Doncdéposes une couronne de diamants sur la tête de ma mère Sur la tête de ma mère Sur la tête de ma mère Sur la tête de ma mère, la tête de ma mère La tête de ma mère 1,9,7,4 Et les turcs viennent, viennent piller le pays Un coup d'état et bim, Chypre ressemble à la Palestine
alpha T artiste Tété titre Oyfn veg Oyfn veg shteyt a boym Shteyt er ayn geboygn Ale feygl funem boym Zaynen zikh tsefloygn Sur la route, un arbre pleure Ses bras déchirent le brouillard Les oiseaux, chers à son cœur Sont partis, un beau soir Oh ma mère, écoute-moi Il me faut des ailes Le temps de claquer des doigts Je peux être une hirondelle Je vais me nicher dans l’arbre Je vais sécher ces larmes Et près de lui tout l’hiver Je lui chanterai cet air la la la Non, dit la mère, non, mon fils En pleurant à chaudes larmes Sur ton arbre, tu vas geler Ce serait pour moi un drame Mais maman, cesse de pleurer Tu abîmes tes jolis yeux Et voilà qu’en moins de deux Je suis un oiseau de feu Veynt di mame, Itsik kroyn Je um gotes viln Nem zikh mit a shalikl Kenst zikh noch farkiln Di kaloshn tu zikh on S’geyt a sharfer vinter N’oublie pas tes bas de laine N’oublie pas combien je t’aime Et la mère couvre son moujingue Sous une montagne de fringues Et lui dit que de son arbre Il irait droit sous le marbre J’essaie de battre des ailes Impossible de décoller Je ne suis qu’un faible oiseau Et tant de choses sur le dos Je regarde avec tristesse Les yeux de ma mère Son amour et sa tendresse Ont brisé mon rêve Oyfn veg Shteyt a boym Shteyt er ayn geboygn Ale feygl funem boym Zaynen zikh tsefloygn La la la
REFRAINJ'ai dans le sang de quoi faire trembler la France, De Roubaix au Liban, de Nicosie en passant par Oman, Qui que tu sois tu ne peux pas teste j'suis la fille d'une guerrière, donc déposes une couronne de diamants sur la tête de ma mère. Sur la

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Lasolution Réunir les sommes Pour que nos voix se séparent de leurs ombres Mais ici bas Je ne vois pas de lumen Ici bas Je ne vois pas mon ombre J'suis dans ma tête Mauvaises pensées Cœur à l'arrêt Capitonnée Plus de lumière Peu de bougie Comme à l'ancienne Baigné dans le noir Sur le sentier Des âmes en peine J'ai plus la mienne
Harry Potter 2005 ~¤~ Autres Lieux Magiques ~¤~ A l'étranger Re Sur la Côte d'AzurInvité, le Dim 23 Mar - 1430 Luia se laissa entraîner par sa soeur plus loin, bras-dessus bras-dessous. Là-bas enfin elle se savait pas encore où, elles seraient sûrement plus tranquille et les enfants ne les embêteraient pas ou peu. Après quelques temps, elles arrivèrent à une jetée un drôle de mot Moldu encore mais bon..., la jeune Lionne enleva ses tennis et ses chaussettes après s'être assise. Elle mit même ses pieds dans l'eau. Luia se tâta à faire de même mais hésita peu et le fit. L'eau était tiède en cette période de l'année. Tandis que Luia en profitait, Jessica commença à parler- Alors, c'est moi qui commence ? Hmm... Bah il y a pas grand choses de bien nouveau. Les cours sont, pour la plus pars, plus qu'ennuyeux. En HDM, on avait un travail de groupe et on pouvait causer au tableau de en Divination, on devait lire dans une boule de crystal, c'était hyper bizarre. J'ai rencontrée de nouvelles personnes. Puis j'ai tentais d'attraper une Acromentule... Je me suis aussi retrouvée à faire une farce dans la cabane hurlante qui s'est plutôt mal passée... Et d'autres choses. Je suis super contente d'être enfin à la maison, même si ce n'est que pour quelques jours, mes crétins de frères m'ont manqués ! Même papa et m'man ont finis par prendre un congé même si ma ma mère reste une mordue de travail. J'te parie, qu'elle aurait atterrit à Serdaigle ou à Poufsouffle...Luia sourit sa soeur était toujours aussi bavarde, comme Luia. Cette dernière était aussi bosseuse mais sûrement pas autant que la mère adoptive de sa soeur. La jeune Aigle écouta la jeune Lionne parlait des cours, des rencontres et tout et se revit elle-même à Poudlard, quitté depuis déjà quatre ans. Bref, la jeune Lionne racontait sa vie mais Luia s'en fichait bien et écoutait tout son monologue, Jessica observa les alentours et les gens présents sur la plage. Elle devait penser à son enfance ici et salua même deux/trois connaissances ou amies. Luia ne connaissait pas ce sentiment mais elle le comprenait, pourtant. Enfin, la jeune Lionne lui demanda en se retournant vers elle- Et toi, quoi de neuf ? Racontes moi tout ! La France te plaît ? Et ton job d'Auror ?,La jeune Lionne s'arrêta et rongea ses ongles, décrivant des cercles dans l'eau avec ses pieds et attendit la réponse de Luia. Cette dernière sourit et répondit de suite-Eh bien, moi, y'a beaucoup de neuf. La France, c'est génial, j'adore quoi. Tu as eu de la chance de vivre toute ta vie dans ce beau pays même si je n'oserais pas y vivre toujours car j'adore la Grande-Bretagne. J'ai visité des tas de choses et de villes sinon avant d’atterrir ici. Sinon, j'adore mon boulot, c'est celui que je voulais faire depuis toujours. C'est intense et tout mais j'adore combattre le mal et tout. Bon je suis encore en formation et j'ai hâte d'être enfin sur le terrain et de combattre le mal. Sinon je joue encore au Quidditch, j'ai un appartement à moi c'est toujours le même mais pour moi toute seule, je continue aussi à faire des rencontres et j'ai un petit-ami il a 17 ans et il est encore à Poudlard, à Gryffondor, il s'appelle Gabriel West. Tu le connais peut-être? Et toi avec les garçons?Luia se rendit compte qu'elle posait la question à tous connaissances, amis, famille, etc. ces derniers temps. Elle sourit à Jessica et joua à mettre puis démettre ses pieds dans l'eau en attendant de voir ce que lui dirait la jeune Lionne en reprenant son souffle. Invité Re Sur la Côte d'AzurInvité, le Sam 5 Avr - 1938 HRPGJessica se rongeait les ongles, ses pieds décrivant des cercles dans l'eau tiède. Elle était tout simplement contente d'être ici, chez elle, au près de sa soeur. Elle ne cessait de lui jeter des coups d'oeuil, se disant qu'elle aurait aimée passer plus de temps avec elle. Mais bon, elles rattrapaient le temps perdu, elles apprenaient à se connaître doucement, certes, mais sûrement. -Eh bien, moi, y'a beaucoup de neuf. La France, c'est génial, j'adore quoi. Tu as eu de la chance de vivre toute ta vie dans ce beau pays même si je n'oserais pas y vivre toujours car j'adore la Grande-Bretagne. J'ai visité des tas de choses et de villes sinon avant d’atterrir ici. Sinon, j'adore mon boulot, c'est celui que je voulais faire depuis toujours. C'est intense et tout mais j'adore combattre le mal et tout. Bon je suis encore en formation et j'ai hâte d'être enfin sur le terrain et de combattre le mal. Sinon je joue encore au Quidditch, j'ai un appartement à moi c'est toujours le même mais pour moi toute seule, je continue aussi à faire des rencontres et j'ai un petit-ami il a 17 ans et il est encore à Poudlard, à Gryffondor, il s'appelle Gabriel West. Tu le connais peut-être? Et toi avec les garçons? La blonde arrêta enfin de se ronger les ongles et elle sourit, réfléchissant aux paroles de la brune. Elle était contente pour elle, celle-ci était devenue Auror, comme elle le souhaitait. Sans doute un autre point commun avec sa cadette, Jess' aimerait bien faire le même métier qu'elle, adulte. La franco-britannique leva la tête vers le ciel d'un beau bleu, tout en répondant à Luia. - C'est chouette tout ça ! Je suis heureuse pour ton nouveau job, ça doit être cool. Petite, les Aurors étaient pour moi, un peu comme des supers-héros. On s'imaginaient tout un tas de trucs avec les triplés sur nos balai-jouet. Et... ouais, j'ai dû déjà croisée ton petit-ami dans la Salle Commune ou dans les couloirs, son nom me dit quelque choses. Il avait l'air sympa, en tout cas. Et... heu... quoi, les garçons ? La jeune fille se coucha contre le bois, laissant les rayons du soleil caressait son visage se demandant ce qu'elles pouvaient faire à présent. La Soyer décida de jouer le guide touristique à sa soeur et après-tout, c'était son endroit ici, en quelque sorte c'était son territoire. Mais avant tout, elles allaient... faire trempette ! Ouais, c'était chouette de se baigner, même si l'eau était à peine tiède et qu'il ne faisait pas si chaud que ça, même si