IlsĂ©taient cinq dans le nid Cette comptine est d’origine anglaise (« There were ten in the bed »). Elle a Ă©tĂ© proposĂ©e dans sa version française "2 hirondelles", bonjour...Il faut au plus vite les replacer dans le chance de les sauver, la mort va ĂȘtre trĂšs rapide, on appelle cela la mort faisant suite au stress de la sĂ©paration de la mamantristeJe viens de vivre un identique soir en fermant mes volets, j'ai pu apercevoir sur la pelouse, un tout petit oiseau. Je suis allĂ©e voir, il Ă©tait un peu blessĂ©, mais j'ai dĂ©cidĂ© de le soigner et d'attendre hier la premiĂšre heure, j'ai appelĂ© l'Ă©cole vĂ©tĂ©rinaire de Toulouse, ils sont spĂ©cialisĂ©s dans les oiseaux. Pour information, le numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone est le 05 61 19 39 89A partir, de ce moment, j'ai Ă©tĂ© redirigĂ©e sur l'ONC de mon pas satisfaite de la rĂ©ponse, j'ai pris la dĂ©cision d'appeler les pompiers en faisant le 18 et lĂ , super! enfin quelqu'un qui pouvait m'aider. J'habite le Calvados et il m'a dit que nous avions la chance d'avoir une association, qui prend en charge les oiseaux blessĂ©s ou association, s'appelle "la dame blanche" et se situe Ă  St Julien de Mailloc, tĂ©lĂ©phone 02 31 63 91 70. Suite Ă  mon appel d'hier matin, ils m'ont conseillĂ© de voir le Dt Duncombe qui est un vĂ©to, spĂ©cialisĂ© en oiseaux, j'y suis allĂ©e hier soir. Il m'a conseillĂ© deux choses soit de le nourir avec des vers de terre, on en trouve facilement chez dĂ©catlhon, et aussi de faire tremper des croquettes Ă  chats, jusqu'Ă  ce qu'elles soient bien ramollies, les Ă©craser ; puis avec une pince a Ă©piler le nourrir tous les 1h30 voir 2h maximum. QuantitĂ©, la valeur de 2 Ă  3 pincĂ©es de nouriture correspondant Ă  la grosseur d'une tĂȘte d'allumette le souffreLes vers pas de problĂšme ; mais la pĂątĂ© fait la tĂȘte et refuse de manger, ne pialle plus, se laisse mourir .J'ai donc rappeler le refuge ce matin, en leur expliquant Ă  nouveau mon Ă©norme souci, face Ă  son refus de s'alimenter. LĂ  on m'a expliquĂ© qu'il fallait absoluement replacĂ© l'oisillon dans son nid, car il se laisse mourrir de stress. Mais l'ayant dĂ©jĂ  fait hier soir, mon mari n'Ă©tait pas redescendu de l'Ă©chelle que MoĂŻse Ă©tait dĂ©jĂ  en bas???...Pour le protĂ©ger des chats Ă©ventuels, je l'ai remis dans une petite boĂźte dans la maison pour la nuit et lĂ  nous venons de le remettre Ă  nouveau dans son nid, il essaye de voler mais c'est encore trop tĂŽt!il manque de l'association on m'a expliquĂ© que mĂȘme si un oisillon tombe de son nid, sa maman ne peut le remettre dedans car elle ne peut plus le porter, il est trop lourd pour consĂ©quent, elle vient le nourrir lĂ  oĂč il est tombĂ©, ça je ne le savais pas ; mais il y a des chats dans le quartier, il n'Ă©tait pas envisageable que je puisse le laisser au secrĂ©taire du vĂ©to consulter hier soir, m'a Ă©galment dit la mĂȘme chose, donc mon mari est Ă  nouveau moter le replacer dans le nid."Attention, un oiseau se dĂ©shydrate trĂšs vite, ne pas lui mettre d'eau dans son bec, il y a un risque trĂšs important de le noyer"Pour faire savoir Ă  un petit oisillon que l'on souhaite le nourrir, il faut toucher le bout de son bec et automatiquement, il l'ouvre trĂšs appelant le numĂ©ro de l'association ci-dessus, ils vont pouvoir vous dire, quelle est celle qui se situe le plus prĂšs de chez vous et Ă©ventuellement vous indiquer la nourriture. Ils interviennent parfois sur petite info ; qui m'a Ă©tĂ© indiquĂ©e par l'Ă©cole vĂ©tĂ©rinaire de Toulouse, on trouve facilement une nourriture spĂ©ciale chez carrefour, qui s'appelle une pĂątĂ©e d'avoir Ă©tĂ© aussi longue ; mais je souhaitais faire partager mes connaissances ; ainsi que celles que je ne connaissais faudrait avoir une Ă©chelle de toit, pour pouvoir atteindre le nid ; afin de les y replacer au plus chance!RosĂ©edusoir
Ilsétaient 3 dans le nid, et le petit dit: "Poussez-vous, poussez-vous" Et l'un d'eux tomba du nid. Ils étaient 2 dans le nid, et le petit dit: "Poussez-vous, poussez-vous" Et l'un d'eux tomba du nid. Il était seul dans le nid, et le petit dit: "Aaaaaaah" Cette petite comptine est souvent chantée dans les classes de maternelle. Elle permet
La comptine Ils Ă©taient 5 dans le nidEt le petit dit "Poussez-vous, Poussez-vous !"Et l'un d'eux tomba du Ă©taient 4 dans le nidEt le petit dit "Poussez-vous, Poussez-vous !"Et l'un d'eux tomba du Ă©taient 3 dans le nidEt le petit dit "Poussez-vous, Poussez-vous !"Et l'un d'eux tomba du Ă©taient 2 dans le nidEt le petit dit "Poussez-vous, Poussez-vous !"Et l'un d'eux tomba du Ă©tait seul dans le nidEt le petit dit "AAAAAHHHHHHH !"Exemple d'exploitation Cette comptine travaille la soustraction. Elle peut donc servir Ă  introduire une activitĂ© travaillant cette l'activitĂ©, les enfants devront dans un premier temps enlever le nombre de poussins des diffĂ©rents lits, en suivant l'ordre de la chanson. Les poussins seront alors reprĂ©sentĂ©s par des pompons jaunes et les lit par de petites pourrait imaginer un lit par phrase, afin qu'il soit plus facile d'Ă©valuer l'acquisition de la fur et Ă  mesure, on pourrait augmenter le nombre d'Ă©lĂ©ments que l'on a au dĂ©but de l' de la comptine Ă  imprimer Document pour l'enseignantDocument pour l'enfant Moncorps en exil vient se faire un nid dans les draps froisss. Comme tous les prsages retrouvent le langage dont j'avais rv Qui es-tu pour lire dans mes penses Tous les mots d'amour pourront toujours dire Que S'ils se ressemblent chaque jour Tous les mots d'amour pourront toujours dire Que Ils se rinventent chaque jour Que je t'aime Videmment Que je t'aime Posts les plus consultĂ©s de ce blog 1,2,3 Nous irons au bois La comptine 1,2,3 Montrer une image d'un, deux