Jai 16 ans et j'envisage de passer mon bac puis m'engager directement dans l'armĂ©e mais laquelle je ne sais pas encore. J'hĂ©site entre faire l'Ă©cole de maistrance puis devenir fusilier marin avec une spĂ©cialitĂ© de commando (tireur de haute prĂ©cision) ou rentrer dans l'armĂ©e de terre et essayer d'ĂŞtre dans un rĂ©giment de FS pour ĂŞtre Ă©galement tireur de haute prĂ©cision mais Ă
Page 1 sur 2Longtemps laissée pour compte par l’histoire militaire, car sans doute vue comme triviale et parfois sordide, l’étude du combat en tant que tel n’a été réhabilitée que de manière relativement tardive. En France, on l’associe généralement à la Première guerre mondiale et au courant de l’historial de Péronne, avec une histoire du conflit centrée sur l’étude du quotidien, des consciences et des individus plutôt que sur celle des campagnes et des batailles. Une vision défendue notamment par l’historien britannique John Keegan, mondialement connu, ou par le Français Olivier Chaline, qui l’appelle la nouvelle histoire-bataille » pour mieux la démarquer de l’ancienne – cette dernière faite de chronologies parfois vides de sens comme en témoigne le fameux poncif 1515 Marignan ». Des tactiques anciennes Aujourd’hui international, ce courant est pourtant né aux États-Unis, et c’est l’étude historique de la guerre de sécession qui l’a généré. Par un processus similaire à celui qu’on retrouvera en France au sujet de la Grande Guerre, c’est la disparition progressive des derniers vétérans du conflit, dans les années 1930 et 40, qui amena les historiens américains à s’intéresser à leur vécu et leur quotidien de soldats. Leurs mémoires, souvenirs et témoignages passèrent du statut de récits autobiographiques à celui d’objets d’histoire. L’un des pionniers de cette voie fut certainement Bell Irvin Wiley avec ses ouvrages sur la vie quotidienne de Johnny Reb » et Billy Yank », archétypes des soldats sudiste et nordiste, parus respectivement en 1943 et 1952. De manière générale, le soldat en guerre passe beaucoup plus de temps à marcher ou à camper qu’à se battre. En dépit de cela, le combat demeure sans doute, dans une guerre, l’expérience paroxystique la plus marquante pour la majeure partie de ceux qui y sont confrontés. Comme l’écrit Chaline, la bataille est apocalypse au sens de révélation » – autrement dit, c’est souvent dans le combat que se révèlent les tempéraments, les personnalités et les idéaux de ceux qui le livrent. Connaître la façon dont ils se battent, c’est donc faire irruption dans leur vie tout autant qu’en se penchant sur d’autres aspects plus tranquilles de leur quotidien. En 1861, les tactiques en général n’ont que peu évolué depuis la fin des guerres napoléoniennes. On se bat toujours sur des espaces relativement réduits, excédant rarement les 150 ou 200 kilomètres carrés. Les unités demeurent rangées en formations serrées, comme elles l’ont presque toujours été depuis l’Antiquité. La raison de cette situation est essentiellement pratique. En l’absence d’autres moyens, la transmission des ordres est limitée aux capacités visuelles et auditives de ceux qui les reçoivent. Sur un champ de bataille du milieu du XIXème siècle, obscurci par la fumée que dégage l’utilisation de la poudre à canon et envahi par le vacarme assourdissant de l’artillerie et de la mousqueterie, celles-ci sont forcément très restreintes. L’officier qui doit donner des ordres à ses soldats doit donc les garder à portée de voix pour ce faire, d’autant plus que l’entraînement des recrues ne met en rien l’accent sur l’initiative individuelle. Si les régiments portent des uniformes plutôt voyants et un, voire plusieurs drapeaux, ce n’est pas par coquetterie mais pour être en mesure de se voir et de s’identifier plus aisément. Transmettre des ordres et des informations le long de la chaîne de commandement nécessite le recours à des estafettes à cheval, porteuses – lorsqu’elles parviennent à les remettre – d’instructions orales ou écrites. Quant à la transmission par sémaphore, elle existe – et sera employée avec bonheur par les Confédérés à Bull Run en 1861 – mais son utilisation demeure aléatoire et limitée, étant dépendante de la configuration du terrain et de la visibilité. Tous ces facteurs rendent pour ainsi dire obligatoire de livrer bataille en ordre serré. Une guerre de fantassins À travers les âges, l’infanterie a largement mérité son surnom de reine des batailles », mais ce ne fut peut-être jamais aussi vrai que durant la guerre de sécession. Cette dernière fut réellement une guerre de fantassins. McPherson estimait que la proportion d’infanterie dans l’effectif total des deux armées était de l’ordre de 85% pour les Fédéraux, peut-être un peu moins pour les Confédérés qui firent un usage plus important de la cavalerie. Rien que dans le Nord, près de régiments et unités diverses furent formés durant la guerre et sur ce total, environ étaient des unités d’infanterie. Alors que jusque-là , la cavalerie avait souvent joué un rôle décisif même si elle était déjà numériquement minoritaire, c’est l’infanterie qui, pour l’essentiel, gagna la guerre de Sécession. Les raisons sont variées. L’amélioration technique des armes à feu y a largement contribué. Par leur portée accrue, les fusils et les canons rayés ont fait du champ de bataille un endroit nettement plus périlleux qu’il ne l’était un demi-siècle plus tôt. Là où les balles sphériques de mousquet n’étaient guère dangereuses au-delà d’une centaine de mètres, les balles Minié des fusils rayés sont précises à 200 mètres, portent facilement à 500 et, dans un fusil adéquat entre les mains d’un tireur expert, peuvent encore faire mouche à près d’un kilomètre. Face à un tel feu, une charge traditionnelle de cavalerie avait toutes les chances d’être décimée avant même d’arriver au contact de l’ennemi. Quant à l’artillerie, ce fut la géographie qui l’empêcha de donner sa pleine mesure durant le conflit. Napoléon Bonaparte, lui-même artilleur de formation, en avait fait un outil important de ses victoires, capable d’affaiblir l’ennemi avant les charges de cavalerie qui le briseraient ensuite. Les progrès apportés par les canons rayés, en termes de portée comme de puissance de feu, auraient dû la rendre meurtrière sur les champs de bataille de la guerre de Sécession. Elle ne le fut pourtant que rarement. En 1861, les États-Unis sont encore en grande partie couverts de forêts, même sur la côte Est. Limitant la portée visuelle, cette caractéristique empêchera l’artillerie de donner toute sa mesure. En l’absence de moyens de communication permettant de recourir à des observateurs avancés, le tir indirect est limité à la guerre de siège, et les canons de campagne ne peuvent ouvrir le feu que sur des cibles que leurs servants voient. Un autre problème concernait la médiocrité globale du réseau routier et vicinal, obstacle au déplacement aisé de l’artillerie et a fortiori à sa concentration. Contraints de se rapprocher dangereusement des lignes ennemies pour les pilonner, les artilleurs eurent par conséquent à subir le tir de l’infanterie bien plus souvent que par le passé, et ils furent parmi les cibles privilégiées des tireurs d’élite. En résumé, la guerre de Sécession fut livrée à une époque et dans des circonstances où l’infanterie était déjà notoirement mieux armée que précédemment, reléguant la cavalerie à un rôle secondaire, et où l’artillerie n’avait pas encore la puissance de feu meurtrière qu’elle aurait acquis un demi-siècle plus tard. Le contexte était donc particulièrement favorable à ce que l’infanterie domine le champ de bataille. Manœuvrer en colonne À tout seigneur, tout honneur, donc. À la veille de la guerre, l’instruction et l’emploi tactique de l’infanterie repose essentiellement, aux États-Unis, sur deux manuels. Le premier avait été rédigé en 1835 par Winfield Scott et entérinait, en substance, les tactiques issues des guerres napoléoniennes. Il avait constitué la norme durant la guerre contre le Mexique, un type de conflit auquel il convenait très bien – même si c’était surtout l’artillerie qui avait fait merveille dans le camp américain. Ce manuel avait été remplacé en 1855 par un autre, œuvre du capitaine William Hardee. Conjugué avec l’adoption du fusil Springfield modèle 1855, une arme maniable et relativement courte à canon rayé, le manuel Hardee mettait l’accent sur la rapidité de mouvement et les tactiques de l’infanterie légère. Il sera actualisé en 1862, au Nord, par Silas Casey, afin d’intégrer l’usage du Springfield modèle 1861, plus long et légèrement différent. Dans l’un comme dans l’autre, l’influence française est patente. Outre les particularités du manuel Hardee concernant l’infanterie légère, sur lesquelles on reviendra, on retrouve chez Scott des tactiques similaires à celles que Napoléon Bonaparte avait employées et raffinées un demi-siècle plus tôt. Ainsi, la formation de base est la colonne. Généralement de quatre rangs de front, elle sert essentiellement aux déplacements colonne de route et à la manœuvre. Elle n’est, en revanche, plus guère utilisée au combat. Au début des guerres de la Révolution et de l’Empire, c’était encore la formation d’attaque privilégiée de l’infanterie, permettant de faire peser tout le poids d’une charge à la baïonnette sur un point précis de la ligne adverse. Toutefois, les énormes trouées faites à Borodino 1812 dans les colonnes de l’infanterie française par les canons russes, persuadèrent les tacticiens de tous pays que l’assaut en colonne n’était plus une solution viable contre une position