elles n'avait pas de maillot de bain toutes les deux. Jessica se leva d'un bond et se tourna vers la Luminos. - Et, Lulu, ça te dis de te baigner ? T'as pas le choix, de toute façon ! La dernière arrivé à la bouée rouge et blanche, là-bas, est une veracrasse ! Une lueur malicieuse brillait dans le regard de Jess' et un sourire malicieux s'étirait sur ses lèvres. Elle enleva sa veste en cuir brun, se positionna... - 3, 2, 1, Go ! Et elle plongea. Sa première pensée fut que l'eau était froide, la deuxième qu'elle devait gagner la petite course improvisée. Elle remonta à la surface, inspira une grande goulée d'air et s replongea, elle nagea rapidement, ses gestes étaient gracieux et puissant sous l'eau. C'était son élément et si il y avait une chose qu'elle faisait bien, c'était nager. Invité Re Sur la Côte d'AzurInvité, le Lun 7 Avr - 1957 Luia attendait de voir la suite car elle était bien ici, avec sa soeur qu'elle apprenait à connaître peu à peu et tranquillement. La jeune fille l'avait écouté si attentivement à part le fait de se ronger les ongles et Luia en ferait de même, jeune Gryffondor cessa de se ronger les ongles et se mit à sourire. La jeune fille était songeuse et regardait le ciel mais elle finit par lui répondre- C'est chouette tout ça ! Je suis heureuse pour ton nouveau job, ça doit être cool. Petite, les Aurors étaient pour moi, un peu comme des supers-héros. On s'imaginaient tout un tas de trucs avec les triplés sur nos balai-jouet. Et... ouais, j'ai dû déjà croisée ton petit-ami dans la Salle Commune ou dans les couloirs, son nom me dit quelque choses. Il avait l'air sympa, en tout cas. Et... heu... quoi, les garçons ? Luia sourit ça, ça voulait en dire des choses. D'abord que la jeune Jessica voulait peut-être aussi devenir Auror. Luia avait toujours eu cette idée en premier, tout comme Jess' en plus, ce serait drôle. Mais bon, elle ne dit rien car elle ne savait pas trop si sa soeur voulait dire ça après tout, c'était peut-être juste des super-héros pour elle. Puis elle parla de Gaby' comme d'un garçon qu'elle avait peut-être croisé et qui avait l'air sympa. Bien, tout ça. Puis elle finit sur une petite remaqrue avant de se coucher contre le bois. A peine Luia eut-elle fait de même que la jeune Soyer lui dit- Et, Lulu, ça te dis de te baigner ? T'as pas le choix, de toute façon ! La dernière arrivé à la bouée rouge et blanche, là-bas, est une veracrasse ! Luia sourit et n'eut même pas le temps de répondre que sa soeur enlevait sa veste et puis se positionnait en faisant le compte à 3, 2, 1, Go ! Luia le vit plonger et fila à sa suite très vite, tentant de savoir si elle allait gagner. La jeune Aigle se sentait mal, elle n'avait pas nagé depuis si longtemps à part dans le lac de Poudlard mais ça remontait déjà à quelques années. Et puis l'eau était fraîche... Mais bon, ça importait peu ça! Luia vit sa soeur au loin et tenta de la rattraper mais, évidemment, la jeune franco-anglaise connaissait le terrain et pas elle. Ce qui fit que la jeune Jessica nagea la course. De longues minutes après, Luia la rejoignit et dit-Bon, bah, félicitations, tu as gagné! Luke PeverellLégendeSerpentard Re Sur la Côte d'AzurLuke Peverell, le Jeu 15 Mai - 733 RP avec Kate Les beaux jours étaient enfin arrivés et l'hiver semblait définitivement parti, ou du moins jusqu'à l'année prochaine. Nous avions donc décidés, avec Kate, de profiter de ce beau temps et des longs week-ends que procuraient les jours fériés pour partir en voyage. Notre choix s'était finalement porté sur la Côte d'Azur, une jolie région au nord de la méditerranée. Le seul problème, c'était que je ne connaissais pas un seul mot de français, alors j'espérais que ce n'était pas le cas de Catherine. Sinon, communiquer allait être difficile... Heureusement, les français avaient quelques notions d'anglais à l'écrit, ce qui me permis - à l'aide d'un traducteur - de réserver par hiboux une chambre dans un bon hôtel avec vue sur la mer, dans une petite ville cotière et sorcière. Mais ça, ma petite amie ne le savait pas, elle était juste au courant de la région où nous allions. Ce serait donc une jour J arrivé, j'attrapai un sac, y mis 2-3 bermudas et t-shirts, mais surtout des shorts de bain, parce que nous allions passer la majeure partie de notre temps dans l'eau ou sur la plage. Une fois les bagages bouclés, je parti chercher la Gryffondor à Pré-au-lard, devant la fontaine de la place où nous nous étions donné rendez-vous. J'embrassai ma petite amie puis sortis de ma poche un vieux couvercle de bocal, qui était en réalité un Accroche toi bien, ça part dans 15 secondes. 14... 13... 12... 11... ... 1... 0 !Aussitôt, quelque chose aggripa mon nombril et je me sentis tiré à toute vitesse. Le couvercle nous faisait tourner, virevolter, mais je tins bon et ne le lachai pas. Bientôt, le noir disparut pour laisser placer à une sorte de brume blanche. Comprenant que nous étions parvenus à destination, je fis signe à Kate et lachai le petit objet. Mon arrivée ne fut pas très glorieuse, puisque je me receptionai en plein sur les genoux, et non debout comme je l'aurais mes jambes pleines de sables, car oui, nous étions arrivés sur une plage, puis fis un grand sourire à Catherine. La vue était vraiment magnifique. La mer, si bleue, s'étendait à l'infini devant nous yeux. Et de l'autre côté, se trouvait l'hôtel, un bâtiment assez joli au design sobre mais élégant. - Surprise ! Tu viens, on va poser nos bagages et récupérer la chambre ? Catherine HolmesGryffondor Re Sur la Côte d'AzurCatherine Holmes, le Mer 21 Mai - 1557 Let's call it a "surprise"...Des T-shirts, trop simples... Des chemisiers, oui, mais pas celui-là. Ni celui-ci d'ailleurs... Et les vestes? Il ne fera pas chaud en permanence... Bon, des vestes, OK, mais pas trop. Et les pantalons? Plutôt longs, courts, ou plutôt jupes? Et les robes?Un sortilège d'Extension Indétectable plus tard, et tous mes vêtements tenaient dans une seule petite valise. Je ne voulais pas en faire trop devant mon petit ami, mais en même temps, je ne pouvais pas partir en vacances avec 3 T-shirts, si?Sur moi, des vêtements simples mais chics, parfaits pour un voyage. Une sacoche contenant mes papiers d'identité moldus, de l'argent français, des ballerines souples, et j'étais prête à retrouvai Luke devant la fontaine de Pré-Au-Lard, en début d'après-midi. Il m'embrassa pour me dire bonjour, et je sentis mon estomac faire une petite cabriole. Cela m'avait manqué, tout un temps. Le temps d'avant. Mais je repoussai les sinistres souvenirs pour me concentrer sur notre destination. Le sud de la France, d'après Luke, qui n'avait pas voulu m'en dire plus. J'appréciais les surprises, et connaissant mon petit ami, je sentais que j'allais apprécier celle-là tout toi bien, ça part dans 15 secondes. 14... 13... 12... 11... ... 1... 0 !~~~~Après quelques secondes et un Portoloin, j'atterrissais en douceur sur une plage de sable fin. Le soleil brillait, la mer était calme un vrai paysage de vacances s'offrait à mes yeux. je fis mine de ne pas remarquer que mon petit ami s'était royalement étalé sur le sol, histoire de ne pas froisser sa fierté. Bagage à la main, je m'avançai vers ! Tu viens, on va poser nos bagages et récupérer la chambre ?C'est magnifique... soufflai-je. Merci! ajoutai-je en embrassant le me tournai ensuite vers le village, délaissant le front de mer pour un court instant. Je me dirigeai vers l'hôtel, tenant la main de mon petit ami fermement. Tout à l'intense bonheur qui me montait à la tête, je me mis à sourire, puis à rire je courais presque vers le bâtiment, mon sac dans une main. Tout était tellement beau, tellement... parfait! Je ne parvenais pas à me rappeler la dernière fois que je m'étais sentie aussi bien, à ma place, heureuse de vivre et de sentir le soleil sur ma peau. Et je décidai que cela n'avait plus aucune importance. Les doutes, les peurs, les cauchemars semblaient si loin que je m'autorisai à les me retournai vers Luke, lui souris puis l'embrassai encore, sentant ce petit looping dans mon ventre reprendre de plus t'aime murmurai-je, lovée contre lui. Luke PeverellLégendeSerpentard Re Sur la Côte d'AzurLuke Peverell, le Jeu 22 Mai - 1734 La vue était vraiment magnifique. On ne se serait tout de même