puis trois doigts Nous irons au bois. Faire marcher deux doigts sur l'autre main 4,5,6 Montrer une image de quatre, cinq puis six doigts Cueillir des cerises. Utiliser l'index et le majeur comme une pince vers le bas 7,8,9 Montrer une image de sept, huit puis neuf doigts Dans mon panier neuf. Mimer un panier avec ses mains 10,11,12 Montrer une image de dix, onze puis douze doigts Elles seront toutes rouges. Montrer ses joues Exemple d'exploitation Cette comptine relaxante travaille le dĂ©nombrement, c'est-Ă -dire le fait de compter. AprĂšs avoir chantĂ© plusieurs fois la comptine, les enfants devront ajouter des cerises dans un panier, au mĂȘme rythme que la comptine. C'est-Ă -dire qu'Ă  chaque fin de phrase, on retrouve d'abord 3 cerises, puis 6 et ainsi de suite. Ensuite, on pourrait demander aux enfants de remplir un panier Ă  partir de fiches modĂšles sur lesquelles il y aurait un certain nombre de cerises Ils Ă©taient 5 dans le nids La comptine Ils Ă©taient 5 dans le nid Et le petit dit "Poussez-vous, Poussez-vous !" Et l'un d'eux tomba du nid. Ils Ă©taient 4 dans le nid Et le petit dit "Poussez-vous, Poussez-vous !" Et l'un d'eux tomba du nid. Ils Ă©taient 3 dans le nid Et le petit dit "Poussez-vous, Poussez-vous !" Et l'un d'eux tomba du nid. Ils Ă©taient 2 dans le nid Et le petit dit "Poussez-vous, Poussez-vous !" Et l'un d'eux tomba du nid. Il Ă©tait seul dans le nid Et le petit dit "AAAAAHHHHHHH !" Exemple d'exploitation Cette comptine travaille la soustraction. Elle peut donc servir Ă  introduire une activitĂ© travaillant cette notion. Pendant l'activitĂ©, les enfants devront dans un premier temps enlever le nombre de poussins des diffĂ©rents lits, en suivant l'ordre de la chanson. Les poussins seront alors reprĂ©sentĂ©s par des pompons jaunes et les lit par de petites boĂźtes. On pourrait imaginer un lit par phra Le petit martien La comptine Moi je suis un p'tit martien Faire des antennes sur la tĂȘte Et je viens sur la terre Dessiner un cercle avec les doigts Pour vous dire que tout va bien Lever les pouces Chez les petits hommes verts. Faire des antennes sur la tĂȘte T'as pas vu l'martien? Se protĂ©ger les yeux du soleil main gauche, main droite T'as pas vu l'martien? Se protĂ©ger les yeux du soleil main gauche, main droite T'as pas vu, t'as pas vu, t'as pas vu l'martien. Se protĂ©ger les yeux du soleil main gauche, main droite sur "t'as pas vu" O, lĂ -haut, lĂ -haut, lĂ -haut, hey! Index vers le haut et l'autre main sous le coude Exemple d'exploitation Cette comptine dynamisante peut ĂȘtre utilisĂ©e pour que les Ă©lĂšves relĂąchent tout leur surplus d'Ă©nergie et qu'ils puissent se recentrer par aprĂšs. Paroles de la comptine Ă  imprimer Document pour l'enseignant Document pour l'enfant

1 Je sais dans la montagne, un refuge perdu. Dans la brume et la neige, comme un port du salut. Au pays des isards. 2. Je sais dans la montagne, un refuge perdu. Quand une nuit d'octobre, j'ai dormi prĂšs de toi. 3. Ton coeur est mon refuge, et tes yeux sont pour moi.

Voir ses enfants partir du cocon familial et prendre leur envol peut ĂȘtre assez difficile Ă  vivre pour certains parents. Bien qu’il s’agisse d’une Ă©tape normale de la vie, ils se sentent parfois abandonnĂ©s
 aprĂšs avoir consacrĂ© tant d’annĂ©es Ă  leur Ă©ducation. Ils sont d’ailleurs nombreux environ 35% Ă  souffrir de ce que l’on appelle le syndrome du nid vide ». Une forme de dĂ©pression liĂ©e au dĂ©part d’un enfant et qui touche davantage les mĂšres. Explications avec ValĂ©rie Bisogno, psychanalyste exerçant Ă  Grasse et Avignon. Qu’est-ce que le syndrome du nid vide ? Le syndrome du nid vide est un ensemble de sentiments Ă©prouvĂ©s par les parents lorsque les enfants quittent le foyer familial pour leurs Ă©tudes ou leur vie de couple », explique la spĂ©cialiste. Selon elle, le ressenti est parfois douloureux car il se traduit par une angoisse d’abandon et un vide intrapsychique par les parents. » Cette problĂ©matique touche davantage les existe cependant une certaine ambivalence affective d’un cĂŽtĂ©, ces parents sont fiers et heureux de voir leurs enfants s’épanouir par eux-mĂȘmes et rĂ©aliser leurs propres projets. D’un autre cĂŽtĂ©, ils Ă©prouvent une forme de tristesse, d’inquiĂ©tude, voire de dĂ©pression. Cette forme de dĂ©pression n’est d’ailleurs pas toujours objectivable dans les premiers temps de leur dĂ©part », prĂ©cise l’experte. Quels changements pour les parents ? Le dĂ©part d’un enfant fait partie d’une Ă©tape Ă©volutive normale dans la vie d’une famille. Mais certains couples se sont construits en partie autour d’un projet commun l’éducation de leurs enfants. LÂŽEnfant est devenu au fil des dĂ©cennies surinvesti et il prend une place prĂ©pondĂ©rante au sein de la cellule remplit la vie du surinvestissement sÂŽarticule autour des devoirs scolaires et des activitĂ©s pĂ©riscolaires obligatoires’ », dĂ©clare ValĂ©rie Bisogno. L’émancipation de cet enfant remet en question leur quotidien. Cela peut ĂȘtre perçu comme une vĂ©ritable prise de conscience du milieu de vie. En clair, ils vont s’interroger sur le sens profond de leur vie », affirme la psychanalyste. Avant d’ajouter Ce dĂ©part peut ĂȘtre une vĂ©ritable source d’angoisse pour les parents qui vivent chaque sĂ©paration comme un traumatisme. De plus, ce dĂ©part créé une certaine dĂ©sorganisation dans la famille. Le couple se retrouve Ă  deux, seuls. L’ennui s’installe, avec une sensation d’inutilitĂ© car les enfants ne comblent plus ce vide et ne sont plus leur prioritĂ©. »Francoise Dolto, pedopsychanalyste disait a ce propos ”les meres doivent faire le deuil de leur enfant a la naissance.”La garde alternĂ©e, une souffrance similaire pour les parents ? Si en gĂ©nĂ©ral le