchères à La Rochelle. Autrefois il s’est intitulé Musée de la Mer et des Colonies. A l’intérieur figuraient bien sûr des objets usuels rétais, mais aussi des témoignages de voyages. Preuve en sont les objets qui seront dispersés ce jour-là figures de proue, maquette de bateaux en tous genres, dont une très belle pièce une maquette de frégate du 18ème siècle, réalisée par Gustave Massé alors Maître du Phare des Baleines, qui faisait l’orgueil de Madame Durand. Il y a aussi des octants, des compas de navigation, des lanternes, des tableaux, des objets d’Extrême Orient et d’Afrique, des dagues de chasse, des armes de parade, des lots de coquillages et de carcasses de crustacés, celle d’un homard de grande taille trouvé à l’île de Ré quand on avait la chance encore d’en pêcher, des poissons, des reptiles et des poissons naturalisés, des fossiles, un herbier d’espèces marines, et j’en passe bien sûr… Dans une éprouvette il y a même des pierres et des cendres provenant de l’éruption du Mont Pelée en Martinique, survenue le 2 mai 1902, avec étiquette de certification. Un boulet de canon trouvé sur une plage de l’île de Ré fera peut-être le bonheur d’un collectionneur. Une vente à l’image de ce musée hétéroclite, singulier et intéressant… Sur le site de l’étude de Maîtres Lavoissière et Gueilhers, en charge de la vente, vous pouvez découvrir les 141 lots mis aux enchères. Le musée a été créé en 1926 par le Docteur Gorce, alors médecin au pénitencier de Saint-Martin de Ré. Il était le père de Madame Durand. Objets inanimés avez-vous donc une âme ? disait le poète Alphonse de Lamartine. Navigation de l’article

ACTIVITÉSMANUELLES DE LA MER. Manifestation culturelle, Pour enfants, Pour enfants LE PORTEL, 62480 Le 26/08/2021. Jeudi 26 août à 15h30 à la bibliothèque de plage. Trouve sur la plage de jolis coquillages et viens fabriquer des décorations, une fresque Gratuit, à partir de 6 ans sur réservation au 03 91 90 14 00. Expo - Tableaux en coquillage - Youenn Durand. Pêche