pas cru sur une île paradisiaque, mais ça changeait de notre Angleterre pluvieuse. J'avais l'impression d'être en vacances, en plein mois de juillet, mais ce n'était malheureusement pas le cas. Il restait encore plusieurs semaines de cours, et, surtout, les fameux ASPICs que tous les 7èmes années redoutaient tant. J'essayai tant bien que mal de chasser ces pensées de ma tête. Je n'étais pas venu au bord de la mer, en France de surcroît, pour stresser sur des examens, aussi importants qu'ils soient. Je voulais juste passer quelques jours tranquille avec Kate, loin de Poudlard. J'avais bien fait de garder notre destination un minimum secrète, car la surprise semblait faire vraiment plaisir à ma petite amie, qui me remercia puis m'embrassa. La Gryffondor me prit la main puis se mit à avancer joyeusement, courant presque, jusqu'à l'hôtel. La poigne de Catherine étant ferme, je me mis à trottiner également pour suivre son rythme. Elle se mit ensuite à rigoler, et le rire étant contagieux, je l'imitai. Les vacances commençaient vraiment bien, on aurait dit que tout avait été oublié, que nous ne nous étions jamais éloignés l'un de l'autre pendant de longs mois. Pourtant, quelque chose avait changé, ce n'était pas redevenu comme avant. C'était mieux. Il y avait moins de non-dits. Et les secrets restants que je cachai, de toute façon puisqu'ils étaient insoupçonnables, c'était comme s'ils n'existaient pas, non ?Kate se tourna vers moi puis m'embrassa à nouveau. J'allais répondre à son baiser lorsqu'elle se détacha et murmura deux mots, deux simples petits mots mais lourds de Je t'aimeDans la logique des choses, j'aurais peut-être dû répondre "moi aussi", comme une personne normale l'aurait fait. Mais je n'étais pas tout à fait un garçon normal. D'aussi loin que je m'en souvienne je n'avais jamais dit cela et je ne m'en pensais pas capable. Après tout, est-ce que l'amour existait-il vraiment ? Ne s'agissait-il pas plutôt d'une illusion, d'un sentiment imaginé ?Certes, ce que je ressentais pour Kate était bien plus fort que l'attirance que j'avais eu pour d'autres, mais je ne savais pas. J'etreignis donc simplement la Rouge et Or, la serrant dans les bras, puis l'embrassai dans le cou. J'espérais qu'elle ne relèverait pas mon absence de réponse, qu'elle ne s'en préoccuperait pas. Après quelques instants, je m'éloignai et attrapai sa petite valise. Celle-ci était d'ailleurs étonnamment lourde par rapport à sa taille. Qu'est-ce qu'elle avait bien pu lettre dedans ? Je jetai un regard suspicieux accompagné d'un sourire à la Gryffondor puis continuai à marcher en direction de l'hôtel. Heureusement, les propriétaires étaient sorciers et cela ne les étonna donc pas de voir débarquer de nulle part, depuis la plage, deux adolescent ayant encore l'âge d'être en classe. En effet, nous avions juste 17 ans, et chez les moldus, il me semblait que la majorité était plus tard. Décidément, les moldus ne pouvaient jamais faire comme tout le monde...Après quelques difficultés de compréhension, quiproquos et malentendus, nous parvînmes enfin à récupérer la clé de la chambre. C'était décidé, plus jamais je ne partirai dans un pays dont je ne parlais pas la langue ! Parce que c'était vraiment, vraiment compliqué. Le sourire me revint plus tard aux lèvres, en découvrant la chambre. Rien que le fait d'avoir un balcon donnant sur la mer était génial. Après, la déco, bah c'était de la déco quoi. Elle était jolie, mais ce n'était pas vraiment quelque chose qui m'importait. Je déposai les bagages au sol, ouvris la porte fenêtre puis m'affalai dans un fauteuil d' Nous voilà enfin en vacances! M'eclamai-je, un grand sourire arborant mon visage. Tu veux qu'on commande un cocktail, un truc à boire tranquillement ici, ou on va se baigner ? Ou tu veux faire autre chose? Catherine HolmesGryffondor Re Sur la Côte d'AzurCatherine Holmes, le Sam 7 Juin - 1656 HRP Désolée du retard...Il ne me répondit pas. Je le savais. J'aurais dû le savoir, m'y préparer. Mais non. Comme la naïve et idéaliste fillette que j'étais, j'avais cru, j'avais espéré que... Mais j'avais eu de ne pas m'en formaliser, je me concentrai sur les embrassades de nous dirigeâmes vers l'hôtel, et tout à coup je m'inquiétai les villageois n'allaient-ils pas croire aux aliens en voyant deux ados débarquer ainsi de nulle part? Visiblement, non. Soit les Français étaient profondément aveugles, soit... cela leur arrivait tous les jours. Auquel cas nous étions dans un village sorcier. Je réfléchissais à pleine allure à ce que cela impliquait, à savoir que j'avais eu 17 ans récemment, et que donc j'allais pouvoir faire de la magie sans crainte.~~~~Je rangeais méthodiquement le contenu de ma valise, m'assurant que tout trouvait une place dans les différentes étagères. Je vérifiai que ma trousse de secours-maquillage autant faire pratique, après tout était dans le même état qu'au départ, que rien n'était froissé et que mes chaussures de rechange n'étaient pas abîmées. Non, je ne suis pas voilà enfin en vacances! Tu veux qu'on commande un cocktail, un truc à boire tranquillement ici, ou on va se baigner ? Ou tu veux faire autre chose?Oh, allons à la mer! Il fait magnifique, autant en profiter! dis-je en arrivants sur la souriait, d'un sourire que je lui avais rarement vu. Je lui souris en retour, espérant entendre d'ici la fin du séjour ce qu'il n'avait su me dire en mon maillot et filai dans la salle de bains pour me changer. Quelques secondes plus tard, je retrouvais Luke dans notre noué un paréo aux reflets verts autour de ma taille fine, attaché un maillot deux pièces dans les mêmes tons et lâché mes cheveux bruns aux reflets dorés. Je glissai mes petits pieds dans des espadrilles légères et attendis que mon petit ami ait fini de se préparer.~~~~Le sable à perte de vue, blanc et chaud comme sur les plages de films américains. La mer plus turquoise que turquoise. Je détachai mon foulard, le laissant flotter au vent, espérant que le blond aurait le réflexe de l'attraper et courus jusqu'à l' était un peu plus froide que ce que je pensais, et je poussai des cris de gamine en m'amusant à sauter par-dessus les premières vagues. Ce truc avait toujours été un rituel, à chaque fois que je me rendais au bord d'une mer cessai néanmoins au bout d'un moment, consciente de la présence de Luke non loin. Je ne voulais pas qu'il me croie idiote non plus... mais être heureuse, sous le soleil de la Méditerranée, faisait naître et persister un grand sourire que rien ne pouvait effacer. Luke PeverellLégendeSerpentard Re Sur la Côte d'AzurLuke Peverell, le Mer 2 Juil - 2331 Je suis désolée pour cet énorme retard...Tandis que Kate se changeai dans la salle de bain, je décidai de ranger mes affaires. Enfin, "ranger" était un bien grand mot, surtout quand je regardai les étagères sur lesquelles ma petite amie avait soigneusement déposé ses vêtements. Pour ma part, je me contentai de sortir le contenu de mon sac et de le fourrer dans un tiroir encore vide, mais en faisant tout de même attention à ne pas froisser mes habits Je n'avais pas l'intention de ressembler à un sac à patate avec des vêtements non repassés. Je glissai discrètement ma baguette dans ma poche, attrapai un short de plage, puis rentrai à mon tour dans la salle de bain lorsque la Gryffondor eut finit de de préparer. Une fois changé, je vérifiai que la porte était bien verrouillée puis dégainai ma baguette. Deux-trois sortilèges plus tard, et les quelques traces, cicatrices qui parsemaient par endroit mon corps devinrent invisibles, du moins pour un certain temps. Je laissai ensuite mon regard courir sur l'amulette qui ornait mon cou. Je ne pouvais malheureusement ni la dissimuler, ni la retirer et je sentais que chaque jour elle pesait plus lourd, devenait plus encombrante. Mais il s'agissait juste d'une impression, puisque l’artefact n'avait pas changé d'un poil depuis son achat, deux ans plus tôt. Voyant que le temps commençait à se faire long, je cessai d'observer mon amulette et sortis prestement de la salle de bain, avant que Kate ne commence à se poser des questions. Je gardai ma baguette dans ma poche - on ne savait jamais, mieux fallait prendre ses précautions par les temps qui courraient - puis attrapai mes lunettes, une serviette de