disposant d’un soutien d’artillerie adéquat. L’apparition des fusils rayés ne fit qu’aggraver le problème. La colonne servit donc essentiellement, durant la guerre de sécession, à se déplacer. À ce propos, on notera qu’un régiment de plusieurs centaines d’hommes placé en colonne par quatre occupe déjà une certaine longueur. Qu’on multiplie par une moyenne de quatre régiments par brigade, trois brigades par division et trois divisions par corps d’armée, et l’on pourra se figurer la longueur considérable plusieurs kilomètres sur laquelle pouvait s’étirer une armée en marche – sans parler des attelages d’artillerie et des centaines de chariots transportant vivres, munitions et équipements divers. Sur les mauvaises routes d’alors, répertoriées sur des cartes souvent approximatives – lorsqu’il y en avait – et rarement tenues à jour, de telles colonnes pouvaient provoquer de gigantesques embouteillages, si bien que le seul fait de déplacer une armée relevait parfois de l’exploit. Pour les soldats, ces marches n’étaient pas de tout repos. Certes, ils n’y étaient pas astreints au pas même les manuels d’instruction, soucieux d’économiser leurs forces, recommandaient de ne l’employer que pour les manœuvres et les assauts. En revanche, leurs lourds uniformes en laine étaient peu adaptés à la chaleur estivale du climat nord-américain, et ils souffrirent considérablement des insolations et des coups de chaud. Combattre en ligne La formation de combat par excellence était donc la ligne, de deux rangs de profondeur. Celle-ci avait remplacé progressivement la ligne de trois rangs en usage jusqu’au début du XIXème siècle. Comme l’avait remarqué Napoléon Ier lui-même, une ligne de trois rangs de profondeur était moins avantageuse, car en faisant feu, le troisième rang devait consacrer plus d’attention à ne pas blesser les hommes du premier rang qu’à viser correctement. Parallèlement, une ligne de trois rangs n’offrait guère plus de chances de résister à une charge à la baïonnette. L’avantage principal de la ligne était qu’elle permettait d’exploiter pleinement la puissance de feu de l’infanterie, ce qui devint particulièrement crucial avec l’avènement des fusils rayés. En outre, le large front qu’elle présentait réduisait l’efficacité du tir de l’artillerie adverse si la cible qu’elle représentait était plus grande, elle était aussi plus dispersée. Ainsi, chaque coup de canon individuel faisait moins de victimes dans ses rangs. Le défaut majeur de la ligne était sa minceur, qui la rendait vulnérable à une attaque au corps-à -corps. Ces derniers, cependant, furent très rares durant la guerre de sécession. Ils le sont déjà de manière générale le plus souvent, si l’assaillant n’est pas repoussé, les défenseurs se replient instinctivement avant le contact. Ainsi que l’ont montré des études récentes sur le combat, seul un assaut sur dix se termine par un engagement au corps-à -corps. C’est finalement assez logique, s’embrocher à coups de baïonnette étant une activité encore plus contre-nature que se tirer dessus debout en rangs serrés. Pour cette raison, les combats au corps-à -corps se terminaient généralement assez vite, avec la fuite ou la reddition d’une des deux parties engagées. Les pertes qu’ils causaient n’en étaient pas moins élevées, ce type d’engagement demeurant, par essence, brutal. Pour les raisons déjà citées, les charges de cavalerie furent encore plus rares, surtout contre les positions défendues par de l’infanterie. De ce fait, l’emblématique formation en carré typique des guerres napoléoniennes perdit son utilité, et ne fut pour ainsi dire jamais employée. Il existait toutefois une alternative à la ligne la colonne par compagnie. Dans cette formation, les compagnies qui composent chaque régiment sont déployées en ligne sur un seul rang, mais elles sont placées l’une derrière l’autre plutôt que côte à côte. On obtient ainsi une ligne de dix rangs de profondeur au lieu de deux. La colonne par compagnie, hybride entre la ligne et la colonne d’assaut, fut parfois employée lorsque les commandants voulurent focaliser leur force d’attaque sur un point donné des lignes ennemies, dans un assaut à la baïonnette. L’idée de départ était louable il s’agissait d’éviter que l’attaque ne se transformât en un long et meurtrier échange de tirs rarement décisif, surtout pour les assaillants. Néanmoins, une telle tactique offrait, comme l’attaque en colonne, une cible de choix pour l’artillerie ennemie, et les quelques tentatives s’achevèrent généralement en désastre. Lors de la bataille d’Antietam 17 septembre 1862, par exemple, le général Mansfield déploya de cette façon le XIIème corps nordiste, constitué en grande partie de recrues inexpérimentées, et le mena à l’attaque. Les canons et l’infanterie sudistes l’accueillirent par un feu d’enfer le corps d’armée fut rapidement mis hors jeu et Mansfield lui-même fut mortellement blessé. Même le IIème corps de l’Union, jusque-là considéré comme une unité d’élite, fut décimé dans une attaque du même genre à Spotsylvania Court House, le 9 mai 1864. Non seulement l’assaut échoua à enlever la position sudiste, mais le IIème corps subit de telles pertes qu’il ne fut plus, par la suite, que l’ombre de ce qu’il avait été jusque-là . Bien plus que le choc, c’est le feu qui sera utilisé pendant la guerre de Sécession. À l’échelon régimentaire, les manuels en vigueur donnent au colonel un éventail assez large de possibilités quant à son utilisation. S’il veut maintenir un feu continu, il peut ainsi ordonner un tir par file les deux hommes formant l’extrémité droite de la ligne font feu, puis ce sont leurs deux voisins de gauche, et ainsi de suite jusqu’à ce que tout le régiment ait fait de même. Le tir par rang est également utilisé. Dans ce cas, la rangée de derrière ouvre le feu d’abord, puis celle de devant. Le feu Existent également le tir par compagnie – chacune des dix ou douze compagnies du régiment ouvrent le feu l’une après l’autre – et le tir par aile, les deux moitiés droite et gauche du régiment faisant feu successivement. On y ajoutera, bien évidemment, le tir par salve, où tout le régiment fait feu comme un seul homme. Cependant, l’application de ces différentes procédures réclamait une certaine discipline, que les volontaires constituant l’essentiel des armées de la guerre de sécession eurent beaucoup de mal à acquérir. Le plus souvent, seul le premier coup de feu était tiré en salve, les officiers laissant ensuite les soldats recharger et tirer à leur guise – c’est-à -dire, le plus souvent, aussi vite et mal qu’ils le pouvaient. Comparativement aux armées européennes encore réglées comme des horloges, cette apparente indiscipline ne lasse pas de surprendre. Ses causes sont diverses. Il y a ainsi, probablement, une dimension culturelle », si l’on ose dire. Les armées de volontaires de 1861 sont encore les héritières en droite ligne de celles ayant combattu pendant la guerre d’Indépendance. Ces citoyens-soldats, qui élisaient encore au début de la guerre leurs officiers, n’acceptaient d’exécuter les ordres que jusqu’à un certain point, et il fallut du temps pour en faire des combattants disciplinés. Ce n’est pas un hasard si les premiers mois de la guerre virent fleurir plusieurs manuels d’instructions spécifiquement adaptés aux volontaires. En outre, durant les combats livrés pour la guerre d’Indépendance puis les guerres indiennes, le marksmanship, l’habileté individuelle au tir, avait primé sur l’effet de masse. Il existe d’autres raisons, techniques et doctrinales. Le feu de salve avait été adopté pour compenser la précision et la portée réduites des mousquets à canon lisse une volée de balles avait plus de chances d’avoir un effet significatif sur l’ennemi que des tirs individuels. Les fusils rayés avaient rendu cette disposition superflue. Les armes étaient désormais suffisamment précises et puissantes pour qu’un tir à volonté » puisse être efficace. De surcroît, le manuel Hardee avait mis l’accent sur les tactiques de l’infanterie légère, dans lesquelles les feux de salve étaient accessoires, et qui laissait davantage la bride sur le cou du soldat quant au contrôle de ses tirs. Il est intéressant de noter que malgré tout, le tir de l’infanterie demeura, dans l’absolu, assez inefficace. Rien que dans le Nord, près de deux milliards de cartouches furent fabriquées, et des centaines de millions d’entre elles, au bas mot, furent tirées. Rien qu’entre mai et septembre 1864, les trois armées nordistes du département militaire du Mississippi en ont utilisé plus de 20 millions. En dépit de cela, le nombre total de tués et blessés, majoritairement par balles, n’excéda pas quelques centaines de milliers. En conséquence, on peut raisonnablement estimer que le taux de réussite au tir était de l’ordre d’une sur mille. Ce fut néanmoins suffisant pour assurer au conflit son caractère sanglant. Attaquer la quadrature du cercle Au niveau de la brigade, l’officier commandant a toute latitude quant au déploiement de ses forces. Disposer ses régiments sur une même ligne aura l’avantage d’en employer immédiatement et au mieux toute la puissance de feu. En conserver un ou plusieurs en réserve sur une seconde ligne peut s’avérer avantageux que ce soit en défense, pour renforcer un secteur plus fragile, ou en attaque – afin de pouvoir en faire porter le poids sur un point faible du dispositif ennemi une fois que celui-ci a été repéré. Un des régiments peut également être déployé en avant de la ligne principale, en tirailleurs il fera office d’élément de