syndrome du nid vide concerne surtout les parents dont l’enfant prend son envol, certains peuvent en souffrir aussi lorsqu’une garde alternĂ©e est instaurĂ©e, Ă  l’issue d’une sĂ©paration ou d’un divorce. La famille est dĂ©sĂ©quilibrĂ©e, le parent se retrouve seul une semaine sur deux, et ressent un vide durant l’absence des enfants », explique l’experte. Mais, selon elle, tout dĂ©pend du surinvestissement du parent envers l’enfant. D’autres parents peuvent y voir au contraire la promesse de se retrouver enfin sans contrainte quotidienne, pour se reconstruire et Ă©laborer d’autres projets de vie personnels. »Se recentrer sur soi-mĂȘmeLe dĂ©part d’un enfant du cocon familial peut ĂȘtre bĂ©nĂ©fique pour le parent il lui permet de se recentrer sur lui-mĂȘme, d’accomplir de nouvelles choses en dehors de son rĂŽle de mĂšre ou de pĂšre.. Le vide laissĂ© par ce dĂ©part peut se transformer en vacuitĂ©. La vacuitĂ© au sens psychanalytique du terme, ce n’est pas le vide, c’est un espace oĂč l’individu y met une Ă©nergie nouvelle. Les parents dĂ©veloppent leur potentialitĂ©. Cette Ă©nergie qui Ă©tait au service des enfants va ĂȘtre utilisĂ©e pour d’autres projets. Cela va permettre de se lancer de nouveaux dĂ©fis. Faire une formation, du sport, Ă©largir son groupe d’amis etc. L’enfant ne sera plus le centre de la famille », poursuit ValĂ©rie Bisogno. Lacan, psychanalyste, disait Ă  ce propos EX - ister » c’est Ă  dire sortir de son immobilisme et s’inscrire dans son Être. C’est Ă  dire Être soi, sans forcĂ©ment avoir besoin de l’autre. » En revanche, il est indispensable de rassurer ses enfants, pour qu’ils ne culpabilisent pas de prendre leur envol. Cette culpabilitĂ© peut entraver psychiquement l’adulte en devenir. Leur autonomisation qui est indispensable va ĂȘtre difficile », prĂ©vient la spĂ©cialiste. Puis de conclure avec une question Ce dĂ©part inscrit dans leur Ă©volution n’est-il pas un moyen de faire de ses enfants des adultes responsables ? »Le tĂ©moignage d'une mamanCĂ©line est maman d'un petit garçon. Depuis sa sĂ©paration avec son conjoint, son fils vit une semaine sur deux chez son papa. Une sĂ©paration assez difficile Ă  vivre pour cette mĂšre de famille. Voici son tĂ©moignage Mes chers parents je parsJe vous aime mais je parsVous n'aurez plus d'enfantsCe soir » Nous sommes tous conscients que nous ne faisons pas d’enfants pour nous mais que notre rĂŽle de parent est bien de leur apprendre Ă  ĂȘtre responsables, indĂ©pendants et autonomes pour leur prochaine vie d’adulte. Mais voilĂ , cette jolie thĂ©orie n’est pas toujours aussi Ă©vidente dans la pratique quand cette Ă©mancipation vient se mettre en place et que nos tout-petits quittent la maison pour vivre leur vie 
 sans nous. Nous sommes alors partagĂ©s entre joies, bonheur, fiertĂ©, mais aussi tristesse. Tant qu’ils sont avec nous, nous pouvons continuer Ă  veiller sur eux, Ă  les protĂ©ger, et Ă  partager le mĂȘme toit que nous, ils doivent se soumettre Ă  nos rĂšgles. Tout cela nous permet de garder sur eux, un contrĂŽle et de rester actif dans leur Ă©ducation. Nous vivons alors au rythme de nos ils s’en vont, ce sentiment d’appartenance nous Ă©chappe et cela peut s’avĂ©rer extrĂȘmement difficile Ă  vivre. Un vide immense s’installe, nos repĂšres sont bousculĂ©s, une sensation d’inutilitĂ© peut mĂȘme s’en dĂ©gager. Maman en garde alternĂ©e, je connais dĂ©jĂ  cette impression d’abandon quand mon fils rejoint son papa, une semaine sur deux. Je me suis parfois demandĂ© si cette sĂ©paration me prĂ©parait Ă  l’avenir ; pour le jour oĂč il aura son propre chez lui et qu’il ne sera plus obligĂ© de trimballer ses affaires d’une maison Ă  une autre. J’essaie de combler mes jours sans lui pour ne pas sombrer dans la mĂ©lancolie mais je ne suis assurĂ©ment pas encore mĂ»re pour un Ă©loignement l’heure venue, il y aura inĂ©vitablement un temps d’adaptation un peu dĂ©sagrĂ©able, un manque certain, un quotidien diffĂ©rent, et si profiter de nos enfants ici et maintenant est essentiel, il faut aussi savoir s’imposer une vie sans eux, dĂšs aujourd’hui. Que celle-ci soit professionnelle, ou par des activitĂ©s autres, Ă  chacun de trouver son Ă©panouissement personnel qui, un jour, viendra remplir ce silence et cette absence. Le syndrome du nid vide » est bien rĂ©el et la dĂ©pression une vraie consĂ©quence si on n’y prend garde. Nos enfants ne nous appartiennent pas. Comme l’écrit Khalil Ghibran, Vos enfants ne sont pas vos enfants. Ils sont fils et filles du dĂ©sir de Vie en lui-mĂȘme. Ils viennent par vous mais non de vous, et bien qu'ils soient avec vous, ce n'est pas Ă  vous qu'ils appartiennent. » Cette notion doit rester prĂ©sente dans notre esprit pour nous rappeler que nous ne sommes pas que des parents. Nous devons conserver notre statut de femme ou d’épouse d’homme ou de mari. Tenter de garder l’équilibre entre nos diffĂ©rents rĂŽles car si l’on oublie l’un d’eux, quand les enfants partiront, il ne restera que des individus n’ayant plus grand-chose Ă  puis, nous devons absolument Ă©viter que nos enfants se sentent coupables de vivre leur vie parce que nous ne saurions pas faire face Ă  leur ĂȘtre prĂ©sents sans excĂšs pour les guider jusqu’à cet envol, faisons en sorte qu’ils sachent, que mĂȘme Ă  l’autre bout du monde, nous serons toujours lĂ  pour eux. Nous deviendrons alors leur savoir heureux dans leur nouvelle vie fera notre bonheur et notre plus grande satisfaction sera d’avoir rĂ©ussi notre mission de parent !© CĂ©line - Une semaine sur deuxValerie Bisognopsychanalyste Avignon et 87 94 47 Trouvezles paroles de Ils Ă©taient 5 dans un nid par Jemy, et cherchez Jemy. Écoutez en ligne et obtenez de nouvelles recommandations, uniquement sur via Spotify Lecture via YouTube Options de lecture