plage, et un flacon de crème solaire. Ma peau étant assez pale, j'attrapai souvent des coups de soleil, et je comptais éviter d'en prendre durant cette semaine, car je trouvais cela vraiment hideux. Et puis ça faisait quelques mètres de l'eau, Catherine lâcha soudainement son paréo, qui flotta dans le vent. Ne sachant pas trop si c'était fait exprès pour que je l'attrape ou s'il s'était détaché tout seul, je le récupérai tout de même. Je posai ensuite toutes les affaires sur le sable fin regardai avec un sourire ma petite amie sautiller dans l'eau froide avec de petits cris. Je courus la rejoindre dans les vagues, l'attrapai par la taille et la poussai dans la mer. Plouf, dans l'eau ! Pour compléter le tout, je l'arrosai à l'aide de mes mains. J'espérai qu'elle n'avait pas escompté garder ses cheveux au sec, parce que sinon c'était raté, et la 7ème année risquait de m'en vouloir. Ne voulant pas être à mon tour éclaboussé en guise de représailles, je m’écartai à reculons, un grand sourire aux lèvres, et me plaçai à une distance respectable, suffisamment loin pour ne pas me faire trop tremper, mais assez proche parce que le but était quand même de passer des vacances ensembles. Catherine HolmesGryffondor Re Sur la Côte d'AzurCatherine Holmes, le Ven 4 Juil - 1938 Désolée du RP tout pourri...Soudain, sans que je comprenne ce qui m'arrivait, je sentis les grandes mains de Luke autour de ma taille. Puis me retrouvai sous l'eau sans savoir comment. Je remontai rapidement à la surface, me relevai, et... me fis arroser par un Luke que ça faisait bien détournai la tête, histoire de ne pas me ramasser plus d'eau salée dans mes yeux que ce que je n'avais pu éviter, et tentai maladroitement de je me retournai, je découvris que mon petit ami s'était tranquillement mis hors d'atteinte de mes hésitantes tentatives. Mais il n'était pas assez loin pour éviter que je ne le rejoigne en courant ce qui, je peux vous l'assurer, est bien plus difficile qu'il n'y paraît et que je me colle à lui. Oups, peut-être voulait-il rester sec ? songeai-je ironiquement, avant de lancer un moqueur Tel est pris qui croyait prendre...J'adorais me tenir tout contre lui. Cela me rassurait, me donnait l'impression d'être une jeune femme forte et belle, alors que je savais n'être qu'une adolescente ordinaire. Et depuis que nous nous étions retrouvés, après les vacances de Noël, ce sentiment s'était encore accentué. Mais pouvais-je réellement faire confiance à Luke ? Je n'étais plus aussi naïve qu'un an auparavant, lorsque nous nous étions rencontrés. Et ces derniers temps, j'avais entendu bon nombre de rumeurs sur les allégeances diverses de chaque élève ou presque à Poudlard. Toutes n'étaient bien sûr pas crédibles, mais certaines le semblaient fort tout de même. Dont celles qui prêtaient à mon blond préféré une préférence pour le côté obscur de la force...Ces sombres pensées, il allait un jour falloir que je les avoue à mon sublime petit ami. Mais pas aujourd'hui, pas encore. Je ne voulais pas gâcher ce moment tellement parfait en amenant des sujets qui fâchaient. Lorsque je relevai la tête pour embrasser mon petit ami, cependant, je ne pus faire autrement que de laisser mon regard s'attarder quelques secondes de trop sur un truc qu'il portait au cou. Je savais qu'il m'avait vue arrêter mon regard, mais je tentai de faire comme si de rien n'était. Pourtant, mille questions me taraudaient qui lui a offert cela ? Est-ce qu'il voit une autre fille ? Ou bien est-ce qu'il s'agit simplement d'un bijou que je n'aurais pas remarqué jusqu'ici ?Je l'embrassai longuement, fermant les yeux, tentant désespérément de me convaincre que je me faisais des idées. Je l'aimais, et cela devait suffire. Je devais lui faire que le Vert et Argent ne devinait rien des pensées traîtresses et insidieuses qui m'habitaient, je lâchai, d'un ton qui se voulait joyeux Bon, maintenant qu'on est tous les deux mouillés... Si on profitait du soleil ?Tout en parlant, je montrai nos affaires au blond. La décision, cette fois, lui appartenait. Je souris pour tenter de dissimuler ma peur, faisant tourner le bracelet en argent gravé à nos initiales qui ne me quittait plus depuis qu'il me l'avait offert, un soir. Un soir où j'avais douté de lui. Peut-être me prouverait-il, une fois de plus, que mes craintes n'étaient pas fondées ? Oh, comme je l'espérais... Luke PeverellLégendeSerpentard Re Sur la Côte d'AzurLuke Peverell, le Mar 22 Juil - 1555 - Tel est pris qui croyait prendre...Et bien voilà, j'étais maintenant tout aussi trempé que Kate, puisqu'elle venait de se coller à moi, ce qui finalement ne me dérangeait pas plus que ça. De toute façon, je n'avais pas fait grand chose pour l'éviter, sinon ce n'était pas drôle. Après tout, y avait-il un intérêt d'aller à la plage et de rester au sec, sans mettre un seul orteil dans l'eau ? Je ne pensais pas, non. Ma petite amie sembla se perdre un moment dans ses pensées, puis elle releva la tête et fixa quelques longs instants mon amulette, les yeux songeurs. Elle n'avait certainement jamais dû y faire attention auparavant, vu que je la portais tout le temps, aussi je ne m'en formalisais pas. La gryffondor m'embrassa ensuite longuement. Je répondis au baiser et passai ma main derrière la nuque de Kate pour l' Bon, maintenant qu'on est tous les deux mouillés... Si on profitait du soleil ?Kate semblait... perturbée. Son sourire, d'ordinaire si naturel, me paraissait crispé et elle n'arrêtait pas de triturer ce bracelet que je lui avais offert il y a longtemps. J'avais dit quelque chose qu'il ne fallait pas ? Elle avait découvert un truc que je lui cachais ? La seconde option peu paraissait plus probable, mais je n'avais pas envie de me prendre la tête en ce moment. Je voulais juste profiter des vacances et passer du temps avec ma petite amie, tant que j'en avais l'occasion. Car tout risquait de se compliquer, dans les semaines à venir. Je chassai ces pensées peu joyeuses de mon esprit et répondis à la Ça me va ! Je glissai ma main dans la sienne et me dirigeai vers nos affaires, laissées en plan sur le sable fin de la plage. J'attrapai la serviette de Kate, la lui donnai, avant de prendre la mienne et de la poser bien à plat. Je sortis ensuite de l'étui mes nouvelles lunettes de soleil et les déposai sur mon nez. Bon, d'accord, je les avais achetées dans un magasin moldu, Ray-ban je crois, mais elles étaient vraiment belles, et puis ça m'allait plutôt voix aiguë, sifflante, me parvint alors aux oreilles. Faim. Perdu. Voilà les seuls mots que je parvenais à saisir correctement, car le son provenait de bien trop loin. Je me figeai, comprenant que ce n'était pas un humain, un sorcier, ou encore un moldu qui parlait. Il y avait un serpent dans le coin. Une vipère ou une couleuvre, il me semblait. Une bestiole dont ma petite amie avait horreur, en fait. Même si pour ma part, j'adorais ces reptiles, de part mon don de fourchelang, je pouvais comprendre sa répugnance. Il fallait dire qu'avec le sang froid et les écailles, les serpents n'étaient pas des animaux très attirants ni mignons. Voulant détourner l'attention de la rouge et or, qui ,à priori, ne s'était pas rendue compte qu'un reptile se trouvait non loin, j'attrapai le tube de Crème solaire ?Sans attendre sa réponse, je me rapprochai de Kate. Je pris un petit peu de crème puis laissai courir mes doigts fin de pianiste sur la peau douce de son dos et de ses épaules. Catherine HolmesGryffondor Re Sur la Côte d'AzurCatherine Holmes, le Dim 31 Aoû - 2322 Désolée pour le temps de réponse, et la nullité du texte... Si ça ne te va pas, MP moi !