reconnaissance en attaque ou de piquet avancé en défense. Il est également possible de disposer l’un derrière l’autre les régiments, voire les brigades dans le cas d’une division, afin de permettre un assaut décomposé en plusieurs vagues. En théorie, cette tactique pouvait être un bon moyen de saturer les défenses ennemies. Dans la pratique, elle s’avéra difficile à mettre en œuvre, car la première ligne, une fois bloquée dans son élan, empêchait les suivantes d’avancer. Les Nordistes en firent l’expérience à Fredericksburg 13 décembre 1862, où 14 brigades assaillirent successivement les positions sudistes. Chacune se retrouva rapidement bloquée par la précédente, le tout sous le feu meurtrier des défenseurs. Parmi les solutions envisagées pour faire face à l’amélioration des armes à feu durant la première moitié du XIXème siècle, il y avait tout simplement… marcher plus vite. Jusque-là , les unités militaires marchaient lentement, sur un rythme de l’ordre de 75 à 80 pas par minute. Même au combat, elles ne passaient que peu de temps à portée de tir de l’ennemi et n’avaient pas besoin de s’en rapprocher plus vite. Lorsque les platines à percussion augmentèrent la cadence de tir, et les armes rayées, leur portée, les choses changèrent. Les armées adoptèrent un pas soutenu quicktime en anglais, nettement plus rapide environ 120 mouvements à la minute. C’est encore aujourd’hui la cadence réglementaire dans la plupart des armées du globe. Seules quelques unités ont conservé l’ancien pas lent, la plus connue étant la Légion Étrangère française. Le pas soutenu fut donc la démarche standard du soldat de la guerre de sécession au combat. En cas de nécessité, on pouvait recourir au pas de gymnastique double quick. Il ne s’agissait plus de marche à proprement parler à 165 pas/minute, les soldats trottinaient. Ce n’était pas non plus une course. Il n’était, en fait, pas possible de hausser davantage le rythme sans risquer de faire perdre sa cohésion à l’unité. Accessoirement, courir avec un fusil posé sur l’épaule comme c’était prescrit par les manuels était assez peu pratique. Ce n’était donc souhaitable que dans les derniers mètres d’une charge, juste avant le contact avec l’ennemi – si toutefois celui-ci ne s’était pas dérobé. S’enterrer pour survivre Si les tactiques offensives s’avérèrent à ce point problématiques durant la guerre de sécession, c’est aussi parce que le conflit vit l’utilisation à grande échelle d’un élément nouveau, qui allait révolutionner l’art militaire pour les décennies à venir la fortification de campagne. Une tendance déjà amorcée quelques années plus tôt pendant la Guerre de Crimée, mais que la plupart des observateurs avaient échoué à comprendre, essentiellement parce que les opérations militaires s’y étaient, en grande partie, confondues avec le siège de Sébastopol. Jusque-là , les fortifications non permanentes – redoutes, parapets, abattis, tranchées, forts en terre – avaient surtout été employés pour la guerre de siège. Elles permettaient de s’approcher des remparts ennemis tout en restant à couvert, et de positionner son artillerie à l’abri des canons adverses. Ces travaux de terrassement devinrent un élément incontournable de la poliorcétique à l’époque moderne, à tel point que l’expression ouvrir la tranchée » devint synonyme d’entamer un siège. Malgré tout, ils avaient aussi servi, occasionnellement, en rase campagne. Une armée sur la défensive pouvait les employer pour renforcer sa position. La construction de redoutes était particulièrement utile pour garder ou bloquer un point de passage obligé, comme par exemple celles mises en place par les Russes à Borodino sur la route de Moscou, et dont les Français s’emparèrent en 1812 au terme d’une des plus sanglantes batailles rangées de l’histoire. Néanmoins, la relative inefficacité des mousquets ne nécessitait pas, alors, de rechercher constamment le couvert. Quant au tir de l’artillerie, ses effets pouvaient être largement atténués en disposant les troupes légèrement en arrière d’une ligne de crête. Cette tactique du reverse slope, popularisée par le duc de Wellington lors de ses campagnes dans la péninsule ibérique, sera d’ailleurs réutilisée avec succès par Stonewall » Jackson lors d’une des premières batailles importantes de la guerre de Sécession, celle de Bull Run 21 juillet 1861. De manière générale, l’exposition au feu demeurait suffisamment brève pour que le fait de creuser des retranchements durant des batailles qui, de surcroît, s’étalaient rarement sur plus d’une journée, soit considéré comme superflu. Mais les armes à feu rayées allaient changer la donne. Avec des fusils dont la portée utile pouvait dépasser 500 mètres, et des canons qui demeuraient précis jusqu’à deux kilomètres voire au-delà , le champ de bataille devenait un endroit nettement plus dangereux qu’il ne l’avait été jusqu’alors. Le combattant, qui jusque-là n’était guère exposé que durant la dernière phase d’un assaut, n’était plus en sécurité nulle part. Soldats et officiers apprirent donc, durant le conflit, à chercher le couvert à chaque fois que c’était possible. Un autre facteur déterminant fut la nature même de la formation dispensée aux officiers avant la guerre. Bien qu’elle formât des cadres polyvalents, l’académie militaire de West Point mettait essentiellement l’accent, dans l’éducation qu’elle dispensait, sur les tactiques et techniques du génie. La défense du pays reposait avant tout sur son système de fortifications côtières, et West Point formait donc des ingénieurs militaires pour le construire et l’entretenir. Ce n’est pas un hasard si nombre des officiers sortis de l’académie quittaient ensuite l’armée pour devenir ingénieurs dans le civil. Ces diplômés de West Point formèrent la majeure partie des généraux qui servirent dans les deux camps durant la guerre. Leur formation les inclina par conséquent à faire établir des fortifications provisoires aussitôt qu’ils le pouvaient, et la pelle comme la pioche devinrent rapidement aussi familiers des soldats que l’étaient leur fusil ou leur havresac. Robert Lee gagna ainsi auprès de ses hommes le désagréable surnom de l’as de pique » ace of spades en anglais ; il s’agit d’un jeu de mots car spade signifie aussi pelle » après avoir ceinturé Savannah, puis Richmond, de kilomètres de tranchées et d’innombrables forts et batteries au début de la guerre. Au départ, les combattants utilisèrent tout ce qu’ils purent trouver comme couvert sur les champs de bataille clôtures et murets abondaient dans les terres agricoles, et même un chemin creux pouvait offrir une excellente protection – comme ce fut le cas à Shiloh 6-7 avril 1862 et Antietam 17 septembre 1862. Le talus d’une voie ferrée inachevée servit même de retranchement lors de la seconde bataille de Bull Run, en août 1862. Avec un minimum d’aménagements, ces éléments du champ de bataille pouvaient même devenir de redoutables positions fortifiées, comme le fut le mur de pierres courant le long des Marye’s Heights à Fredericksburg ou celui coiffant Cemetery Ridge à Gettysburg 1-3 juillet 1863. La fin de la guerre vit la généralisation de retranchements plus élaborés, rendant les assauts particulièrement meurtriers et forçant l’attaquant à établir un véritable siège s’il ne pouvait contourner l’obstacle. Les lignes que les Confédérés avaient fortifiées autour de Spotsylvania Court House furent le théâtre d’une des batailles les plus acharnées de toute la guerre en mai 1864, et dès le mois suivant, la bataille de Petersburg se figea en une guerre de tranchées préfigurant, avec cinquante ans d’avance, celle qui caractériserait la Grande Guerre. Si elle fut, pour l’essentiel, livrée avec les tactiques traditionnelles de l’infanterie lourde, la guerre de Sécession n’en réserva pas moins une place notable à celles, plus récentes, de l’infanterie légère. L’influence du manuel Hardee de 1855, déjà évoquée, était d’autant plus importante qu’au cours de la décennie précédente, l’infanterie fédérale n’avait guère affronté que des Amérindiens, contre lesquels le combat se résumait le plus souvent à des escarmouches en ordre dispersé. Une mode française Comme dans beaucoup d’autres domaines de la chose militaire, l’armée américaine était alors largement influencée par sa contrepartie française. Le prestige de cette dernière, malgré sa défaite finale de 1815, était alors inégalé. Elle restait alors sur une série de victoires, remportées face aux Néerlandais siège d’Anvers, 1832, aux Russes Guerre de Crimée, 1853-56 et aux Autrichiens guerre d’Italie, 1859, sans parler de la conquête de l’Algérie à partir de 1830. L’armée française passait surtout pour être à la pointe de la modernité, tant technique que tactique, et était vue par conséquent comme un modèle à suivre. C’est aussi de France que vint l’intérêt pour l’infanterie légère. Dès les guerres de la Révolution et de l’Empire, l’armée française créa des régiments d’infanterie légère, distincts de ceux d’infanterie de ligne. Leur entraînement mettait l’accent sur la rapidité de mouvement et la précision du tir individuel. Ces unités étaient utilisées prioritairement pour les manœuvres exigeant un déplacement rapide, en particulier sur terrain difficile, ainsi que pour couvrir les flancs de l’armée et mener des opérations de reconnaissance et de harcèlement. Toutefois, en dehors de ces missions, ces régiments combattaient en rangs serrés, comme l’infanterie de ligne. Les choses changèrent à partir de 1838 sous l’impulsion du duc d’Orléans, le fils aîné du roi Louis-Philippe. De son