Ils Ă©taient 5 dans le nid Et le tout petit dit -Poussez-vous, poussez-vous! Ils se poussĂšrent tous Et l'un tomba du nid Ils Ă©taient 4 dans le nid Et le tout petit dit -Poussez-vous, poussez-vous! Ils se poussĂšrent tous Et l'un tomba du nid Ils Ă©taient 3 dans le nid Et le tout petit dit -Poussez-vous, poussez-vous! Ils se poussĂšrent tous Et l'un tomba du nid Ils Ă©taient 2 dans le nid Et le tout petit dit -Poussez-vous, poussez-vous! Ils se poussĂšrent tous Et l'un tomba du nid Il Ă©tait seul dans le nid, Et le petit dit - OUF! Charmante comptine qui enchante l'enfant par sa rĂ©pĂ©tition et son rythme. Le "ouf" final lui est d'un grand secours. Car malgrĂ© la lourde teneur du texte, l'histoire est ainsi dĂ©clarĂ©e se terminant bien. En dehors de toute morale. Ce qui permet Ă  l'enfant d'adhĂ©rer au comportement de l'oisillon sans culpabilitĂ©. Et mĂȘme avec soulagement! D'autre part, l'oisillon l'attendrit. Cet oisillon, vous l'avez compris, c'est lui. Son narcissisme le conduit Ă  rĂȘver l'Ă©limination de l'autre. Cette comptine lui permet de la symboliser. Peu Ă  peu, l'Autre est Ă©liminĂ©...Pour ne rester que lui. Le meilleur, oui, mais tout seul... Cette comptine illustre la problĂ©matique de l'enfant face Ă  son narcissisme en construction. Car avant de pouvoir se tourner vers les autres, l'enfant va devoir commencer par s'accepter et s'aimer lui-mĂȘme. Pas si simple. Mais pĂ©riode fondamentale pour l'Ă©quilibre psychique de ce petit humain. En rĂ©sumĂ©, la question essentielle soulevĂ©e en sous bassement dans cette comptine est celle de l'Ă©laboration et de l'assurance de l'identitĂ© d'un enfant au sein d'un groupe. Fichtre, s'il fallait penser Ă  tout ça lorsque l'on chante avec les enfants! Allez, on oublie! Et bonne journĂ©e! AlomĂšre Pour ĂȘtre informĂ© des derniers articles, inscrivez vous

Ilsétaient 5 dans le nid. C'est une comptine idéale car les phrases sont trÚs répétitives et l'enfant peut jouer avec les personnages. Lorsque l'enfant s'ouvre au monde auditif, il y a tout à apprendre. Les sons, la voie, et aussi le sens de tout cela. C'est pourquoi, afin de donner du sens aux chansons, elles sont, au début, toujours
Le Deal du moment Coffret PokĂ©mon Ultra Premium Dracaufeu 2022 en ... Voir le deal MÉFAITS ACCOMPLISℱ Corbeille &&. ANCIENS RP AuteurMessageSakura R. HaradaMaraudeuse en de messages 1383Age 31Maison Ancienne d'inscription 25/04/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Co-FondatriceFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Et si le temps s'arrĂȘtait pour seulement une soirĂ©e ? {PV} Mar 26 Sep 2006 - 2059 {PV}{ VoilĂ  ] . J’t’aime my Baby. }Un cri. Un cri foudroyant. C’était l’étĂ©. Pourtant un cri aigu parvint aux oreilles de la jeune Directrice des Serdaigles. Soupir. C’était un cri de frayeur. Un cri qui inspire la peur. Une femme. Elle semblait ĂągĂ©e. Non, en y prĂȘtent un peu plus d’attention on pouvait remarquer qu’elle avait moins de la cinquantaine. On pouvait savoir au son de sa voix qu’elle fumait depuis longtemps. Celle-ci Ă©tait roque, sĂšche. Mais qu’avait-on Ă  faire de cette fumer qui hantait sa vie. Riku faisait la mĂȘme chose, elle. GuĂšre, cela lui donnait sĂ»rement un air bien plus Ă©lĂ©gant et sombre. Mais passons. Alors que la sorciĂšre Ă©tait assise sur un banc public d’une couleur ressemblant au vert, elle vit dĂ©filer la femme sous ses yeux. En criant encore de son cri des plus strident. Surprise. La jeune Harada resta en place. Elle tourna lĂ©gĂšrement la tĂȘte, sa mĂšche noire devant ses yeux bouleversants. Elle aperçut soudainement un homme. Il Ă©tait grand. Etrange. Qu’avait-il entre ses mains ? Noir. C’était noir. Intriguant. Il visait la dame, encore, il ne la quittait pas des yeux. Et le Chef des Mangemorts ne faisait qu’observer cette scĂšne des plus perturbante. Un objet moldus certes, mais Riku ne se doutait pas qu’il avait le pouvoir de tuer. Du moins, pas encore. Elle courait, la dame courait le plus vite qu’elle le pouvait. Mais elle ne faisait que tourner en rond. Soupir. Riku avait retrouvĂ© cet air las. L’histoire n’avançait pas. L’homme riait Ă©trangement, ce qui ne plut guĂšre Ă  l’Ancienne Serdaigle. Soupir. Et lorsqu’elle voulut se lever. AprĂšs seulement quelques secondes. Elle l’entendit. Ce bruit si soudain. Une balle. Juste Ă  cotĂ© de son oreille. Son oreille d’oĂč elle avait entendus ce Cri. Ce Cri qui soudain s’interrompus. PANNN ! »Silence. Rire. Riku se retourna. Et c’est lĂ  qu’elle la vit. Cette femme, celle qui criait. Etendues sur le sol vaste. EtalĂ©e sur l’herbe fraĂźche. Sourire. Rouge. Du sang. Il Ă©tait Ă©tendu sur sa poitrine. Oh. Une arme Ă  feu. C’est donc Ă  cela que ça ressemblait. Cette chose qui avait le droit de mort et de vie chez les Moldus. Soupirs. C’était bien limitĂ© comme armes. Tu vises mal, c’est ratĂ©. Rire. Riku se retourna. Et dĂšs que ce fut fait, on put lire dans ses yeux un regard de haine. Un regard rouge. Le vert s’était enfuit. Le dĂ©mon est lĂ  ! Partez brave gens ! Sourire. LĂ  voilĂ  qui ricane lĂ©gĂšrement. Et l’homme ? OĂč est-il ? Juste en face bien sur. Il la fixe. Un regard en biais. Soupir. Il dirige son arme vert elle. Mais qu’elle mauvaise idĂ©e. Soupir. Riku le regarde, silencieusement. Sourire. Et le voilĂ  qui appuie sur la dĂ©tende. Rire machiavĂ©lique. La sorciĂšre se dĂ©cala seulement de quelques centimĂštres, et la balle atteignit un des arbres qui l’entourait. Le regard de Riku n’avait absolument pas changĂ©, toujours aussi convaincu. Elle semblait sure d’elle. Il y avait de quoi. L’homme tenta Ă  plusieurs autres reprises de tuer la Chef des Mangemorts. Sans effets. Jusqu’à ce qu’elle soit qu’à quelques mĂštre de