Ça me va !Luke m’emmena auprès de nos affaires, me tenant par la main. Une fois sur le sable, il me tendit ma serviette, en bon gentleman qu’il était, avant de se saisir de la sienne. Crème solaire ?Je n’eus pas le temps de répondre que déjà le beau blond me massait délicatement le dos. Nous aurions dû partir en vacances plus souvent, songeai-je. Je me détendis, tâchant d’oublier un instant mes doutes et mes appréhensions, de profiter de ce moment ensoleillé que nous partagions. Ce n’était pas une chose facile j’avais tellement de questions à poser mon petit ami ! Néanmoins, j’y parvenais plutôt moment où j’aperçus un miroitement ondoyant sur le sable. Ça aurait pu n’être qu’un coquillage luisant, sauf que c’était trop grand. Et que ça bougeait. Nous étions également trop loin du bord de mer pour que ce soit un reflet dû aux vagues. Ce qui ne pouvait signifier qu’une chose ça était me raidis instinctivement, attendant de voir surgir la chose. Et je ne fus pas déçue bientôt, une tête aplatie, couverte d’écailles, d’où sortait une mince langue fourchue, dépassa du tas sde sable le plus non. Oooh non, pas ça…Que je vous explique quelque chose j’ai une peur affreuse des reptiles et autres bestioles à sang froid. Je n’ai aucune idée du pourquoi de cette phobie, je sais juste que je déteste ces sales bêtes. Elles me donnent envie de vomir. Rien qu’à les voir, y compris dans un film. Ne fût-ce même qu’en imagination, elles me flanquent des sueurs et des nausées. Bref, je suis pas fan du lu quelque part que, dans un tel cas, il ne fallait surtout pas bouger. Ce qui tombait bien, parce que j’étais tétanisée. Je savais à peine remuer les lèvres, ce que je fis le moins brusquement possible, pour appeler mon petit ami, qui ne semblait pas avoir remarqué l’animal Luke ! Je n’ai plus qu’à espérer que mon preux chevalier me sorte de là, pensai-je soudain, presque étonnée de le penser en ces termes. Je me savais bien incapable de réagir dans un pareil cas, mais je croisai mentalement les doigts pour que Luke ne soit pas comme moi. L'angoisse qui perçait dans ma voix n'était qu'une infime part de ce que je ressentais réellement. Luke PeverellLégendeSerpentard Re Sur la Côte d'AzurLuke Peverell, le Sam 13 Sep - 756 Je sentais les muscles de Kate se détendre et ses épaules se relâcher tandis que je lui massais le dos, la crème solaire étant plus un prétexte qu'autre chose. La gryffondor n'avait pas remarqué la présence du serpent, qui avait d'ailleurs disparu de mon champ de vision. Avec un peu de chance il était parti plus loin déranger d'autres personnes. Tout allait donc pour le mieux du monde, les vacances commençaient à merveille. A vrai dire, je n'aurais pu espérer mieux ; Le cadre était tout simplement je sentis la jeune femme se raidir subitement. Alors je m'arrêtai, me demandant ce que j'avais fait de travers pour une telle réaction. Elle m'avait pourtant semblé réceptive tout à l'heure, alors je ne comprenais pas vraiment ce qui se passait. J'ouvrai la bouche, afin de lui demander ce qui n'allait pas, mais avant que je ne puisse formuler le moindre mot, ma petite amie prononça mon Luke… Luke ! Au son de sa voix paniquée, je compris finalement qu'il y avait un problème et qu'il ne venait sûrement pas de moi. Parce qu'aux dernières nouvelles, je ne lui faisais pas peur. Heureusement. Je tournai donc la tête en quête de la source du problème et tombai nez à nez avec le serpent que j'avais aperçu tout à l'heure. Celui-ci n'était donc pas parti ailleurs, il s'était simplement rapproché et les tas de sable expliquaient pourquoi je ne l'avais pas vu venir. Je restais figé sur place. Non pas parce que le reptile m'effrayait, loin de là, mais parce que je ne savais pas quoi faire. Il s'agissait d'un simple petit serpent ayant faim, je ne me voyais pas le tuer juste parce que Kate n'aimait pas ça. Je respectai bien trop son espèce pour faire une chose pareille. Il s'agissait tout de même du symbole de ma maison, de solution évidente au problème se proposa alors à moi Demander au serpent de partir, en fourchelang. Mais cette solution immédiate risquait de faire apparaître pleins d'autres soucis, principalement parce que la gryffondor n'était pas au courant à propos de ma capacité. Personne ne l'était, en fait, puisque j'avais toujours gardé cela secret. Mais peut-être que la venue du serpent n'était pas anodine, peut-être était-ce pour que je dévoile mon don à Catherine. Je glissai mes doigts entre les siens, autant pour la rassurer par ma présence que pour me donner du courage. Il était temps que ce secret n'en soit plus un pour elle, je lui faisais entièrement confiance pour ne pas raconter cela à tout le monde. Je farfouillai de ma main libre dans mes affaires et finis par dénicher un biscuit, c'était mieux que rien. Je le lançai en direction du serpent puis lorsqu'il eut mangé, lui ordonnai en fourchelang d'une voix ferme de partir d'ici. Le reptile refusa dans un premier temps d'obéir mais s’exécuta finalement, après que je l'ai menacé de le jeter dans la mer. - Je suis désolé, j'aurais dû te le dire plus tôt, lachai-je après quelques instants de silence, lorsque le rampant fut parti. Je resserrai mon emprise sur la main de Kate afin qu'elle ne parte pas et la regardai d'un air anxieux. Comment allait-elle réagir ? Catherine HolmesGryffondor Re Sur la Côte d'AzurCatherine Holmes, le Jeu 18 Sep - 2239 Il ne réagit pas tout de suite. Luke semblait lui aussi paralysé par l'apparition de l'hideux reptile, qui sinuait sur le sable et se rapprochait de plus en plus du duo heureux que nous formions quelques instants auparavant. Il n'avait pas peur, il ne pouvait pas avoir peur, songeai-je. Avant de réaliser à quel point j'étais ridicule. Bien sûr qu'il pouvait avoir peur, le fait d'appartenir à la maison Serpentard ne l'en empêchait aucunement ! Tu réfléchis comme une gamine, me mon petit ami dissipa vite mes doutes lorsqu'il prit ma main dans la sienne. Il ne tremblait pas, et au contraire, trouvait même la force de me rassurer. Ses doigts entremêlés aux miens me rappelaient que je n'étais pas seule pour affronter ma pire phobie. Je n'osai pas me retourner, mais je sentis soudain l'autre bras du beau Vert et Argent effectuer un mouvement de lancer. Un biscuit un biscuit ? apparut et se jeta dans le sable, éloignant un peu la bestiole. Mais celle-ci revint bien vite vers moi, me fixant de son regard jaune et malfaisant. Luke me chuchota alors quelque chose que je ne compris pas bien. J'allais lui demander de répéter, tentant de ne pas faire de geste brusque, lorsqu'il réalité, il ne chuchotait pas, compris-je. Il parlait au serpent. J'avais entendu des rumeurs à propos de cette faculté. Jugée réservée aux adeptes de la magie noire, aux Sang-Purs qui avaient mal tourné, à Salazar Serpentard. Et au néfaste Lord Voldemort. Comment se faisait-il qu'il, que Luke, que mon petit ami, parle cette... ce langage ? C'était impossible. Je devais rêver, c'était la seule explication de ce qui se déroulait autour de moi. Luke ne parlait pas le Fourchelang, je...Je quoi ? Je l'aurais su, peut-être ? ironisai-je amèrement. Mon amoureux gardait jalousement ses secrets pour lui, je le savais pertinemment, j'en avais toujours eu conscience. Il fallait que j'arrête de me leurrer, je ne savais rien de celui qui prétendait m'aimer. Mes appréhensions de tantôt étaient de retour, plus fortes que jamais. Je me sentais terriblement blessée. Plus que le secret en lui-même, c'était le fait qu'il ait un secret qui me faisait un peu plus mal à chaque seconde. Le fait qu'il m'ait caché quelque chose, pensant que...Le serpent était parti, réalisai-je soudain. Je ne l'avais même pas vu s'en aller, obnubilée que j'étais par ma confiance pensant que quoi ? Que j'allais lui reprocher de parler un langage que certains considéraient comme lié au Mal ? C'était faux, une simple légende, dus-je faire un effort pour me rappeler. Après tout, le célèbre Harry Potter parlait le Fourchelang. Et pour ce que j'en savais, ce type avait combattu Voldemort. Certaines sources dont je me souvenais vaguement évoquaient même Ron Weasley, acolyte de toujours de Potter. J'étais bien une gamine. Je m'étais presque mise à juger celui que j'aimais et qui m'aimait depuis plus d'un an sur base de racontars de grands-mères ? J'étais tombée bien bas, moi qui me vantais de ne pas succomber aux clichés faciles...Je suis désolé, j'aurais dû te le dire plus tôt dit celui auquel je pensais si fort, d'une voix que je ne lui connaissais pas. Il avait perdu de son assurance, mon beau gentleman. Son regard n'était pas le même non plus. Il me regardait droit dans les yeux. D'un air que je ne lui avais jamais pression de sa main se resserrait sur la mienne, mais pensant que quoi ? Que j'allais partir, fâchée qu'il n'ait pas partagé cette confession avec moi plus tôt ? Et de quel droit l'aurais-je fait, moi à qui il avait fallu plusieurs semaines