expérience d’officier en Algérie, le jeune prince avait tirée l’idée de faire combattre l’infanterie légère en ordre dispersé, non plus seulement lors de missions spécifiques, mais en permanence. Il fit créer cette année-là les premiers bataillons de chasseurs à pied. Libérés de l’obligation de combattre en ligne, ces soldats devaient se déplacer en courant, pouvaient tirer à volonté et se voyaient encouragés à prendre des initiatives – chose relativement nouvelle tant les armées européennes avaient, jusque-là , fonctionné dans un respect rigide de la chaîne de commandement. Les chasseurs à pied comptaient sur leur rapidité de mouvement et leur usage du couvert pour se rapprocher des lignes ennemies, et sur leur meilleur entraînement au tir pour abattre leurs adversaires. En théorie, ils pouvaient ainsi prendre le dessus sur l’infanterie de ligne en limitant leurs pertes. Dans la pratique, ce concept ne résista pas à l’épreuve des faits. Les armées européennes déployaient désormais une puissance de feu autrement supérieure à celle des guerriers d’Abd-el-Kader en Algérie. L’expérience de la guerre de Crimée, face aux tranchées qui ceinturaient Sébastopol, montra aux Français qu’ils avaient fait fausse route, et les chasseurs à pied apprirent à rentrer dans le rang » au sens littéral du terme. Une utilisation problématique Ironiquement, les Américains commencèrent à s’intéresser aux tactiques de l’infanterie légère au moment précis où l’armée française était sur le point de les délaisser. Le fusil Springfield modèle 1855, doté d’un canon relativement court lui conférant une meilleure maniabilité que les mousquets traditionnels, se prêtait admirablement à ce type de combat. En outre, les engagements contre les Indiens présentaient de grandes similitudes avec ceux que les Français avaient livrés en Algérie. Le contexte se prêtait donc à diffuser au sein de l’armée américaine la mode » des chasseurs à pied. Le manuel Hardee consacrait donc d’importants passages à la formation en ligne de tirailleurs skirmish line. Il s’agit d’une ligne simple et clairsemée, au sein de laquelle les soldats sont espacés d’au moins un yard 0,91 m, généralement deux. Ainsi déployé, un régiment peut facilement couvrir le front d’une brigade entière. Les tirailleurs peuvent ainsi tenir l’ennemi à distance tandis que la brigade s’organise, mener des reconnaissances – surtout en l’absence de cavalerie – ou bien harceler l’adversaire. Ils étaient, chose relativement nouvelle, entraînés à se servir du couvert et même à faire feu en position couchée. La ligne de tirailleurs fut abondamment utilisée au cours de la guerre, même si elle ne fut jamais la formation principale de l’infanterie. De fait, disperser les hommes revenait aussi à éparpiller leur puissance de feu, et on a vu que sans un entraînement adéquat – dont les volontaires bénéficiaient rarement – l’habileté au tir des combattants était toute relative. Malgré tout, la ligne de tirailleurs se montra utile et parfois même décisive en plusieurs occasions, comme à Chancellorsville 3 mai 1863 où deux régiments nordistes déployés de cette manière ralentirent suffisamment la progression des Confédérés pour permettre à l’Union de s’établir sur une nouvelle ligne de défense. Une telle formation n’était cependant guère adaptée à l’offensive. Il y eut bien quelques tentatives pour employer les tactiques de l’infanterie légère à plus grande échelle. La plus connue est celle faite par le colonel nordiste Morgan Smith durant la bataille du fort Donelson 15 février 1862. Smith, qui se tenait crânement à cheval derrière son régiment de tête, avait ordonné à celui-ci de progresser par bonds successifs, courant quelques dizaines de mètres avant de se mettre à plat ventre pour éviter les salves de l’ennemi. Ses hommes purent ainsi s’approcher des retranchements adverses et les prendre d’assaut en limitant leurs pertes. Malgré ce succès, cette tactique ne sera que rarement employée par la suite. Les officiers voyaient en effet avec un certain scepticisme une formation où les soldats risquaient d’échapper à leur contrôle direct. De surcroît, elle était vue comme étant de nature à nuire à la cohésion de l’unité. Combattre efficacement de cette manière nécessitait un entraînement prolongé que les volontaires de la guerre de sécession ne possédaient pas. Enfin – et surtout – le succès de cette tactique reposait sur l’utilisation par l’adversaire d’un feu de salve, qui permettait à l’assaillant d’avancer pendant que les défenseurs rechargeaient leur fusil. Un tir par file ou à volonté annulait l’effet escompté, et l’apparition d’armes à répétition, vers la fin du conflit, ne fit qu’aggraver le problème. Si les soldats se couchèrent fréquemment, ce fut le plus souvent en défense, pour échapper au tir de l’artillerie en l’absence d’autre couvert, ou pour se dissimuler. Tireurs d’élite Une des nombreuses nouveautés de la guerre de sécession fut le recours élargi aux tireurs de précision. Le concept n’était pas nouveau, pas plus que les armes rayées d’ailleurs. Des fusils rayés existaient dès le XVIIIème siècle, mais leurs balles sphériques devaient être littéralement forcées dans le canon, ce qui impliquait un rechargement de l’arme difficile et long, toutes choses peu pratiques sur un champ de bataille. Pour cette raison, ces armes n’étaient distribuées qu’à quelques très bons tireurs et n’étaient par conséquent employées qu’à très petite échelle. L’invention de la balle Minié permit la généralisation du fusil rayé, changeant ainsi la donne en permettant la fabrication d’armes très précises et d’utilisation plus aisée. Dès le début de la guerre de Sécession apparut l’idée de former des unités entières constituées de tireurs d’élite. Hiram Berdan, un ingénieur qui passait pour être le meilleur tireur de l’État de New York, proposa au département de la Guerre la création d’un régiment constitué des meilleurs tireurs de tout le pays. Le président Lincoln ayant intercédé en sa faveur, Berdan obtint rapidement gain de cause. Pour être enrôlé, chaque candidat devait se montrer capable de placer consécutivement dix balles à l’intérieur d’un cercle de 25 centimètres placé à 180 mètres de distance. L’initiative eut un tel succès qu’on eut assez de soldats pour former non pas un, mais deux régiments, désignés 1er et 2ème Sharpshooters regiments. Ces tireurs de précision » sharp signifiant précis » en anglais furent dotés d’uniformes verts pour leur permettre de se soustraire plus aisément à la vue de l’ennemi une des premières tentatives d’utilisation du camouflage sur un champ de bataille, même si elle demeura limitée à ces deux seules unités. Initialement priés d’amener leurs propres armes, souvent des fusils de chasse, les recrues furent ensuite dotées d’une version spécialement modifiée du fusil Sharps modèle 1859. Réputée pour sa précision, cette arme était à chargement par la culasse, ce qui lui permettait une cadence de tir allant jusqu’à 9 coups/minute. Berdan demanda notamment à son concepteur, Christian Sharps, d’en remplacer l’encombrant sabre-baïonnette par une baïonnette à douille. Il lui fit également installer un viseur métallique amovible, et modifier la hausse de sorte qu’elle permette de viser jusqu’à yards, soit plus de 900 mètres. Ces modifications firent grimper le coût unitaire du fusil de 35 à plus de 45 dollars, contre 12 dollars pour un Springfield modèle 1861. À cause de la cadence de tir élevée de leur fusil, les Sharpshooters de Berdan se virent distribuer 100 cartouches par homme, là où le fantassin de base n’en recevait que 40. Au grand déplaisir de Berdan – qui était colonel des deux régiments à la fois – ces unités ne furent jamais engagées en une seule brigade, comme il l'aurait souhaité, mais dispersées à travers toute l’armée du Potomac. Les compagnies furent détachées auprès des différents échelons de l’armée en fonction des besoins. Malgré tout, elles y excellèrent dans les rôles habituellement dévolus à l’infanterie déployée en tirailleurs. Elles se firent surtout une spécialité d’abattre les servants de l’artillerie ennemie, les officiers, les estafettes transmettant les ordres. Leur feu précis, dense et meurtrier les vit rapidement être imitées, et d’autres unités du même genre furent créées. Dans l’Ouest furent ainsi employés le 64ème régiment de l’Illinois et le 1er régiment du Michigan, dont une des compagnies était constituée d’Amérindiens. Les Sudistes ne furent pas en reste, créant par exemple les Palmetto Sharpshooters de Caroline du Sud. Les quelques centaines d’exemplaires du fusil Whitworth que les Confédérés purent importer de Grande-Bretagne leur furent distribués en priorité. Dans les deux camps, certains tireurs assortirent des lunettes nettes télescopiques à leur fusil, mais le caractère encombrant de ces premiers modèles – certaines étant plus longues que le fusil lui-même ! – rendait peu pratique leur utilisation au combat. Pour Napoléon Bonaparte, la cavalerie était l’arme décisive du champ de bataille. C’étaient ses charges qui brisaient l’armée ennemie après que celle-ci eût été usée à ses points les plus faibles par des attaques d’infanterie et les tirs concentrés de l’artillerie. Par sa puissance de choc et sa capacité à poursuivre l’ennemi, elle pouvait muer sa retraite en déroute, lui causant des pertes élevées. La guerre de Sécession ne connut rien de tout cela. Cinquante années d’évolution militaire avaient réduit la cavalerie à un rôle secondaire, et les Américains furent parmi les premiers à en faire l’expérience.