lui. Soupir. Pauvre Insouciant. * Hana~Bi * ~ Avada Kedrava. »Prononça-t-elle calmement aprĂšs avoir pointĂ© un bout de bois vers le Moldus. Silence, sa baguette. Unique. Le voilĂ  Ă©tendus sur le sol. Au cotĂ© de l’autre Moldue. Ils allaient bien ensemble ces deux lĂ . Tout aussi misĂ©rable. Tout aussi pitoyable. Les Moldus font tellement pitiĂ© que Riku se sent obligĂ© de les tuer, Ă  chaque fois. Si seulement .. Silence. Stop. La voilĂ  Ă  terre. Mais ? Que se passait-il ? Riku se redressa avec difficultĂ©s, une main sur la tĂȘte, le visage en sueur. C’était intriguant. Elle les avait retrouvĂ©. Ses yeux. Ses vrais yeux. Ces iris verts. Le rouge sang dont ils Ă©taient imprĂ©gnaient Ă©tait parti. Soupir. Elle semblait choquĂ©e. Comme si elle n’avait pas Ă©tĂ© consciente de ses derniers actes. Et c’était bel et bien le cas. Malheureusement. Je le redis. C’était le DĂ©mon, non Riku qui a tuĂ© ce malheureux. Soudain elle disparut. Transplanage. Soupir. Elle atterrit sur une plage. Elle Ă©tait calme, aucune vagues, personnes ne semblait lĂ . Surprise. Elle regardait ses mains, sa baguette Ă©tait sur le sol. Sol de sable Noir. Du aux volcans sous marins. Larmes. Elle avait une larme qui coulait sur sa joue gauche. Surprise. La Chef des Mangemort. IncomprĂ©hension ? Silence.* Hana~Bi * ~ Encore .. Non .. Merde .. J’vais jamais pouvoir contrĂŽler cette merde qu’il y a en moi .. C’est pas vrais .. » Dit-elle silencieusement, avant de reprendre HIKARU ! REGARDES LE MONSTRE QUE TU AS FAIS, JE TE HAIS, JE TE HAIS ! TU N’ES QU’UNE ORDURE, UNE ORDURE ! »Hurla-t-elle, pensant qu’elle se trouvait seule, encore seule. Elle pleurait encore, mais sĂ©cha ses larmes aussitĂŽt, avant de s’asseoir d’un acte prĂ©cipitĂ© sur le sable. Regarda a prĂ©sent ce coucher de soleil, magique, magnifique. Quelque chose de quotidien, que Riku ne put voir que trĂšs rarement. ApprĂ©cier la nature. Chose rare. Surtout quand le monstre que tu haĂŻs le plus vie en toi. Et qu’ĂȘtre Mangemort auprĂšs des autres ne tien qu’à cette partie immonde. Soupir. Elle s’allonge. Crispation. Un bruit de pas ?Le Brian McInvitĂ©Sujet Re Et si le temps s'arrĂȘtait pour seulement une soirĂ©e ? {PV} Mer 27 Sep 2006 - 1446 Putaing, laisse tomber ^^ comment c'est trop beautiful Truc de Fada *WUB* { AprĂšs avoir passĂ© une bonne partie de la matinĂ©e seul dans l'endroit que la plupart des personnes de ce monde, Moldues et Sorciers compris, qualifieraient Brian dĂ©cida de quitter cet endroit, les raisons ? Il n'y en avait pas, du moins le jeune homme refusait peut-ĂȘtre de se les avouer de peur de faire face Ă  la dure rĂ©alitĂ© des choses d'aujourd'hui. De nos jours il fallait s'adapter, savoir faire face pour pouvoir un jour surmonter et prendre possession de tout ce que les ĂȘtres faibles sont incapables d'assumer seuls. Il faut toujours un chef, toujours un vainqueur, quelqu'un qui sache prendre en main sa destinĂ©e au dĂ©triment de certaines choses certes. Mais tout cela dans le but d'une consĂ©cration personnelle ainsi que d'une certaine volontĂ©. Et une fois de plus, Brian n'avait pas sut faire preuve de tact, ceci Ă©tant en grande partie dut Ă  l'envie qui n'Ă©tait pas rĂ©ellement lĂ  aujourd'hui, Il se rendit donc dans sa chambre qui n'Ă©tait bien sĂ»r pas trĂšs loin car n'Ă©tait pas trĂšs grand, mais pour une personne comme Brian, cela suffisait bien pour le peu de temps qu'il y passait depuis cette fameuse journĂ©e oĂč ... [x] Stop [x] ... Une fois Ă  l'intĂ©rieur, il se saisit d'une simple pantalon, un jean plus prĂ©cisĂ©ment ainsi que d'un t-shirt avec quelques inscriptions sur l'avant de ce dernier. Puis quelques secondes plus tard, il se retrouvait dans une piĂšce ressemblant Ă©trangement Ă  une salle de bains mais qu'importe. Pourquoi sommes-nous tous lĂ  rĂ©unis Ă  parler de la façon dont Brian McMahon s'habillait ? Aucun rapport, cependant un bon quart d'heure aprĂšs il marchait seul, les yeux rivĂ©s sur le paysage que les autres personnes avaient l'habitude de qualifier comme , sans chercher Ă  savoir vers qui ou quoi il se dirigeait, il laissait ses jambes le guider, comme si elles souhaitaient l'emmener dans un endroit trĂšs spĂ©ciale qui pourrait lui apporter quelques chose. Puis d'un coup, un bruit Ă©trange, un son familier, un son qui fait peur ... qui Lui fait peur. Une lĂ©gĂšre brume qui se transforme trĂšs rapidement en une Ă©paisse fumĂ©e, perception d'un toussotement apparemment masculin qui s'ensuivit d'un lourd silence presque pesant. Ă©tait lĂ , comment cela Ă©tait-il possible ?! Comment avait-il put le retrouver aprĂšs tant d'effort Ă  essayer de fuit son passĂ©, de les fuir eux et en majeure partie , c'est tout bonnement impossible, inimaginable mĂȘme ... et pourtant. L'homme fixait Brian des yeux, puis un bruit sourd de pas, un seul ! Brian venait de reculer d'un tout petit demi centimĂštre, la peur au ventre, Ă  cet instant prĂ©cis il redevenait humain, il redevenait ce qu'il avait toujours Ă©tĂ©. }- Jude - Brian, quel plaisir de te revoir enfin, c'est que tu m'aurais presque manquer durant ces longues annĂ©es oĂč je suis partit Ă  ta recherche tu sais.{ Ces quelques paroles rĂ©sonnĂšrent un bon bout de temps dans la tĂȘte du jeune Brian, il n'arrivait pas Ă  y croire et si tout ceci avait put ĂȘtre un rĂȘve, Pardon un cauchemar cela l'aurait vraiment arrangĂ© mais non. Cette situation Ă©tait on ne peut plus rĂ©elle, malheureusement. Un long moment passa durant lequel les deux hommes ne cessaient de se jeter des regards tout aussi froid bien qu'on pouvait lire dans les yeux de Brian, ces yeux si prisĂ©s par les autres, on n'avait cessĂ© de lui dire durant toute sa jeunesse et encore aujourd'hui Ă  quel point il Ă©tait chanceux d'avoir hĂ©ritĂ© de ceux de son , homme qu'il n'avait jamais connu d'ailleurs, une certaine lueur de crainte. Puis, un lĂ©ger tremblement de son qui finit par se transformer en une voix ... }- Brian - J.. Je. Impossible.