Le musée du quai Branly-Jacques Chirac à Paris met actuellement à l'honneur l'Océanie. Jusqu'au 25 septembre, l'institution organise une vaste exposition sur l'art des massues du Pacifique. Une première pour ces objets d'exception méconnus et mésestimés. Jusqu’au 25 septembre, le musée du quai Branly-Jacques Chirac Paris, VIIe arrondissement présente sur l’une de ses mezzanines une exposition passionnante sur les massues d’Océanie, sous le commissariat de Steven Hooper. Armes ou symboles du pouvoir, ces objets du Pacifique aux profils étonnants et enrichis de motifs peints ou gravés ont été collectionnés depuis le début du XIXe siècle par des voyageurs ou des amateurs de formes originales. L’occasion de découvrir les multiples facettes de ces objets ethnographiques d’exception, méconnus et souvent mésestimés. Force et pouvoir Longue de plus d’un mètre et demi et pesant neuf kilos, cette massue qui ouvre l’exposition n’est pas une arme pour assommer l’ennemi mais un symbole de l’autorité du représentant de la population de l’une des innombrables îles d’Océanie, de la Nouvelle-Guinée à l’île de Pâques. En soulevant cette lourde et encombrante massue à deux mains, le chef montrait son allégeance aux dieux et prouvait son aptitude à protéger son peuple. Massue à deux mains début du XIXe siècle des îles Fidji, présentée dans l’exposition Prestige et pouvoir », musée du quai Branly-Jacques Chirac, Paris, 2022 ©Guy Boyer. En lien avec la mer De nombreuses massues ont la forme d’une pagaie, un motif récurrent en lien avec la mer environnante. Leur ligne élégante témoigne du savoir-faire de ces sculpteurs océaniens qui n’avaient, pour outils, que de la pierre, des coquillages ou des dents de requin. Ce n’est qu’avec l’arrivée des Européens que les méthodes ont changé grâce à l’introduction de l’herminette, de la hache et des ciseaux en métal pour la taille du bois et la création de motifs sculptés. Cette pratique est désormais abandonnée. Détail d’une massue en forme de pagaie milieu du XIXe siècle des îles Salomon, présentée dans l’exposition Prestige et pouvoir », musée du quai Branly-Jacques Chirac, Paris, 2022 ©Guy Boyer. Tête d’oiseau ou de tortue Sur cette gravure dessinée par Sydney Parkinson et gravée par Thomas Chambers à la fin du XVIIIe siècle, on reconnaît l’une des massues océaniennes en forme de tête d’oiseau ou de tortue. Leurs surfaces, polies à l’aide d’une pierre ponce ou d’un racloir en défense de porc, permettaient de s’en servir comme d’un bouclier pour écarter de leur trajet les lances ou les flèches de leurs ennemis. Pour obtenir ces larges formes plates et ces courbes contre nature, la croissance des jeunes arbres était orientée avec soin. Gravure d’un guerrier de Nouvelle-Zélande 1773 de Sydney Parkinson, présentée dans l’exposition Prestige et pouvoir », musée du quai Branly-Jacques Chirac, Paris, 2022 ©Guy Boyer. Massues et bâtons Ces massues et bâtons étaient utilisés lors de cérémonies et parades qui précédaient les expéditions punitives contre des populations ennemies. Leur poids léger permettait de les manier facilement et de les faire tournoyer à grande vitesse suivant une chorégraphie savante. Comme le prouve la dernière à droite, certaines massues étaient ornées de fibres végétales, de plumes, de coquillages ou de fourrures mais ces décorations ont le plus souvent disparu. De gauche à droite Bâton d’autorité biface milieu du XIXe siècle de l’île de Pâques, bâton de danse en forme de double pagaie milieu du XIXe siècle de Nouvelle-Irlande, massue cérémonielle milieu du XIXe siècle de Nouvelle-Bretagne, massue ornée début du XXe siècle de l’est de la Nouvelle-Bretagne, présentés dans l’exposition Prestige et pouvoir », musée du quai Branly-Jacques Chirac, Paris, 2022 ©Guy Boyer. Un répertoire de formes Qu’ils soient triangulaires, arrondis ou pointus, ces massues et bâtons de chef de guerre constituent un véritable répertoire de formes. Certains sont ajourés, d’autres gravés de motifs géométriques. Ces formes et ces motifs ici, un soleil, là un crocodile sont si séduisants que ces objets ont été réunis par d’importants collectionneurs qui n’étaient pas connaisseurs de cet art lointain mais sensibles aux correspondances avec l’art moderne ou contemporain. Deux massues bifaces des îles Marquises ont ainsi appartenu respectivement à la créatrice de cosmétiques Helena Rubinstein et au sculpteur Arman. Détail d’un bâton de danse milieu du XIXe siècle des îles Salomon, présenté dans l’exposition Prestige et pouvoir », musée du quai Branly-Jacques Chirac, Paris, 2022 ©Guy Boyer. Quelques provenances originales L’exposition précise, dès qu’elle peut, la provenance de ces œuvres en bois. Ainsi, une hache-ostensoir » a été collectée en Nouvelle-Calédonie lors de l’expédition d’Antoine Bruni d’Entrecasteaux à la recherche des navires de La Pérouse à la fin du XVIIIe siècle et une hache-massue tamahawk » a été ramenée des îles Salomon par le capitaine Arthur Middenway qui servait dans le Colonial Service dans les années 1920. Ici, à droite, la massue en forme de hache provient de la collection de René Choussat, commissaire de bord pour les Messageries Maritimes, qui navigua vers 1930 à bord du La Pérouse entre Sidney et Port Patterson. Massue avec une projection quadrangulaire XIXe siècle de l’île de Pentecôte, massue à large pale sculptée début du XIXe siècle des îles Fidji, massue à large pale milieu du XIXe siècle des îles Fidji, massue racine » milieu du XIXe siècle des îles Fidji et massue en forme de hache XIXe siècle des îles Banks, présentées dans l’exposition Prestige et pouvoir », musée du quai Branly-Jacques Chirac, Paris, 2022 ©Guy Boyer. Pouvoir et prestige. Art des massues du Pacifique » Musée du quai Branly-Jacques Chirac, Paris 37 quai Branly, 75007 Paris jusqu’au 25 septembre 2022

Uneimportante collection de coquillages en provenance de Martinique ,Guadeloupe,Madagascar,Mexique cadre feutré.A voir absolument,Morne La Cro