pour l'approcher à nouveau après des mois de silence ? De quel droit pouvais-je le taxer de lâcheté, alors que je m'étais cachée durant une saison entière ? J'étais probablement la seule personne au courant de certaines choses sur lui. Dont celle-ci, dorénavant. Il n'y avait pas qu'à moi qu'il ne disait pas tout, sa réputation l'avait même si cela me faisait mal de l'apprendre de cette façon, je devais néanmoins reconnaître que c'était mieux que rien. Et puis, il avait chassé l'horrible chose écailleuse. Bien mieux que rien, le regardai à mon tour. Plongeant mon regard dans le sien, espérant cette fois qu'il y lise toutes mes pensées, toutes mes peurs. Et qu'il réalise que je ne l'en aimais que ne devais pas. Tu aurais pu, ce qui est différent. Et tu aurais même pu ne jamais me le dire. Je veux dire, ne sois pas désolé ajoutai-je en tendant ma main libre pour caresser son visage. Je posai mes lèvres sur les siennes, longtemps. Je voulais lui dire tant de choses en plus, que j'essayai de faire passer dans ce long baiser, mais je ne pus lui dire la plus importante qu'une fois nos lèvres t'aime, Luke. Comme tu es, avec tous tes secrets, avec ton sourire, avec tes manies, avec tout ce que tu es. Et même s'il gardait le silence une fois de plus, je me jurai de ne pas lui en vouloir. Peut-être lui avait-on appris qu'il y a des choses qui ne se disent pas. Invité Absence de réponse depuis plus d'un mois. Commencement d'un rp avec Morgan le Ven 24 Oct - 1523 Avec le libre arbitre de Noa et Morgan les vacances d'été, enfin les dernières avant la rentrée de sa sixième année, Edrik du attendre plus de trois semaines avant de pouvoir partir rejoindre ses deux meilleurs amis dans le sud de la lac du Salagou, un bel endroit où la terre demeure pareil à un sable granuleux d'une couleur pourpre rougeâtre unique au monde. Alors bien sûr l'habitude de ces merveilleux paysages lui était venue .Revoir ces étendues colorées de rouge, de vert et de ces célèbres lavandes sauvages dont l'odeur envahissait l'air, le remplissait de grande bâtisse tout en long qui leur servait de maison de vacances avait été achetée par les deux familles. Enfin même si les sang pur l'avait payée dans son intégralité, ils aimaient se dire que les Delaube étaient au même titre qu'eux les propriétaires du bâtiment qui leur avait couté une petite fortune. Alors comme par habitude les Orrenae arrivèrent en retard. A la dernière minute, Sam, le père, ne pu partir. La boutique allée mal il ne pouvait pas se permettre du y repensant, la petite famille écossaise n'était pas arrivée en retard, ils n'arrivaient jamais en retard ! Les Français étaient juste encore une fois en n'avait pas vraiment supporté le voyage, pourtant transplaner n'était pas quelque chose qui lui était inconnu. *Elle doit avoir mal digéré quelque chose* s'était dit premiers jours se passèrent à merveille, le temps n'avait pas été au rendez-vous mais les familles s'étaient affairés à repeindre la palissade principale. La couleur, d'un violet pâle, avait été choisie par les deux mères qui n'avaient d'ailleurs pas attendues moindre réponses du reste de la maison pour la leur Noa ne comprenait toujours pas pourquoi ils n'utilisaient pas la magie pour ces bricoles, mais Evalora tenait à se prendre pour une moldue - C'est fascinant d'être aussi... Démunis ! Devoir régler les choses par soi même, devoir se débrouiller, vraiment fascinant ! Vous ne trouvez pas les enfants ? Avait-elle dit, un grand sourire aux qu'Edrik et Morgan s'amusait comme deux enfants à se tâcher en s'appliquant à peindre, Noa et sa mère ne semblait toujours pas admettre qu'une sorcière puisse dire bout de la première semaine la bâtisse était entièrement retapée, ils avaient du reprendre un bout de la toiture qui s'était effondrée durant les tempêtes du mois précédent. Ce qui ce fut cette fois réglé dans la magie puisque personne ne savait quoi faire et comment le faire pour s'en vraies vacances commençaient réellement à la fin de la première semaine. Les longues ballades dans les étendues rougeâtres, les cueillettes dans les petits bois environnants et les visites déjà faites à plusieurs reprises des villages voisins qu'Evalora voulait absolument jour où le temps était chaud et le soleil imposant. Les deux plus jeunes garçons décidèrent partir en ballade. Noa n'avait pas pu ou voulu les accompagnés, et Judith semblait être vraiment malade, elle était resté dans le grand salon style 17eme pour se avait insisté pour refaire sa virée favorite autour du lac asséché. Même si l'idée n'avait pas enchanté le blond, il accepta avec le sourire, après tout ils sortaient, c'était déjà ça !Quand les deux arrivèrent à mi chemin, ils se reposèrent au pied d'un olivier. En réalité ce coin était choisit par avance pour être la pause, entre olivier et lavande » c'étaient-ils dit trois années en arrière. C'était leur ballade, juste la leur !Ils avaient passé un territoire de cigales dont ils entendaient encore les stridulations incessantes et rythmées non s'étaient allongés dans le creux que la cime de l'arbre qui s'était formée naturellement quelques années en on s'en lassera jamais hein ? Dit le plus jeune en souriant au blond qui été collé à je me lasse pas de cette endroit, répondit il en rêvassant. Par contre de toi c'est autre chose. Gloussa Delaube frappa l'autre avec un air de presque méchant, se rendant bien compte que son grand sourire trahissait sa joie d'être avec son amiLe coup qui été partit fut stoppé directement par la main de Orrenae qui se repositionna pour plaquer l'autre contre l'une des énormes racines pour lui empêcher tout mouvements et pouvoir à son tour lui asséner une pichenette sur le rigolais, espèce de monsieur susceptible, je rigolais ! Le brun tenta de se débattre d'un coup sec. En sais, lui répondit-il, monsieur le crâneur, je affichaient tout deux un grand sourire niais créant un long et étrange moment où ils restèrent figés, gardant cette position, s'épiant chacun tour à tour, ou plutot sans aucun ordre... ou plutot...Edrik s'approcha plus près qu'il ne l'était pour embrassé son compagnon. Ce fur lent, doux, ce fut tendre. Leurs deux corps entrèrent dans une sorte d'harmonie des plus charnelle qui se brisa quelques longues secondes plus tard quand le blond releva la tête en adressant l'un de ses plus beaux sourires à blanc s'en suivit, même les cigales avaient stoppé leur C'était.. Commença le brun-...Parfait..., déclarèrent-ils d'une même le chant des insectes reprit, plus insupportable que jamais. -Euh, tu m'excuseras mais... Je peux faire un truc ? Demanda le plus jeune à Edrik avant de le prendre par le coup sans attendre sa réponse, pour l'embrasser de qui d'ailleurs ne comprenant pas se dit qu'il valait mieux ne pas demander son reste et en blond sourit une dernière fois avant d’enchaîner -C'était pour quoi ça ? Luke PeverellLégendeSerpentard Re Sur la Côte d'AzurLuke Peverell, le Mar 23 Déc - 2003 Réponse à Kate Désolé pour cet immense retard...Ma mâchoire était complètement crispée, j’appréhendais tellement la réponse de ma petite amie. Je la regardais dans les yeux, sans ciller. Pour une fois, je ne cherchais pas à dissimuler mes pensées, mes émotions. J'étais sincèrement désolé et commençais à réaliser la conséquence que des secrets pouvaient avoir sur une relation. Mais si seulement il n'y en avait eu qu'un, cela aurait pu passer, elle m'aurait peut-être pardonné, au bout d'un moment. Sauf que ce n'était pas le cas. Ma vie entière était un mystère, je ne connaissais pas moi même certaine parties de mon histoire. Enfin, alors que je commençais à me résigner, la gryffondor réagit d'une manière à laquelle je ne m'attendais pas du tout. Elle me fixa tout d'abord d'un regard intense, d'un regard passionné. Je ne savais pas si les yeux étaient les fenêtres de l'âme, mais en tous cas ceux de ma petite amie exprimaient tellement de choses que je n'aurais su tout décrire. C'était comme si elle essayait de faire de la télépathie. Mais sans en faire... Kate prit ensuite la parole, mais c'était absurde, elle n'était pas censé réagir comme cela. Je ne comprenais Tu ne devais pas. Tu aurais pu, ce qui est différent. Et tu aurais même pu ne jamais me le dire. Je veux dire, ne sois pas désoléQue ce