{ Un silence. Qui s'ensuivit d'une action dĂšs plus Ă©tranges, l'homme qui avait parlĂ© en premier sortit d'une des poches d'une longue cape noire qui lui servait apparemment de manteau, une sorte de long bout de bois de couleur noire puis le pointa sur Brian qui comprenait trĂšs bien ce qui Ă©tait en train de se passer sans qu'il n'ait l'air de vraiment pouvoir rĂ©agir Ă  tout cela, il Ă©tait comme - mort - ou peut-ĂȘtre Ă©tait-il tout simplement pĂ©trifiĂ© qui sait ? }- Jude - ENDOLORIS !{ Une forte lueur presque aveuglante fut prĂ©sente pendant 10 bonnes secondes. Puis plus rien. Un vide total. L'attaquant se trouvait lĂ , une baguette magique pointĂ©e en direction d'un vide complet ... Une plage, en plein Ă©tĂ©. Un homme se tenant debout face Ă  la mer baguette Ă  la main, puis le calme, la tranquillitĂ©. Il se laissa tomber Ă  genou et finit par fermer les yeux, des yeux qui n’étaient plus bleu mais gris. }* Brian * Pardonne moi - Pardonne moi - Pardonnez moi - JE VOUS DETESTE TOUS !{ Une pensĂ©e qui Ă©tait si forte en lui qu'on aurait put l'entendre mĂȘme sans qu'il ne l'ai prononcĂ©e, une haine Ă©tait logĂ©e lĂ , en lui sans qu'il ne puisse l'exprimer. Il devait garder tout cela en lui, il le devait ... D'un coup, un cri presque sourd se fit entendre, il n'Ă©tait pas seul ici, quelqu'un d'autre Ă©tait lĂ . Une femme. Elle ne devait mĂȘme ne pas ĂȘtre bien loin du jeune homme qui se leva presque en sursaut en regardant autour de lui ayant peur que ce ne soit encore un de ces qui le cherchait. Quand il la vit. Une mince silhouette Ă©talĂ©e sur le sable presque blanc de la plage, ce n'Ă©tait pas une des leurs. Il s'approcha quand mĂȘme jusqu'Ă  arriver Ă  sa hauteur. Baguette toujours pointĂ©e. }- Brian - Vous n'ĂȘtes pas avec eux n'est-ce pas ? Alors qui ĂȘtes-vous ... Sakura R. HaradaMaraudeuse en de messages 1383Age 31Maison Ancienne d'inscription 25/04/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Co-FondatriceFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Et si le temps s'arrĂȘtait pour seulement une soirĂ©e ? {PV} Mer 27 Sep 2006 - 1520 { Merci , le tien aussi est Magnifique Antoine }Silence. La jeune femme regardait ses mains. Elles tremblaient, encore. Sans doute dut Ă  l’acte qu’elle avait commis prĂ©cĂ©demment. Un meurtre. C’était pourtant si quotidien, mais pourtant, c’était toujours lĂ  mĂȘme chose. Elle restait frustrĂ©e. C’était trop dur de s’accepter sois mĂȘme, surtout quand on sait qu’on est la pire des crĂ©atures de ce Monde. Une crĂ©ature que personnes ne pouvait maĂźtriser. Quoi que. C’est encore Ă  voir, Riku n’est pas encore au terme de sa vie, peut ĂȘtre croisera-t-elle un adversaire Ă  sa taille lors des prochaines annĂ©es. Elle l’espĂšre. Pas qu’elle souhaite mourir. Mais elle voudrait la tuer Elle. La crĂ©ature. Le DĂ©mon ». Qui d’autre d’aprĂšs vous qu’elle-mĂȘme ? Soupir. Soudain un cri survint. Un jeune homme. Cette voix semblait familiĂšre, mais la Chef des Mangemorts n’était pas apte Ă  la dĂ©crypter. Stupeur. Elle entendit soudainement un bruit de pas. Juste derriĂšre elle. Un membre du MinistĂšre de la Magie ? Si c’était le cas, Ă  prĂ©sent qu’Amy n’était plus Ministre, elle n’avait aucune couverture et devra donc une nouvelle fois tuer. Encore Tuer. Acte quotidien. Elle se retourna, froissant sa robe couleur Ă©bĂšne. Son jean retroussĂ©, elle avait l’air d’une parfaite moldue Ă  la plage. Surprise. DĂšs qu’elle vit le jeune homme, elle le reconnut tout de suite. Pas Ă  son physique en gĂ©nĂ©ral, ni a la baguette qu’il tendait vers elle, mais Ă  ses yeux. Ses yeux Ă©taient si magnifiques. Mais pourtant, ils avaient changĂ©, elle les reconnut, mais ils n’étaient pas aussi bleus qu’auparavant. Aurait-il la mĂȘme capacitĂ© » { si on peut appeler ça ainsi }que Riku ? A voir. Elle sourit. Aucune expression de tristesse n’était visible sur son visage. La Chef des Mangemorts devait se montrer un peu plus froide. Quoi que. Et si le temps ne s’arrĂȘtait que pour une nuit ? Une soirĂ©e ? Si elle oublier cette double personnalitĂ© pour ĂȘtre ce qu’elle a toujours Ă©tait. Une personne, avec un cƓur humain. Sourire.* Hana~Bi * ~ Je ne vois pas de qui tu parles. Mais non, je suis seule. Par contre, Ă  prĂ©sent que tu as vus mon visage, tu devrais savoir qui je suis, Brian. »Dit-elle alors dans un calme absolue. Elle se sentait Ă  l’aise, pas vraiment stressĂ©e, elle devait sĂ»rement songĂ©e qu’il n’avait pas eu le temps de l’entendre crier, et puis, il n’était pas obliger de croire que c’était elle. MĂȘme s’ils Ă©taient que seulement tous les deux sur la plage. Sur cette plage noire. Aussi noir que l’était le DĂ©mon. Aussi noir que l’était son pĂšre. Et puis, si Brian l’avait entendue, elle s’en moquait, elle n’avait plus rien Ă  faire des actes prochains de toute façon. Sourire. Elle regarda quelques secondes le jeune homme. Il semblait craintif, n’oublions pas qu’il pointait sa baguette droit vers sa propre Chef, de peur que ce soit une autre personne. Serait-il recherchĂ© par quelqu’un. En tout cas elle ne lui avait pas donnĂ© de mission derniĂšrement, donc elle n’avait rien Ă  voir dans cette histoire. Sur ce point ça la rassurĂ©. Mais de savoir qu’une Baguette Ă©tait pointĂ©e vers elle, et qu’elle se retrouvait assise et donc beaucoup plus basse que Brian, ne l’enchantait guĂšre. Elle attrapa donc sa baguette qui se trouvait au sol. Ses mains Ă©taient redevenues normales, celles-ci ne tremblaient plus, bien heureusement. Sourire. Et d’un geste, elle se leva, pour ĂȘtre Ă  la mĂȘme hauteur que le jeune homme. Quoi que, il avait une dizaines de centimĂštres de plus qu’elle. Elle garda sa baguette en main aprĂšs s’ĂȘtre fourrĂ©e les mains dans les poches, du au fait qu’il pourrait l’attaquer. MĂȘme si elle ne l’en croyait pas capable, il savait sa puissance. Il savait qu’elle n’était pas minime. Mais que voulait-il donc ? Soupir. Elle rompis une nouvelle fois le silence. Encore.