désoléde vous contredir mais je fais parti de la légion depuis 4 ans donc je c quand meme comment on n'y rentre Tu sais comment on rentre dans la légion, mais certainement pas comment on fait pour rentrer dans l'armée de terre, et encore moins Tireur de
La Direction Générale de l'Armement a lancé, en août 2018, un appel public à la concurrence pour doter l’armée de Terre Française de Fusils de précision semi-automatique FPSA. Ce nouveau fusil doit remplacer des armes en service depuis les années 1980 en permettant aux tireurs de précision des forces armées françaises de garder la supériorité sur l’adversaire, de jour comme de nuit, pour des tirs jusqu’à une distance de 800 mètres. Quelles sont les caractéristiques du marché du nouveau fusil de précision des militaires français? - Fusils de précision semi-automatique » [FPSA], - lunettes de visée à intensification de lumière, - dispositifs d’imagerie thermique, - 6,3 millions de munitions de 7,62×51 mm perforantes et de précision. Quels sont les attributaires du marché du nouveau fusil de précision des militaires français? La DGA a désigné le vainqueur de la procédure compétitive lancée en 2018 pour remplacer le fusil FR-F2 le groupement constitué des sociétés - OIP Sensor Systems Optique et Instruments de Précision - Telefunken-Racoms optoélectronique, associé aux sociétés - FN Herstal arme et lunette de jour, - MEN munitions. Ces industriels produiront le Fusil de précision semi-automatique FSPA de type SCAR-H PR Precision Rifle. D’un calibre identique au FR-F2 7,62 mm, le FSPA sera équipé d’optiques de jour et de nuit. La notification par la Direction générale de l’armement DGA, le 13 décembre 2019, d’un marché d’acquisition de 2 620 Fusils de précision semi-automatiques FPSA de type SCAR Special Combat Assault Riffle ouvre la voie aux premières livraisons, qui interviendront dès 2020 jusqu’en 2022. Quelles sont les caractéristiques du fusil de précision SCAR-H PR? Longueur 102 cm, Poids 6,75 kg en ordre de combat, avec chargeur garni de 20 cartouches, Calibre 7,62 x 51 mm, Nombre de munitions par chargeur 10 et 20, portée environ 800 mètres, contre 300 pour les fusils des autres soldats, Equipements complémentaires modules IL intensification de lumière et IR infrarouge pour le tir de nuit ou en mauvaise condition de visibilité, réducteur de son, valise de transport, munitions de précision et munitions perforantes. Quel est le prix du fusil de précision SCAR-H PR destiné à l'armée française? Ce marché d’acquisition de 2 620 Fusils de précision semi-automatiques FPSA de type SCAR représente au total un investissement de l’ordre de 100 millions d’euros. Les 2 620 fusils, les lunettes de visée à intensification de lumière, les dispositifs d’imagerie thermique et les 6,3 millions de munitions de 7,62×51 mm perforantes et de précision prévus dans l'"appel public à la concurrence" lancé en août 2018 seront livrés d’ici à 2022. Les premières livraisons débutent dès le début de l’année 2020. *ref délégation à l’information et à la communication de la Défense DICoD **photo 1
TireurDe Précision Armée De Terre. by ; January 22, 2021; This is some snippet preview from what you trying to search, the copyright of the images is owned by the original owner, this post is only to help you choose the best things what you are trying to search, because this post collecting some the best things from the things what you are trying to search .
François Gaignault Faut-il un ou des diplômes particuliers pour occuper votre fonction ? Adjudant-chef Christophe Pineau J'ai suivi un parcours classique pendant 10 ans dans l'institution militaire. En 1987, j'entre à l'Ecole des Sous-officiers d'active de l'Armée de Terre à Saint-Maixent, avant d'intégrer l'Ecole d'Application du Train à Tours. Après, j'ai été affecté au 602ème Régiment de Circulation Routière à Dijon. Là , j'ai occupé la fonction de chef de patrouille, responsable de 8 personnels, 2 jeeps et 2 motos. Puis, je suis devenu adjoint du chef de peloton et chef de peloton à part entière ayant alors sous mon commandement 30 personnes, 9 jeeps et 11 motos. Par la suite, le régiment a déménagé à Fontainebleau où a été créée l'Equipe d'enduro de l'Armée de Terre-FFM. C'est à partir de ce moment que ma carrière a commencé à s'orienter vers l'enduro mais toujours en tant que militaire. En 1999, toute l'équipe a été déplacée à Déols sur la base du 517ème Régiment du Train qui nous a accueillis après la dissolution de notre régiment. J'ai mon permis moto mais en revanche, je ne possède pas d'autres diplômes spécifiques à l'enduro et au sport de haut niveau. Néanmoins, mon adjoint, le sergent-chef Lecointre est moniteur de sport dans l'Armée de Terre et il a obtenu le Brevet d'Etat qui concerne notre activité. Ce n'est pas obligatoire mais je pense que cela apporte un plus. Cependant, rien ne remplacera jamais l'expérience. François Gaignault Comment se déroule le recrutement d'un membre de l'équipe EEAT-FFM ?Adjudant-chef Christophe Pineau Tout d'abord, il faut souligner que les pilotes et les mécaniciens de notre équipe sont tous volontaires de l'Armée de Terre VDAT. Ils signent un contrat d'un an renouvelable 4 fois, soit au maximum une durée de 5 ans parmi nous. Après 2 mois de formation initiale, les fameuses classes, à l'Escadron d'Instruction, ils sont intégrés directement à l'EEAT-FFM. Ils participent alors aux championnats de France, d'Europe et du Monde d'enduro. Mais avant d'en arriver là , les pilotes doivent être détectés dans le vivier des jeunes compétiteurs de la discipline par les entraîneurs de la Fédération Française de Motocyclisme comme de jeunes talents prometteurs. On leur propose, sur la base du volontariat, de suivre le parcours FFM avec des stages de perfectionnement. Puis, nous approchons ceux dont on pense qu'ils ont le meilleur potentiel mais aussi la capacité à vivre en collectivité dans le cadre de l'armée. Ils doivent adhérer à 100% au projet car c'est un sport individuel que nous pratiquons en équipe. Ils s'engagent chez nous comme sportifs de haut niveau pour représenter l'Armée de Terre dans leur sport. Ce statut de sportif de haut niveau est reconnu par le Ministère de la Jeunesse et des Sports. Nos recrues doivent être sociables et militaires dans leur comportement. Ils observent les droits et les devoirs du soldat. Quant aux mécaniciens, nous les recrutons s'ils ont un CAP-BEP cycle-motocycle, mais c'est le minimum, car nous préférons prendre des jeunes qui ont le Bac Pro. Leur recrutement est plus compliqué. Souvent j'utilise le bouche à oreille » et parfois même je recrute par voie de presse. En effet, il m'arrive d'avoir trois candidats pour une place et vice-versa ! Je demande aux volontaires de m'envoyer un CV et une lettre de motivation. Ils se déplacent également à la caserne car je veux leur montrer l'environnement dans lequel nous vivons. Lorsqu'un candidat est retenu, il passe les sélections qui s'apparentent aux fameux trois jours », encore bien ancrés dans la mémoire de ceux qui ont fait leur service militaire. Ensuite, il fait deux mois de classe pour après, intégrer l'atelier. Ils ont souvent une bonne connaissance théorique mais ils manquent d'expérience pratique, contrairement aux pilotes qui sont généralement montés très jeunes sur une moto et qui ont très vite fréquenté le monde de l'enduro. C'est pourquoi en 2010, j'ai choisi de fonctionner avec 4 pilotes et 6 mécaniciens. Ce format me permet de pallier à la jeunesse de mes mécaniciens, généralement nouveaux venus dans le milieu.
Aiguillépar son conseiller en recrutement, il commence comme pilote de véhicule blindé léger puis se forme pour devenir tireur de précision. « Dans l’armée de Terre, c’est du donnant-donnant, si vous êtes motivé, vous pouvez évoluer tout au long de votre carrière. » L'adjudant-chef David est chef d’un centre de recrutement
LE CONTRAT Le contrat initial est de 5 ans. A l'issue de ce premier contrat, le légionnaire peut choisir de poursuivre sa carrière par le biais de contrats successifs dont la durée varie entre 6 mois et 5 ans. En servant avec détermination et en fonction des aptitudes, une carrière de cadre peut vous être offerte dès 3 ans de service ! LES possibilités D'évolution L'avancement se fait selon le mérite. Tout légionnaire peut faire carrière, non pas par les diplômes scolaires ou professionnels acquis dans le civil, mais grâce aux examens militaires ou techniques réussis au cours des contrats successifs. Tous les sous-officiers de la Légion commencent leur carrière comme simple légionnaire. Taux d'encadrement actuel sur 4 légionnaires qui s'engagent aujourd'hui, l'un d'entre eux deviendra sous-officier. Avancement carrière militaire du rang Carrière sous-officier major année de service Jeune légionnaire 1 à 6 ans Caporal possible à partir de 2ans de service Sergent possible à partir de 3 ans de service étant déjà caporal Caporal-chef possible à partir de 5ans de service Sergent-Chef Possible à partir de 3ans de sergent 7 à 14 ans Adjudant possible à partir de 3ans de sergent-chef Adjudant-chef possible à partir de 4ans de grade d'adjudant Major sur concours, au grade d'adjudant-chef 14 à 25 ans et plus carrière D'OFFICIER 10% des officiers servant à la Légion étrangère ont d'abord servi comme légionnaire, puis comme sous-officier. Accessibilité aux concours internes favorisée.