passait-il ? Son comportement sortait de toute logique. Alors mes doutes reprirent de plus belle. Ce n'est que lorsque je sentis ses lèvres se déposer sur les miennes et sa main me caresser la joue que je me détendis. Elle ne m'en voulait donc pas. Pour de vrai. Soulagé que notre sympathique petit voyage ne tourne pas au vinaigre, j'entourais de mes bras la fine taille de ma petite amie et répondis au baiser. Celui-ci sembla durer une éternité, comme si le temps s'était arrêté tout autour de nous, rien que pour nous. Mais cet instant magique s'arrêta trop tôt à mon gout, lorsque que Kate s'écarta à mon plus grand regret. - Je t'aime, Luke. Comme tu es, avec tous tes secrets, avec ton sourire, avec tes manies, avec tout ce que tu entendant ces mots si lourds de sens, je resserrai mon étreinte et embrassai à nouveau ma petite amie. Ce qu'elle venait de me dire me touchait, mais j'étais proie à trop de sentiment contradictoires pour pouvoir lui répondre. Oui, je tenais beaucoup à Kate, plus que je ne pourrais jamais lui avouer, mais tous mes secrets formaient une barrière trop imposante entre nous. La gryffondor ne me connaissait pas. Elle n'avait pas conscience de ce que je lui cachais. Et si elle l'avait appris, je savais qu'elle ne m'aurait plus jamais adressé la parole. De plus, par les temps qui courraient, on ne pouvait savoir de quoi était fait demain. Si ça se trouve, dans une semaine, peut-être deux, je ne serais même plus de ce monde. Il suffisait de se retrouver malencontreusement sur la trajectoire d'un sortilège funeste pour que tout se finisse, sans marche arrière possible. Et je ne souhaitais pas infliger une douleur pareille à la jolie brune. La logique aurait donc voulu que je rompe, mais elle n'aurait pas compris la raison et je ne pouvais m'y résoudre. Je m'étais attaché à Kate plus que je ne le croyais Moi m'étais impossible de dire si j'avais pensé ces paroles ou les avais formulées de la manière la plus inaudible qui soit. Peut-être que Kate avait entendu, peut-être pas. Peut-être que je devenais juste schizo et que je me parlais dans ma tête. Ou peut-être que j'avais imaginé dire cela mais que je demeurais incapable d'énoncer une chose un nouveau départ dans notre relation ? J'osais l'espérer, mais une voix au fond de moi même m'assurait le contraire. Cela ressemblait plutôt au commencement de la du RP Alhena PeverellResponsable MDJ-GHarryPotter2005 Re Sur la Côte d'AzurAlhena Peverell, le Jeu 26 Fév - 1935 [RP avec Laurae Syverell, Julie Sullivan, Cliodhna Quinn, Charli Proulx, Abygael Thompson et April Warren] Si je mens, je vais en enfer. Assise sur le rebord d'une fenêtre, la jeune Peverell contemplait le jardin de son manoir de vacances. C'était une immense bâtisse appartenant à son frère, construite pas ses ancêtres. Le terrain était protégé par de multiples barrières. Par exemple l'une d'elle servait à repousser les moldus et une autre empêché tout simplement les gens de rentrer ou de sortir à leur grès. Seul un sorcier de la famille d'Alhena avait la possibilité de contrôler ces dites barrières. Ces barrières étaient nécessaires à la sécurité des résidents... Ou pas brune baissa les yeux et se replongea dans son bouquin. Cela faisait déjà quelques jours que Julie et elle résidaient dans ce manoir. En général les deux jeunes filles ne s'ennuyaient jamais, elles sortaient, rigolaient et faisaient les quatre cents coups au premier venu mais, voilà aujourd'hui il pleuvait et Alhena s'ennuyait à mourir. Soupirant, elle referma son livre et appuya sa tête contre le mur. Une jambe dans le vide, elle la balança d'avant en arrière. La jeune Serpentarde se demanda un instant où son amie pouvait bien être, cela faisait un moment qu'elle ne l'avait pas vu. Pas plus inquiète que ça, Peverell se décolla de la fenêtre et sauta à pied joint sur le carrelage froid. Elle se promena quelques instants dans l'immense demeure, contempla les vieux tableaux, les bocaux avec des trucs non identifiés à l'intérieur ou les trophées poussiéreux traînant sur les vieilles étagères. Malgré ce qu'elle pouvait dire à Julie, Alhena haïssait ce vieux manoir et si elle venait ce n'était que parce qu'il se situait sur la Côte d'Azur. Sinon il fallait l'avouer cet endroit n'avait rien de bien excitant. Il n'était même pas à elle d'ailleurs. Arrivant dans le salon, elle s'affala sur le canapé vert et balança son livre sur la table basse. La brune était totalement seule et s'ennuyer de plus en plus. Julie avait disparue on ne sait où et il pleuvait toujours des cordes. Finalement, décidée, elle enfila des chaussures, glissa sa baguette dans sa manche et sortie par la porte d'entrée. Les perles d'eau ruisselaient sur sa peau blanche, glissaient délicatement sur son visage et dans ses cheveux. Alhena ferma les yeux et profita de cette fraîcheur soudaine. C'était quelque chose d'étrange mais, pour une raison ou pour une autre, la brune adorait sortir sous la pluie. Elle écarta les bras et commença à tourner sur elle-même. Peut-être qu'elle avait l'air stupide mais qu'est-ce qu'elle s'en fichait. Peverell fini par tomber au cheveux trempés, les habits pleins de boues, la jeune femme ne ressemblait plus à l'héritière modèle que son frère s'empresser de modeler. Alhena rigola de la situation décalée. Ce n'était pas un ricanement ou rire léger qui s'échappa de ses lèvres cette fois, mais bien un rire puissant et aucune idée du temps qu'elle avait passé à tourner sous la pluie, la jeune femme se releva pour aller vers le manoir. Il devait certainement commencer à faire tard et elle devait retrouver Julie. Peut-être que son amie s'était perdue dans le manoir qui sait. Une fois debout, elle aperçu une ombre dans son jardin, à l'extrémité du manoir. Elle avança prudemment vers celle-ci. - Julie ?Alhena fit quelques pas de plus. Non c'était impossible, Julie était dans le manoir et cette personne était... En dehors des barrières. Elle ne pouvait pas sachant pas qui était en face d'elle, la jeune brune lança d'une voix monocorde - Bonjour. Bienvenue au Manoir Peverell. Peverell aperçu enfin le visage de son interlocuteur, un sourire malsaine et malicieux s'afficha sur ses lèvres. Finalement, la soirée n'allait pas être si ennuyante que cela. Et Alhena abaissa les barrières, laissant ainsi n'importe quelles victimes se jetaient dans la gueule du loup. Re Sur la Côte d'AzurContenu sponsorisé, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Arrêtede Hlef hlef (x3) Sur la tête de ma mère. C’est pour les mecs qui jurent la tête de ma mère HLM, au bord de la mer Un pied dans la mosquée, l’autre dans la merde Du ter’ ter’ ter’ la tête de ma mère Si çà défonce, c’est mon son, c’est du bon
Paroles de la chanson Sur La Tête De Ma Mère par Diam's Tu vas comprendre pourquoi je ne jure jamais Sur la tête de ma mère. Elle vaut beaucoup trop cher. Heureusement qu'on hérite pas des couilles de son père, sinon j'serai dans la merde! Donc je dépose une couronne de diamant Sur la tête de ma mère, J'ai dans le sang de quoi faire baliser la France, mon histoire est indécente, Elle commence a Roubaix en 1950, Voici mon sang, mon histoire qui dès l'départ pue la victoire D'la fille à la grand-mère chez moi, la loose, c'est rédhibitoire. Elles ont du cran les femmes de ma trempe, elles sont grandes. elles ont du tempérament, elles sont belles, donc ils en tremblent. 