* Hana~Bi * ~ Je ne pensais pas rencontrer quelqu’un ici, pourquoi es tu lĂ  ? »Dit-elle silencieusement, n’attendant pas forcĂ©ment une rĂ©ponse Ă©voluĂ©e. Il semblait pas vraiment apte a raconter ce qu’il venait de se passer. Riku aurait fait la mĂȘme chose. Quoi que, une soirĂ©e passĂ©e Ă  discuter n’était pas de refus. Cela faisait longtemps que ça ne lui Ă©tait pas arriver. Vraiment. Tant que le DĂ©mon » n’apparaissait pas, c’était bon. En cas contraire, elle devra faire comme avec Yuki, luter. Luter pour retrouver le contrĂŽle, mĂȘme si c’est dur. Dur au point de s’évanouir. Le DĂ©mon est Riku. Par consĂ©quent, ils ont la mĂȘme force. Sourire. Silence. Brian McInvitĂ©Sujet Re Et si le temps s'arrĂȘtait pour seulement une soirĂ©e ? {PV} Sam 30 Sep 2006 - 1416 NyAh tr0p BeaU Citation Je ne vois pas de qui tu parles. Mais non, je suis seule. » { Brian se retint de lĂącher un soupir de soulagement, il avait une fois de plus rĂ©ussi Ă  ou plutĂŽt Ă  Ă©chapper, une fois de plus, mais combien de temps cela allait-il pouvoir durer avant que ces gens ne le retrouvent et lui fasse payer pour tout ce qu'il a fait ? ... Combien ... Il leva la tĂȘte en direction du ciel quasiment noir bien que parsemĂ©e d'un bon paquet d'Ă©toiles. Quand il reposa ses yeux sur la jeune femme qui Ă©tait Ă  prĂ©sent assise et non plus allongĂ©e sur le sable fin, ils avaient de nouveau changĂ©s de couleur, ils Ă©taient redevenus bleus. Il Ă©tait prĂȘt Ă  ne pas Ă©couter ce qu'allait bien pouvoir lui raconter cette femme, Ă  faire semblant de l'entendre, et Ă  argumenter la discussion avec quelques "hum hum" bien placĂ©s... Cette fois, il en Ă©tait bien sĂ»r, sa matinĂ©e Ă©tait dĂ©finitivement ruinĂ©e... Il avait mĂȘme pensĂ© Ă  la laisser planter lĂ , Ă  rentrer chez lui, mais pour aller oĂč ? Il n'avait plus de maison, du moins depuis ce matin, une fois de plus il allait ĂȘtre contraint Ă  changer de mode de vie, de petites habitudes, de contacts. Pourquoi ? Tout simplement que si l'homme de ce matin l'a retrouvĂ©, il avait dut faire de nombreuses recherches avant de l'attaquer, observer Brian dans ces moindres faits et gestes. Qui sait si il n'Ă©tait pas en ce moment mĂȘme en train de fouiller de font en comble son appartement pour trouver de nouvelles pistes en espĂ©rant que ce dernier rentre comme une fleur chez lui histoire de le cueillir sur un plateau ... Mais manque de chance, Brian n'avait jamais Ă©tĂ© quelqu'un de naĂŻf, il savait anticiper la plupart des actions de ces ennemis. C'est pourquoi il savait en ce moment mĂȘme qu'il ne reverrait jamais toutes ces affaires personnelles, ses voisins et qui plus est, encore moins les gens Ă  qui il avait parler depuis son arrivĂ©e Ă  Londres. Tout cela Ă©tait dut passĂ© Ă  prĂ©sent, il allait une fois de plus devoir repartir Ă  zĂ©ro, tout recommencer comme si il n'avait encore rien fait. Ce changement de vie radical, Brian commençait peu Ă  peu Ă  s'y habituer, d'ailleurs il n'avait pas vraiment le choix.. C'Ă©tait ça ou mourir. En clair, il allait devoir rester lĂ , sur cette plage oĂč Ă  premiĂšre vue il Ă©tait en sĂ©curitĂ© bien qu'il n'Ă©cartait pas tout risque que cette femme soit des leurs et qu'elle soit en train de lui mentir comme ils avaient tant l'habitude de procĂ©der. Puis survint un doute. Pire que cela. Il la reconnut quand vint par la suite les paroles de cette derniĂšre ... Horreur.} Citation Par contre, Ă  prĂ©sent que tu as vu mon visage, tu devrais savoir qui je suis, Brian. » { Un silence Ă  tout dĂ©chirer. Juste des pensĂ©es qui ne cessaient de fuser de toute part. Comment cela Ă©tait-il possible ? Comment avait-il put, Lui, Brian McMahon en fuyant son pire cauchemar se retrouver lĂ  Ă  pointer sa baguette sur ? Cette situation, mĂȘme le pire des fous ne se serait hasarder Ă  l'imaginer, et pourtant, Lui il Ă©tait lĂ , face Ă  Elle ... sur une plage. Impossible. Aucuns sons ne semblaient vouloir sortir de la bouche de Brian, mais il allait bien falloir qu'il lui rĂ©ponde, qu'il lui dise quelque chose, qu'il lui explique ce qui Ă©tait en train de se passer ... En vain, McMahon n'Ă©tait pas le genre d'hommes Ă  s'abaisser mĂȘme face Ă  ceux plus haut hiĂ©rarchiquement. Non. En aucun cas il n'allais s'abaisser Ă  jouer un rĂŽle de soumis, il allait tout simplement ĂȘtre naturel, comme Ă  son habitude, naturel certes, mais prudent. Quelques instants plus tard, cette femme se leva, Brian bien que redoutant une attaque de cette derniĂšre, ne bougea pas d'un centimĂštre. Il remarqua qu'en fourrant ses mains dans les poches de son pantalon, elle venait tout juste de camoufler sa baguette magique avec, dans sa poche droite pour ĂȘtre plus prĂ©cis. Le jeune homme semblait analyser la situation au cas il y aurait un quelconques dĂ©bordement ... Puis il rompit le silence. }* Brian * Allez, lance-toi bonhomme. Que pourrais-tu faire d'autre de toute maniĂšre ... La tuer ?{ Le jeune McMahon semblait se laisser submerger par toutes ses pensĂ©es, il devait arrĂȘter de se poser des questions, abandonner toutes ces donnĂ©es qui n'avaient aucun sens et s'apprĂȘter Ă  faire face Ă  la femme la plus grande de ce monde ... Crainte et Ambition se faisait sentir. }- Brian - Je vous proposerais bien ce que les autres appellent communĂ©ment mais voyez-vous, ce mot n'existe pas ou plutĂŽt plus chez moi. Cependant vous m'en voyez terriblement navrĂ© Mlle Harada. Pour votre question, je ne suis ici pour quelconques raisons particuliĂšre que vous n'ayez besoin de savoir ... et j'oserais Ă©galement vous retournez la pareille.