Devenirtechnicien de maintenance armement au sein de l'armée de l'Air et de l'Espace, c tireur de précision, tireur de missile, opérateur radio Armée de Terre française. Angers. il y a 2 jours. TECHNICIEN DÉFENSE SOL-AIR. 1 328 € a 1 763 € formation professionnelle sur la base d'Avord . ~ Vous y apprendrez l’ armement d’un poste de guet à vue et mettrez en œuvre le
Préparation aux épreuves physiques du concours OfficierCe plan d'entrainement pour passer les épreuves physiques du concours national d'entrée à l'école des officiers de l'armée de terre répond à des exigences particulières. Il s'agit d'un cas concret contextualisé qui ne peut concerner directement que la personne à l'origine de la demande mais, comme tout programme, il requiert l'identification de priorités et l'application de principes de préparation clairs et pragmatiques. Les personnes intéressées devront inévitablement adapter cette préparation physique en s'appuyant sur leurs compétences propres. Ils pourront aussi s'inspirer des principes communs que nous avons mis en évidence dans le texte et qui sont résumés en fin d'article. Comment se préparer aux épreuves physiques du concours Officier ?Voici le courrier d'un visiteur désirant passer le concours d'entrée à l'école des officiers et notre réponse dans le paragraphe suivant." Je souhaiterais m'entrainer pour réussir avec les meilleurs notes possibles le concours physique des officiers de l'armée de terre barèmes ci-dessous. Je ne sais pas trop comment organiser un plan d'entrainement pour atteindre cet objectif. Sachant que en plus je souhaiterais avoir aussi une condition physique générale polyvalente sans objectif spécifique de prise de masse par exemple. Bref je voudrais être physiquement polyvalent et être au top du barème. Actuellement je mesure 1,83 m et pèse 69 kg. Je fais des séances de HIIT 3 fois par semaine 15/20 min tout le corps, suivi de séance de 40 à 60 minutes de natation et vélo. Je vais me remettre très prochainement à la course à pied. Je suis dans l'attente de semelle orthopédique suite à une tendinite du genou. Avant que je me blesse je courais facilement 1h d'affilée pour 10 km en forçant un peu j'ai déjà réussi à faire 53 min pour 10 km. J'arrive à faire 16 tractions d'affilée et une bonne soixantaine d'abdos. Une dernière question concernant l’entraînement vaut-il mieux faire de longues séances de sport 3 fois par semaine en pratiquant le même jour le renforcement musculaire et la natation par exemple ou répartir les séances sur 5 jours pas semaine pour se garder au moins 2 jours de repos? "Consultez ci-dessous les Barêmes indicatifs féminin et masculin des épreuves sportives du concours de recrutement OFFICIER pour l'école spéciale militaire de Saint-Cyr, l'école de l'air, l'école navale et l'école des officiers de la gendarmerie barêmes sont aussi disponibles au téléchargement sur le site des écoles de Saint-Cyr concrètes pour une préparation personnaliséeIdentifier les prioritésIl semble que les exercices de force ne sont pas un problème en ce qui vous concerne. Je pense qu'à ce niveau un simple entretien de votre potentiel est suffisant. Pour préparer un concours il faut s'entrainer utile et travailler les points faibles. En réussissant déjà à faire 16 tractions et 60 abdos vous êtes au maximum du barême, il vous suffit d'entretenir vos capacités musculaires sans chercher à les améliorer en intégrant par exemple de courtes séries tractions-abdos-squat dans vos séances HIIT. Vous pouvez par exemple faire une séance Crossfit AMRAP en répétant autant de fois que possible durant 20 minutes la série 5 tractions - 10 sit-up - 15 son niveau de basePour les 3 épreuves de déplacement, 50 m sprint, 3000 m course et 50 m nage libre, vous pouvez dans un premier temps faire une performance dite de base puis, compte tenu de la durée de préparation dont vous disposez, vous vous fixez un objectif final chiffré réaliste. Cet objectif sera la base de vos entrainements mais il peut être actualisé à la hausse ou à la baisse s'il s'avère que vous progressez vite ... ou un calendrier de tests et une variation de la charge de travailTous les mois environ vous pouvez refaire un test d'évaluation sur les 3 épreuves pour actualiser votre objectif final. Sur le plan des conseils généraux vous devez penser à réduire votre entrainement durant une semaine toutes les trois semaines ce qui donne une montée en puissance progressive au niveau du volume de travail sur 3 semaines puis une coupure relative d'une semaine durant laquelle vous réduisez le nombre et la durée de vos séances tout en conservant la même la fin de cette semaine de récupération vous pouvez faire vos tests d'évaluation intermédiaire pour définir un nouvel objectif final pour chacune des épreuves préparées. Il découle de cette approche que le temps total de votre préparation doit au minimum être de 12 semaines pour vivre au moins trois cycles de travail sous la forme décrite. S'il s'avère que cette durée est trop longue compte tenu de la date de l'échéance finale, la date de votre concours, vous devrez réduire les cycles à 3 ou même deux semaines et conserver 3 cycles de préparation intermédiaire. Vous ne serez pas dans des conditions optimales pour réellement progresser mais vous vous connaitrez quand même bien grâce aux différents test passés à la fin de chaque le niveau d'intensité et le volume des fractions d'effortCe choix est le plus délicat et le plus important de votre préparation. Dans le détail des séances vous devez utiliser le temps de base votre objectif chiffré pour effectuer des répétitions à une intensité plus forte mais sur une durée plus faible. Prenons un exemple. En natation vous avez décidé de viser le temps de 32 secondes parce que vous avez nagé votre premier 50 m en 37 secondes . Cinq secondes d'amélioration est un objectif ambitieux mais vous allez aussi progresser peut-être en technique, d'où la difficulté à fixer un objectif très précis. Gardons ce temps de 32 secondes; vous devez donc faire en alternance des séries de 25 m en 16 secondes puis nager le 25 m suivant très lentement. Le volume total de votre séance qui n'excède pas une heure sur un premier cycle de travail doit contenir au moins de 10 répétitions de cette alternance 25 m vite - lent soit 2 X 25m x 10 = 500 m. Gardez un peu de temps avant et après ce bloc de répétitions pour bien vous échauffer battements de pieds, plongeons et apnées et bien récupérer nage souple en étant le plus décontracté possible. Le volume total augmentera sur les cycles suivants en augmentant le nombre de répétitions mais vous devez éviter de dépasser les 2 heures pour vos séances; vous risqueriez d'être rapidement en faut appliquer les mêmes principes d'entrainement en sprint et sur la course longue 3000 m. Les fractions d'effort pour le sprint peuvent être de 25 m et pour la course longue de 500 m. L'objectif de vitesse de vos fractionnés doit toujours être établi en référence à votre objectif final sur l'épreuve complète. Ainsi, si votre objectif sur 3000 m est de 11 minutes, vos 500 m doivent toujours être courus en 1 minute 50 secondes. Si vous préférez courir sur des distances plus courtes, 250 m par exemple, vous devez garder la même vitesse et donc boucler vos 250 m en 55 secondes. Il s'agit de trouver et d'automatiser une vitesse spécifique en suivant un entrainement "au train".Varier les méthodes d'entrainementPour le sprint sur 50 m la méthode décrite précédente est possible mais peu commode à appliquer car l'accélération au démarrage occupe une trop grande part de l'effort sur 25 m. Vous pouvez plutôt utiliser vos séances de HIIT mais en privilégiant les jambes pour améliorer votre explosivité. Vous pouvez sprinter en descente pour gagner en amplitude l'angle de descente ne doit pas être trop important pour éviter les traumatismes. Vous pouvez aussi faire des foulées bondissantes sur 20 m ou faire la séance que j'appelle Puissance 10. Il s'agit d'un programme de musculation pour gagner en puissance en associant les 3 régimes de contraction musculaire isométrique, pliométrique et concentrique.Il fait partie du programme de musculation au poids du corps téléchargeable sur le site. La différence est que vous pouvez finir par un 20 mètres sprinté et non un 10 m comme il est décrit sur la page Programme de Musculation pour la Puissance. Il y a aussi des axes de complexification en fin d'article pour durcir encore plus vos la préparation physique avec des étirements et des massagesSur le plan général, pour éviter les blessures de type contractures, vous devez faire des étirements quotidiens des muscles postérieurs dos, fessiers ischio-jambiers et mollets . Vous gagnerez aussi un peu en amplitude de foulées . je vous conseille tout particulièrement l'étirement du moyen fessier. C'est le 2° étirement de la page très efficace contre la tendinite de la hanche et du fascia lataLes footings très lents sont aussi très utiles pour récupérer des courbatures; 30 minutes suffisent car il s'agit, en courant de la sorte, d'effectuer un simple massage dynamique corporel très utile pour faire circuler le liquide lymphatique présent dans les fascias les enveloppes musculaires. Il n'y a alors aucun objectif d'intensité. Vous m'indiquez que vous avez couru 10 km sur une heure environ. Vous n'avez pas besoin de ce type d'entrainement pour votre préparation. Toujours pour bien récupérer vous pouvez faire des auto-massages avec finir, concernant votre tendinite et la solution que vous allez utiliser, une semelle orthopédique, je suis un peu sceptique. Il est possible que votre tendinite ne soit pas due à un déséquilibre corporel et il est aussi possible que, s'il y a déséquilibre corporel, ce déséquilibre ne soit pas anatomique mais fonctionnel, dû par exemple à une contraction musculaire au niveau de la hanche. Vous pourriez peut-être consulter un ostéopathe diplomé avant d'utiliser vos la planification hebdomadaire des séancesConcernant la répartition des séances sur la semaine, si vous avez du temps libre il est préférable de répartir vos entrainements sur 5 jours. Il est surtout important d'être à l'écoute de votre corps et de ne pas tenter de vous tenir aveuglément à un planning préétabli. Tous les signaux tel que mauvais sommeil, crampes, irritabilité ou baisse de motivation et de moral doivent vous alerter. Un petit break de un jour est suffisant pour bien récupérer quand c'est nécessaire. Tenez-moi au courant aussi bien pour votre entrainement que pour votre généralisables de préparation physique aux concoursLe plan d'entrainement qui précède est construit selon des principes que l'on peut généraliser à toutes les préparations physiques de concours. Les concours requièrent des compétences très précises parfois différentes pour les hommes et les femmes. Pour les tests physiques du concours d'entrée dans l'armée de l'air par exemple, les hommes doivent faire des tractions alors que les femmes doivent tenir en compétences sont aussi évaluées par des épreuves ponctuelles parfois éloignées des habiletés sportives mais plus proche des exigences de terrain spécifique pompiers, forces de l'ordre. Il faut faire la preuve de l'acquisition de ces compétences à un moment précis, comme pour un match ou une compétition sportive; il faut donc faire coïncider un état optimal de forme à l'issue d'une préparation progressive avec des capacités ciblées et une échéance temporelle sur laquelle on n'a pas de prise. Pour cela il faut appliquer les principes les priorités est la première règle pour établir un plan d'entrainement. Il ne faut pas se faire plaisir et perdre du temps à travailler sur des compétences déjà acquises par rapport au niveau demandé pour le concours. Les points faibles doivent être abordés en prioritéIl faut aussi établir un calendrier rigoureux avec un test initial de début et des échéances ou tests intermédiaires imposés et immuables. La date du concours n'est pas négociable; on doit aussi s'habituer à aborder des simulations d'épreuve sans nécessairement choisir le moment idéal. Le rythme de 3 semaines d'efforts et une semaine de récupération relative est, selon nous, le rythme idéal pour progresser sans s' doit établir des sous-buts intermédiaires ambitieux mais réalistes en choisissant la bonne intensité dans les fractions d'effort. L'entrainement fractionné a depuis très longtemps fait ses preuves mais à condition de faire coïncider les ressources du moment et les contraintes des tâches. Les tests intermédiaires aident à rapprocher ressources et est nécessaire d'adapter la planification hebdomadaire aux contraintes extérieures familiales, professionnelles et associatives. Le volume d'entrainement peut être réparti en 3, 4, 5 ou même 6 séances, peu importe; l'essentiel est de pouvoir se ménager des temps de repos ou des prises de distances quand les circonstances le les méthodes, le matériel et les lieux de pratique est une règle de travail importante notamment dans le cadre du renforcement musculaire pour entretenir une bonne motivation. Il faut savoir combiner l'approche athlétique de l'interval-training pour les épreuves de déplacement et l'entrainement fonctionnel croisé pour les épreuves de se masser avec un rouleau et faire des footings très lents doit devenir un réflexe quasi-quotidien pour gagner en amplitude articulaire, soulager les courbatures et stimuler le système lymphatique en activant les fascias. Courir à très petite vitesse n'entraine aucune modification au niveau cardio-vasculaire mais procure un bien-être global grâce aux sursauts et vibrations de la foulée de course. Avec une parfaite alimentation évitant les produits transformés et privilégiant les fruits et légumes bio de saison ces pratiques physiques garantissent une aisance et une mobilité satisfaisante durant toute l'existence donc à fortiori à court terme pour être pleinement efficace en préparation de sportifsÉpreuves physiques du Concours Officier ->
Larmée regroupe deux grandes catégories de tireurs : les tireurs de précision et les tireurs d'élite (TE) ou tireurs longue distance (TELD). Ce sont les meilleurs, la crème de la crème du tir car ils peuvent atteindre une cible jusqu’à 1 500 mètres et un véhicule jusqu’à 1 800 mètres, contrairement aux tireurs de précision qui sont limités à des cibles jusqu’à 800 mètres.