21 ans mon sang ce barre faire un tour chez les Beatles, Beatnik, petite femme seule se mariant en 48 heures, Lui c'est un violent, guerrier du moyen-orient, moyenageux dans son comportement, Maman fait la guerre tout l'temps. La-bas à Chypre si t'es une femmes tu cires les meubles, Et même si t'es ma mère tu divorces ou tu fermes ta gueule, Alors tu rêves de voyages t'y crois et tu persistes, Et grâce à Dieu, vous partez vivre dans le Gofe Persique. J'ai dans le sang de quoi faire trembler la France. De Roubaix au Liban, De Nicosie en passant par Oman, Qui que tu sois, tu n'peux pas test Je suis la fille d'une guerrière, Donc dépose une couronne de diamants Sur la tête de ma mère Sur la tête de ma mère xs la tête de ma mère la tête de ma mère 1974 et les Turcs viennent, viennent piller le pays, Un coup d'Etat et bim ! Chypre ressemble à la Palestine, Ma famille c'est l'armée civile, Tout le monde tire, tout le monde perd l'ONU alarmé, s'immisce et tire un trait au stylo vert... 2009, je rend hommage aux miens tombés sous les bombes, Je suis née dans la dernière capitale divisée du monde, Alors mon sang se barre en Oman, besoin d'autre part, Je sais qu'elle faisait le chauffard dans le désert du Dhofar. Maman s'emmerde et se démerde, et pour occuper ses week-end, Elle tire sur des cannettes au AK-47 et M16. Ils se demandent pourquoi je "kill" quand je rentre dans la cabine, Normal depuis gamine, on tire à la carabine d'Oman! Dommage pour les bédouins, goodbye, Abu Dhabi, en Iran ou à Doubaï, elle doutent pas, l'Orient c'est sa vie, Plus tard, elle trouve du taff dans le pays de la déroute, Mutation faite au Liban, mon sang part à Beyrouth. J'ai dans le sang de quoi faire trembler la France. De Roubaix au Liban, De Nicosie en passant par Oman, qui que tu sois tu ne peux pas teste je suis la fille d'une guerrière donc dépose une couronne de diamant Sur la tête de ma mère Sur la tête de ma mère Sur la tête de ma mère Sur la tête de ma mère la tête de ma mère la tête de ma mère 78 et mon sang vit parmi les ruines d'un pays en guerre civile Les militaires viennent de Syrie, on n'est plus trop chez les Ch'tis, Alors à l'est de Beyrouth, elle trouve une maison mitoyenne, A la radio des Kataieb, milice chrétienne de Gemael, Maman vit la guerre du quartier, peut plus sortir sans ses papiers, Une mitraillette l'a saisie, apeurée maman est braquée, Déjà la veille des sniper ont dégommé son mur, Maman vit dans la cave car l'ambassade de France ne répond plus, Dehors ça tire dans tous les sens, maman en état de choc, Papa n'sort jamais sans son Glock, Glock, sinon sça pue la mort. Dans la cave, on pleure, on prie, on récite des louanges, Un cesser le feu, et c'est parti. Maman rampe jusqu'à sa chambre, Dehors, c'est l'apocalypse, le feu, la fumée, les corps, Maman pleure son Liban et l'horreur qui le décore, Mon Père repère des caméras, les journaliste profite du calme, Pour filmer les dégâts, alors ils sautent dans leur van. Direction l'ouest où la vie suit sont court, A peine à quelques kilomètres, de l'autre côté on rit on joue, Plus de 2000 Obus à l'heure étaient tirés à l'Est, Comme si à l'ouest le bonheur avait retourné sa veste, Traumatisée par la guerre, ma mère, c'est la plus remarquable, Même si au moindre coup d'tonnerre maman se cache sous la table, Tu me fais rire, Mummy, tu ne dis rien mais je le sais, Ils te prenent trop pour une tebê tous ces employeurs français, Laisse moi te rendre hommage, que tout le monde sache que se cache Derrière moi une femme de courage qui se saigne à la tâche, Et si demain je meurs, sache que personne sur cette Terre Ne doit t'enlever cette couronne de fleurs que tu as sur ta tête... Sur la tête de ma mère Sur la tête de ma mère Sur la tête de ma mère la tête de ma mère la tête de ma mère la tête de ma mère Sur la tête de ta mère dépose une couronne de fleur Sur la tête de ta mère dépose un peu de reconnaissance Sur la tête de ta mère la tête de ta mère la tête de ta mère J'ai dans le sang de quoi faire trembler la France. De Roubaix au Liban, De Nicosie en passant par Oman, Ni un homme, ni un tyran nan nan, ni le Parlement, Ne pourra venir tester le dévouement de ma maman, Pas là pour faire chialer les chaumières quand je parle d'elle, Ma complice, mon modèle la seule pour qui je peux te crève ! Qui que tu sois, tu n'peux pas test, je suis la fille d'une guerrière, Donc, déposes une couronne de diamant Sur la tête de ma mère ! C'est la plus belle, C'est la plus gentille, C'est la plus brave, C'est la plus remarquable des femmes du monde. C'est pour ça que je n'jure jamais Sur la tête de ma mère.
Jai consulté un psychiatre. J'ai compris rapidement que la solution à mes problèmes, je ne l'obtiendrais pas chez lui. Ce n'est pas par lui que le vide de ma vie serait comblé, ni m'enlèverais de la tête cette pensée d'en finir avec la vie. Cette pensée m'obsédait de plus en plus. Les enfants étaient là, je les aimais. Ils
Les paroles de WALLAH de Ghali ont été traduites en 2 languesA7lef? Wallah. Je te le jureSur la tête de ma mère Sur mon passeport rouge Sur la tour eiffel Su quest ultimo grammo di kush Sono solo un ka7louch Che balla sulla misère My slime my slatt l′ a7nech Wallah Ehy No stress con l'ouled fel 7oma Quindi fok a3la Dawer junta brassom Flus cash ma non cambio la zona La tua tipa ci prova Vuole fare un plongeon Vuole fare un plongeon Ma non ho la piscine Vuole pure un passport, quello rouge, quello green Suo pà dice no Sua ma dice sì Vuole un figlio muslim Se non entro ballo fuori Prendila step by step Lo capisci solo se lo provi Wish you the best of the best Voglio riempire il mio passport Voglio solo farlo con te Fino alla fine con te A7lef? Wallah Je te le jure Sur la tête de ma mère Sur mon passeport rouge Sur la tour eiffel Su quest ultimo grammo di kush Sono solo un ka7louch Che balla sulla misère My slime my slatt l′ a7nech Wallah Ehy Cosa ci facevi per strada? Nada Quando l'ultima cazzata? Sempre A casa cosa ti è mancato? Baba. Baba cosa ti ha insegnato? Niente Bocoup de swag 216, double zero dico 216 Piu che wild wild west Sono weld le bled Quindi tout lebes Fumo space merguez Non voglio scappare dai guai Voglio riempire il mio passport red Voglio solo farlo con te Fino alla fine con te A7lef? Wallah Je te le jure Sur la tête de ma mère Sur mon passeport rouge Sur la tour eiffel Su quest ultimo grammo di kush Sono solo un ka7louch Che balla sulla misère My slime my slatt l' a7nech WallahWriters Giordano Cremona, Davide De Pinto, Federico Mercuri, Ghali Amdouni 11 préférésDernières activitésDernière modification parLyricist 29 octobre 2021 auprÈsde ma blonde 28 auprÈs de mon arbre 28 aux marches du palais (aux) 29 avais vingt ans (j’) 29 avant d'Être capitaine 29 ave maria de schiubert 29 ave maria de lourdes 30 avec celui qu'on aime 30 avec l'ami bidasse 30 avec la tÊte avec le coeur 30 avec le temps 31 avec les pompiers 31 aventures en aventures (d') 32

Sobre la cabeza de mi madre No he visto nada, no he oído nada, Sr Comisario Lo juro Sobre la cabeza de mi madre Su Señoría, no tengo nada que ver Te cuesta creerme Te lo juro Sobre la cabeza de mi madre !Día de mierda, por mi madre, nada que hacer Cojo mi mercedes Música a fondo en el carro, ventanas bajadas, el sol pega demasiado ! Que pasa tío ! Parece que Marsella ha reclutado gordo Siempre los mismos chismes Las mismas cabezas quemadas abajo de mi edificio Tengo una cita con Samos, CLS, Gordo Gamos, Polo rosa, Ralph Lo, fresco eres fresco ok vamos Calor canicular, necesito beber Dirección la playa de los Catalanes, tumbonas sera bien, En el camino de la playa, hay mucha policía Hay 10 meses que me quitaron el carnet de pilotar Control de policia, me piden mis papeles Doy el nombre de mi hermanito Nada se puede hacer, en Marsella estoy de jurar jurar x3 Sobre la cabeza de tu madre !Es por los tíos que juran sobre "la cabeza de mi madre" Barrios en borde de mar Un pié en la mezquita el otro en el mar Ter-Ter la cabeza de mi madre Si es flipante es mi sonido es bueno No temes invertir, amortizaras tu dinero El álbum es bomba de las bombas, bomba que bomba ! Jura Wallah La cabeza de mi madre ! Personalizado, ritmo subido, la policía han dejado balizar Eres la bienvenida si tienes el culo de Beyoncé No somos del estilo de estafar Has oído mi sonido en la radio para los tíos Para mis tías. Puedes encontrarme a Clichy O en Las Vegas, mi suite en el Bellagio !Para de jurar, jurar x3 Sobre la cabeza de mi madre !Pase más de 24 eternidades en custodia Cuestionado, ametrallado, olía a gallinero Manoseado derecha, izquierda me veía fulminarlos La-la-la-la Gallina Me cuesta frecuentarlos Todos tenemos una capa mascara Cuando piropo a una chica soy Mehdi Podrías ser la más guapa Nunca tendrás mi tarjeta del banco ! Barbacoa, sauna, jacuzzi Si es Halim Mi publico veranea en Marsella "Si la familia" G-S-XR moto rueda atrás Torso desnudo, los pectorales al aire A Marsella somos locos, chiflados Conducimos en la ciudad en marcha atrás Yeah El verano sera caliente en el terter Argelia en copa del mundo, hermano !

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parole sur la tete de ma mere