Ruines du château Dubuc Jardin botanique de Balata Musée d'archéologie, musée vulcanologique, Maison de la Canne, jardins botaniques, musée du coquillage et de la mer ... Le guide. Jardin de Balata Sur la Route de la Trace, entre Fort-de-France et le Morne Rouge, aux pieds des Pitons du Carbet, Jean-Philippe Thoze a créé un magnifique jardin paysagé qu'il a parsemé avec goût, de plus de 3000 espèces de plantes tropicales patiemment collectionné au fil des ans. La Maison du Bagnard C'est au début des années 60 que Médard Aribot, ancien bagnard, édifia cette curieuse maisonnette aux pieds du Morne Larcher. Une maison de poupée en bois ornementé, et peinte de couleurs vives, jouissant d'un panorama magnifique sur la mer Caraïbe. En face, le rocher du Diamant et le canal de Sainte-Lucie, à gauche, les kilomètres de sable de l'Anse Diamant. La place de la Savane Face à la baie de Fort de France et aux pieds du Fort Saint-Louis, la place de la Savane, un grand jardin en forme de quadrilatère parsemé de petites allées et d'arbres majestueux est un des hauts lieux de la vie sociale foyalaise. Maison de la Canne Fondée dans les murs de l'ancienne distillerie de Vatable, la maison de la canne présente l'histoire de la canne à sucre depuis son introduction en Martinique au milieu du XVIIème siècle, et met l'accent sur le système esclavagiste qui lui est intimement lié. Musée départemental d'archéologie et de préhistoire Derrière sa façade austère d'ancien bâtiment d'intendance militaire, le musée départemental d'archéologie et de préhistoire cache une riche collection d'objets mobiliers permettant de mieux cerner l'histoire et le mode de vie des premières populations amérindiennes ayant habité la Martinique Vème siècle avant JC avant de disparaître sous les coups de boutoir de la colonisation. Sa collection archéologique, la plus riche des Petites Antilles, comprend plusieurs milliers d'objets rituels, de figurines et d'outils découverts lors de fouilles sur l'île. Musée de la Banane Cette exploitation bananière toujours en activité, a transformé une partie de son domaine en musée. A l'entrée, un vieux bâtiment au joli toit de tuile, aménagé en salle d'exposition retrace l'histoire de la banane et les techniques de culture employées aux Antilles. Vous saurez enfin pourquoi les régimes visibles dans les champs sont entourés de sac en plastique bleu. Musée de la Mer Le musée du coquillage et de la mer présente une très intéressante collection de plus de 2000 espèces trouvées le long des rivages du monde entier. Les coquillages des côtes de la Martinique et des autres îles de la Caraïbe y sont évidemment à l'honneur, avec la présentation de quelques 700 spécimens antillais. Musée Frank A Perret Fondé en 1932 par le vulcanologue américain Frank A Perret venu en Martinique étudier de près les nouvelles éruptions de la Montagne Pelée 1929-1932, le musée réunit une belle collection d'objets exhumés des cendres de la ville de Saint-Pierre après la catastrophe du 8 mai 1902. Musée régional d'histoire et d'ethnographie Situé dans l'ancienne demeure du directeur de l'artillerie, une belle maison créole de la fin du XIXème siècle 1887, le musée régional d'histoire et d'ethnographie retrace l'histoire de la Martinique et celle de l'esclavage à l'aide d'expositions temporaires et d'une belle collection permanente. Sentier botanique des Ombrages Dans le nord de la Martinique, "les Ombrages", sentier botanique aménagé au creux d'une ravine parcourue de petits cours d'eau, était une formidable introduction à la découverte du milieu naturel du nord de l'île. Il fut malheureusement fermé au public après le passage d'une tempête en 2009. Ouverture du mardi au vendredi : de 10h à 12h et de 14h à 18h. Samedi et dimanche : de 14h à 18h. Juin et septembre, fermeture à 19h. Pour apprécier la richesse du musée, prévoyez une heure de visite. Visite guidée pour groupe sur demande. Musée de l’Amiral, Penhors-Plage - 29710 POULDREUZIC Tél. : 02 98 51 52 52 Vous ne pouvez pas visiter cette page car bookmark/favoris périmé Un moteur de recherche possède un listing périmé pour ce site une adresse erronée vous n'avez pas accès à cette page La ressource demandée n'a pas été trouvée Une erreur est survenue pendant l'exécution de la requête. Veuillez essayer l'une des pages suivantes Page d'accueil Si les difficultés persistent, merci de contacter l'administrateur de ce site. Article 4 introuvable . 73 51 400 672 564 415 401 430

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