=> Article rédigé par Reinho, rédacteur de Survivre au Chaos. Cet article, quelque peu technique, à pour but, en plus de donner quelques principes de base du tir de précision, de briser des clichés et lieux communs connus de tous. Il est basé sur mon expérience de tireur, que ce soit à l'armée que j'ai quittée il y a un an et demi ou dans les stand de tir que je ne compte pas quitter... Commençons par cette phrase de la FFT qui résumera tout de suite dans quel merdier vous vous mettez en commençant le tir de précision " Tout ce qui est simple est FAUX, et tout ce qui est compliqué est INUTILISABLE. " Cette phrase résume plutôt bien le tir de précision, du moins, pour ceux qui décideraient de devenir bon dans ce domaine. Oui, parce que si vous pensez que le tir de précision est simplement le fait de régler une lunette sur un fusil, mettre la cible dans le viseur, puis tirer, c'est que vous regardez trop de films américains... La balistique Pour commencer, un peu de culture... Balistique ne vient pas de balle » mais de baliste, un vieil engin de guerre prévu pour le siège des châteaux-forts, qui effectuait des tirs courbes sur de longues distances. Ces engins, pour les plus gros, avaient le défaut de mettre beaucoup de temps à se recharger. Une baliste gréco-romaine Leur utilisation a amenée une étude de la trajectoire des projectiles pour un réglage de plus en plus précis, dans le but de pouvoir toucher du premier coup. Le terme est resté, et la balistique est donc l'étude de la trajectoire des projectiles balles en l’occurrence dans le but d’être le plus précis possible. Bien sûr, cette étude n'est pas effectuée par les utilisateurs d'armes, mais par ceux qui fabriquent les munitions. Les tireurs ne font qu'utiliser les données. Il existe 4 types de balistique - La balistique interne, qui étudie la réaction d'une balle dans le canon en fonction de ses rayures et de sa longueur, entre autre. Peu d'intérêt, sauf pour certains tireurs qui, pour plus de précision, changeront carrément de canon en fonction des conditions atmosphériques plus ou moins lourd, rayures plus ou moins étirées.... - La balistique externe, est l'étude de la réaction de la balle entre le moment où elle sort du canon et celui où elle touche la cible beaucoup de choses à prendre en compte, comme les facteurs environnementaux. - La balistique terminale, étudie la réaction d'une balle sur une cible. Et surtout ce qui reste de la cible une fois touchée par la balle... Donc le but est de savoir quelle balle utiliser pour un bon rapport portée/énergie finale. Et, pour votre culture personnelle, sachez qu'il existe enfin la balistique de bouche » qui étudie la réaction de la balle au moment où elle sort du canon. Elle est uniquement utilisée par les fabricants d'armes pour concevoir des freins de bouche et des caches flammes ; Aucun intérêt pour les tireurs, donc. Le coefficient balistique Le coefficient balistique, c'est un peu le nerf du tir, mais surtout de la chasse, puisqu'il va nous permettre de savoir quelle ogive utiliser suivant les résultats escomptés. Le coefficient balistique est l'élément qui vous permettra de connaître la portée de votre munition. Celle-ci sera déterminée par la forme de l'ogive, et son aérodynamisme donc sa pénétration dans l'air. Balles de 223 au coefficient balistique élevé cb 0,29 Plus votre balle aura une forme aérodynamique, plus elle aura de portée, MAIS moins elle fera de dommage sur la cible. Donc si vous tirez sur quelqu'un avec ça photo ci-dessus, la balle va le traverser de part en part, mais sans dégager beaucoup d’énergie. Balles au coefficient balistique équilibré cb 0,23 Par contre, plus le coefficient balistique sera faible, plus elle fera de dégâts... MAIS moins elle aura de portée. La forme ronde de la balle développant plus d'énergie à l'impact qu'une balle pointue. Balles de 223 au coefficient balistique faible cb 0,16 Donc, le fait de bien choisir sa balle en plus de tout le reste est aussi très important. C'est un principe bien connus des chasseurs de gros gibiers qui tirent à la carabine. Dans le doute, vous pouvez leur demander conseil. Mais bien sûr, si vous avez les moyens financiers, vous pouvez acheter des balles nouvelle génération polyvalentes, ayant un coefficient balistique élevé ET une balistique terminale puissante. Et là , bien sur, vous pourrez vous demander Mais si un fusil d'assaut est fait pour de la courte portée, alors pourquoi l'armée Française utilise-t-elle des balles au coefficient balistique élevé ? Oui, ça à l'air de remettre en question tout ce que je viens de vous expliquer. Mais non, une munition arrondie serait sûrement un meilleur choix pour une armée, surtout quand les combats urbains sont aussi répandus, et donc la portée de plus en plus faible et oui, c'est fini les combats en forêt !. Mais tout ça est décidé par des généraux qui sont très loin de connaître quoi que ce soit en balistique, et qui sont bien trop souvent nostalgiques des combats d'autrefois. Quand j'étais à Vigipirate, un haut officier est venu nous parler, et nous donnait la possibilité de lui poser des questions. Dire qu'il n'y connaissait rien en combat et armement est encore un euphémisme. Il était, comme tous les autres, complètement déconnecté de la réalité des combats d'aujourd'hui. Le réglage initial, puis la dérive de la balle Une lunette se règle suivant des conditions dites zéro », c'est à dire sans vent, sans pluie, pression atmosphérique et température moyennes, et sans angle de tir. Quand cela est fait, la lunette est dite réglée », mais à chaque tir la lunette devra être réglée de nouveau suivant les caractéristiques du tir - Les facteurs de vent, que ce soit en force et en direction, joueront sur le gisement de la balle c'est à dire pousseront la balle à gauche ou à droite de la cible - Les facteurs de pression atmosphérique joueront avec le site c'est à dire appuieront plus ou moins sur la balle, ce qui modifiera la portée - Les facteurs d'angle de tir joueront sur la courbe de trajectoire balistique, ce qui modifiera également la portée. - Les mouvements de la cible, qui prendra en compte le temps de vol de la balle. Un exemple cinématographique sur le temps de vol de la balle, pour ceux qui ont vu le début du film shooter tireur d'élite » Bob Lee doit tuer un conducteur de camion dans le désert, 800 mètres et il roule à 50km/H. J'ai fait le calcul... Et oui, avec une 308 win, le report de tir est bien de 2 millièmes, mais s'il roulait à 45 km/h au lieu de 50 km/h, la balle serait passée à 2m50 de lui. Donc pas de cible mouvante rapide au fusil de précision ! Mais on peut aller beaucoup plus loin que ça pour le tir à très longue distance, voire à distances extrêmes au delà de 1800 mètres. Comme l'effet de Coriolis qui prendra en compte le déplacement de la terre, du moment où vous tirez jusqu'au moment ou la balle touche la cible, qui dépendra entre autre de votre inclinaison par rapport au plein sud ou au plein nord. Je ne connais ce principe qu'en théorie et ne l'ai jamais mis en en application, bien entendu. J'en parle juste pour montrer à quel point le tir sur de longues distances peut être vraiment complexe. Un gros calibre pour une meilleure précision ? Passons maintenant au thème pratique, quelle munition utiliser. le choix d'une munition à l'air assez simple Il suffirait finalement d'acheter la munition la plus puissante possible, sur le fusil le moins cher possible. En fait non, ce serait la pire des choses à faire. Un calibre puissant, comme celui ci-dessous, aura deux qualités évidentes Une très longue portée, et une balistique terminale très élevée... Mais aura par contre tous les défauts possibles Ce sera un fusil très cher à l'achat. Car acheter un fusil en 338lm à petit budget, par exemple, ne vous permettra pas de tirer plus de quelques munitions par jour, voire par semaine. L'usure du canon sera très rapide, et donc sa durée de vie réduite d'autant. Sans même parler du risque de voir le canon vous péter à la figure... Oui, à la base c'était un fusil ! Il nécessitera également un optique et des rails de très bonne qualité pour éviter, au mieux, de se dérégler, au pire, de péter à la première cartouche tirée. Les munitions seront également très coûteuses et difficiles à se procurer, surtout pour un survivaliste dans un scénario de chaos. Sans même parler de prix, l’entraînement sera également très complexe. Les pas de tir à longues distances sont très rares en France, et vous aurez du mal à trouver un tireur compétent qui pourra vous donner de bons conseils, sans devoir passer par les forums comme feu libre ». Je parle pour les calibres du genre 338lm, 500bmg, ou ceux nouvelle génération comme le 408 ou 416 faits pour des distances extrêmes. Donc on va descendre d'un cran, et rester sur les fusils à longues et moyennes distances. Pour commencer, un calibre ne se choisit pas aussi facilement que ça, et surtout pas sur la bonne occasion du fusil en promotion sur Naturabuy. Comment choisir un calibre adapté Personnellement, avant la législation de 2013 je m'était arrêté sur deux calibres La 270wsm et la 300win mag. Mais quand la loi est passée, j'en avais plus rien à faire de ces calibres de chasse. Je me suis intéressé aux calibres militaires, notamment ces 4 munitions la 7,62/51 OTAN la 7,5/55 SWISS la 7,92mm pour mauser 98 et la 7,62/54R russe Le choix d'une munition se définit, selon la FFT par le graphique suivant. Trouvez une munition qui vous convient, rapport qualité prix, puis trouvez l'arme qui vous correspond le mieux pour la tirer. Si ça ne vous convient pas, inversez cette donnée. Bien sûr, on peut pousser le résonnement un peu plus loin, et prendre en compte différentes données, suivant votre implication dans le tir. Le budget étant très important dans le choix de son calibre, pour un souci de maintien de l’entraînement et de stockage, j'ai sorti deux calibres du lot, la 7,62/51 OTAN l'une des munitions favorites des tireurs et la 7,62/54R russe. Finalement, j'ai trouvé une lunette militaire ukrainienne, avec un réticule correspondant à la munition 7,62/54R, et j'ai donc choisi ce calibre là . Réticule militaire, chevronné pour une munition 7,62/54R Ce qui est en bas à gauche du réticule est une échelle stadimétrique ». Elle permet de connaître approximativement mais rapidement la distance d'une cible en la positionnant dessus. La barre horizontale est marquée par 20 barres verticales, chacune espacée d'un millième, ce qui permet de décaler le tir en fonction du report souhaité, mais également de calculer une distance sur le terrain voire de déterminer la taille d'un objet on en parlera dans un autre article. Je parlais tout à l'heure de balistique externe, qui étudie la trajectoire des munitions. Cette étude permet de tracer sa courbe de trajectoire. La courbe de trajectoire balistique, c'est la trajectoire prédéfinie que suivra une munition. Dans le cas présent, le réticule de ma lunette sera réglé sur cette courbe et permettra un tir à des distances connues, sans à avoir à toucher au réglage du site. La connaissance de la courbe de trajectoire et des dérives du fait des conditions atmosphériques, vous permettra de construire des tables de tir » qui vous donneront la possibilité de régler votre lunette facilement, par des calculs faits à l'avance. Le choix du fusil était ensuite évident, pour une catégorie C, j'avais le Mosin Nagant, puis pour une catégorie B prochainement la SVD Dragunov, et ses dérivés. Donc je me retrouve avec un Mosin Nagant revalorisé avec une carcasse en fibre de carbone, frein de bouche, chargeurs modulaire et lunette. J'ai décidé de choisir directement une munition qui correspondait à la lunette, mais sinon, je pouvais aussi en prendre une plus puissante, puis recharger mes munitions pour les faire correspondre à la courbe de trajectoire balistique de la 7,62/54R. Mosin Nagant 1891/1930 Sniper avec sa lunette d'origine La munition 22LR est sûrement l'un des sujets les plus discutés sur ce blog, mais je vais quand même devoir en reparler un peu. Bon, commençons tout de suite par les défauts de cette munition La portée est vraiment courte, 100 mètres en hausse de combat, 200 mètres en portée maxi. Deuxième défaut, la balistique terminale est vraiment faible Même avec de la balle creuse, vous aurez du mal à neutraliser quelqu'un, à moins de toucher les parties vitales. La munition et le fusil ne coûtent vraiment pas cher, mais l'une des meilleures raisons pour la choisir, est le réducteur de son silencieux, vraiment efficace, que ce soit pour l’atténuation du son mais aussi la dissimulation de la flamme. le réducteur de son Une munition, quand elle est tirée, va émettre trois détonations ; Une au moment du tir, une autre quand la balle sort du canon, et la dernière quand la balle passe le mur du son en sortant du canon. La première sera atténuée naturellement dans la chambre du fusil, qui isolera plus ou moins bien le bruit de la détonation. Certains fusils militaires proposent même des chambres à isolation phoniques, faites spécialement pour les munitions silencieuses. La deuxième détonation est directement liée à la décompression des gaz dans l'air ambiant. Le réducteur de son atténuera cette détonation en créant une sorte de chambre de décompression isolée acoustiquement. La troisième, et la plus problématique, ne pourra être supprimée sans l'utilisation de balles subsoniques, c'est à dire allant à une vitesse ne dépassant pas le mur du son... ça à l'air de rien, mais ça pose un sérieux problème pour du tir à longue distance. Le mur du son étant à 340m/s, une balle de fusil d'assaut allant jusqu'à 1000m/s, et une balle de fusil de précision avoisinant les 850m/s, vous imaginez à quel point cela devient problématique pour la portée, quand il faut diviser par trois la vitesse initiale d'une munition ! Petite parenthèse, la limite de 1000m/s pour une arme de petit calibre est définie par la convention de Genève, qui doit normalement s'appliquer à tous les pays du monde mais que certains ne respecte pas. L'armée Française achète ses munitions à Israël, qui est très loin de la respecter ; Les munitions avoisinent plutôt les 1200m/s. le recul C'est, je pense, le point le plus important. Sur le plan théorique, le recul d'une arme ne modifie en rien sa précision. Le recul se fait quand la balle sort du canon, donc même si le canon se relève d'un mètre, la balle est déjà sortie et ne modifiera pas la ligne de mire. Mais ça c'est sur le plan théorique uniquement, car psychologiquement, le résultat n'aura plus rien à voir. Pour illustrer ce principe, je vous renvoie à une vidéo tournée il y a trois ans, lorsque j'ai emmené mon frère au stand de tir pour fêter ses 30 ans. Je venais de le faire tirer avec un Colt python en 357mag, qui est un calibre assez soft et agréable, et je lui ai mis dans les mains un 44mag, en lui disant que c'était à peine plus puissant. La première cartouche est bien en cible. Les autres, non... La première, il se concentre uniquement sur la cible, mais sur les autres, il se contente d'encaisser comme il peut le choc du recul qu'il se prend à chaque fois. On le voit vraiment bien à la dernière, quand le barillet est vide. Cet effet se remarque bien avec une arme de poing, mais c'est pareil avec une arme d'épaule. Quand vous savez que vous allez vous en prendre plein l'épaule ou la tête, vous n’êtes pas concentré sur le tir mais uniquement sur le recul, et là , la balle ne touchera pas tellement vous serez crispé. Une bonne connaissance de ces effets sera nécessaire dans le choix d'une munition mais aussi de l'arme, car de manière générale, plus votre arme sera de petit budget, moins elle sera à même d'atténuer le recul. Conclusion La meilleure solution pour se trouver un calibre adapté, puis une arme convenable, si je peux vous donner un seul conseil Pour commencer, trouvez vous une arme de petit calibre pour vous entraîner, comme une carabine à plomb ou une 22lr. Je rappelle qu'une simple réplique airsoft vous permettra d’acquérir les bases du tir, les bonnes positions de bases, prises de visée, respiration, etc. Puis ensuite, dans le stand de tir ou vous irez vous inscrire, parlez, regardez, intéressez vous... Entraînement de ma sœur, dans son jardin Personnellement, je n'ai jamais refusé à qui que ce soit de prêter l'une de mes armes, même un débutant, et jamais on ne me l'a refusé non plus. J'ai toujours accepté de prendre un peu de temps pour discuter et donner des conseils sur ma manière de tirer, et on ne m'a jamais envoyé balader en demandant conseil à quelqu'un. Le tir passe par un échange d’expérience, il y a une cohésion, une entraide qui permettent de progresser, mais aussi de ne pas faire des erreurs de débutant. Erreurs que vous ferez si vous vous contentez de vous inscrire, d'acheter une arme au rabais avec son stock de munitions, puis ne jamais retourner au stand Ce qui arrive souvent. Vous vous retrouverez juste avec une arme inadaptée, donc inutilisable, et aucune connaissance pour vous en servir correctement...
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devenir tireur de précision armée de terre