{ Beaucoup aurait interprĂ©ter cela comme de l'insolence ou toute autre chose dans ce registre, pourtant McMahon ne voyait pas cela. Non. Pour lui, il restait Ă©gal Ă  lui mĂȘme, frĂŽlant le vide, prĂȘt Ă  affronter la mort si cela devait Ă  se passer ... Mais cette fois-ci, cela semblait diffĂ©rent, il n'avait encore jamais vu ou mĂȘme aperçut Riku Harada dans le passĂ©, et Ă©trangement, il semblait la connaĂźtre depuis des annĂ©es. Un sentiment Ă©trange - sĂ»rement faux - mais qu'il se plaisait Ă  croire ... } Sakura R. HaradaMaraudeuse en de messages 1383Age 31Maison Ancienne d'inscription 25/04/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Co-FondatriceFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Et si le temps s'arrĂȘtait pour seulement une soirĂ©e ? {PV} Mar 10 Oct 2006 - 2030 { , dĂ©solĂ© pour le retard my baby. }Silence. La jeune sorciĂšre Ă©tait pieds nus et ceux-ci frĂŽlĂ© le sable froid. Le soleil Ă©tait couchĂ© depuis plusieurs minutes et le vent frais Ă©tait Ă  prĂ©sent dans l’environnement. Riku sentait les grains contourner ses orteils de Anglo-Japonaise. Sourire. Elle Ă©tait bouleversĂ©es par des pensĂ©es moroses mais elle gardait tout de mĂȘme le sourire. Chose qu’elle n’avait pas faite depuis longtemps, alors que l’Ancienne Serdaigle Ă©tait toujours ainsi Ă  l’époque, pour ne pas inquiĂ©ter ses amis. Elle ne se plaignait jamais, ne rĂąler sous aucun prĂ©texte. On ne pourrait pas aller jusqu’à dire qu’elle est l’opposĂ©, mais elle a quelque peu changĂ© depuis qu’elle avait revus son pĂšre. Mais au fond elle Ă©tait la mĂȘme, des tas de questions hanter son esprit. Et si je n’étais pas allĂ© le voir, comme serais-je ? » ; Pourquoi moi ? » ; c’était totalement inutile, mais elle ne pouvait s’en empĂȘcher. Soupir. Puis la Chef des Mangemorts leva les yeux, elle regarda une nouvelle fois le jeune homme qui Ă©tait prĂ©sent sous ses yeux bleus. Silence. Il semblait froid, mais il avait comprit. Peut ĂȘtre que comme ça, Riku semblait si innocente qu’il n’y avait pas songĂ©. Mais c’était fait. Brian semblait hĂ©sitant, alors que Riku avait un petit sourire ambigu. Silence. Le Mangemort ne semblait pas vouloir rĂ©pondre, mais tout ce qui comptait, c’était qu’il sache le nom de la personne qui Ă©tait devant lui. DĂšs que ce fut fait, Riku desserra l’étreinte qu’elle avait sur sa baguette et fit ressortir ses mains dĂ©nudĂ©es qui furent exposĂ©es au vent d’automne. Silence. Hum, aprĂšs que Riku eut posĂ©e une nouvelle question, Brian semblait indĂ©cis, et cela accentuĂ© encore plus le cotĂ© curieux de la jeune femme, surtout suite Ă  sa – Je ne pensais pas rencontrer quelqu’un ici, pourquoi es tu lĂ  ? »Brian – Je vous proposerais bien ce que les autres appellent communĂ©ment mais voyez-vous, ce mot n'existe pas ou plutĂŽt plus chez moi. Cependant vous m'en voyez terriblement navrĂ© Mlle Harada. Pour votre question, je ne suis ici pour quelconques raisons particuliĂšre que vous n'ayez besoin de savoir ... et j'oserais Ă©galement vous retournez la pareille. »Silence. Les personnes normales auraient put pensĂ© que c’était arrogant, insolent, et tout les adjectif du mĂȘme genre. Surtout si cela Ă©tait pour son maĂźtre. Mais Riku restait normale, muette, mais normale. Elle avait mĂȘme toujours son petit sourire qui en devenait mĂȘme inquiĂ©tant tellement il persistait. Mais, elle rĂ©flĂ©chissait quoi rĂ©pondre Ă  son tour. Que dire, elle ne voulait pas expliquer le pourquoi elle se trouvait lĂ , ici, sur cette plage abandonnĂ©e. Tout comme Brian. Elle avait ses secrets et prĂ©fĂ©rĂ©s et les garder. Et puis, elle n’était pas dans l’obligation de lui rĂ©vĂ©ler, au contraire. Logique. Soupir. Et puis ces excuses, Riku ne se souvenait plus la derniere fois qu’elle en avait faite elle aussi. Sourire. Cela remonte Ă  bien longtemps, de longues annĂ©es. Surement pour Amy, la derniere fois qu’elle lui avait parler avant de partir 
......................~ DĂ©but du Flash Back ~......................Nuit noire. Une personne Ă©veillĂ©e dans les Jardins du Manoir des Shakespeare. Comme chaque Ă©tĂ© aprĂšs Poudlard. Riku. Mais Ă  prĂ©sent, celle-ci Ă©tait majeure. Elle avait fait prĂ©cĂ©demment sa derniĂšre annĂ©e. Elle avait finalement choisi d’y aller. LĂ -Bas. Loin. TrĂšs loin. Un regard mĂ©lancolique. C’était l’ancienne Riku. Celle qui Ă©tait timide et qui avait peur de blesser les gens. Hana~Bi, Mort. Elle le reprĂ©sentait si bien Ă  prĂ©sent. Plus qu’auparavant. Mais ce soir lĂ , elle Ă©tait prĂȘte. Regardant la le ciel. Celui-ci Ă©tait vide. Sans Ă©toile ni Lune. Tout Ă©tait plongĂ© dans la pĂ©nombre des plus totale. Ceci Ă©tait-il fait exprĂšs ? Peut-ĂȘtre. Son Balais entre les jambes, l’Ancienne Serdaigle s’envola dans les airs pour rejoindre la fenĂȘtre d’Amy. Jeune fille brune endormie. Si belle. Si innocente. Si .. – Amy.. Excuses moi 
 Ne m’oublis pas. Je t’aime tant moi .. »Dit-elle en regardant le visage endormie de la jeune Shakespeare de six ans son aĂźnĂ©e. C’était comme lui briser le cƓur qui de se sĂ©parer d’elle. Et c’est ce qu’il se produisit durant les trois annĂ©es qui suivirent. PrivĂ©e de son amour. De son Espoir. De sa raison de vivre. La Future Chef des Mangemorts n’étaient rien. Elle pouvait ĂȘtre si ..Arrogante. Si Cruelle. Mais que faire si elle n’était pas lĂ . Mais un soupir, un bref soupir de la jeune femme. Riku la regarda une derniĂšre fois. Une fois qu’elle n’oubliera jamais. Sonatine et Hana~Bi. Toujours. LĂ  elle se retourna. Larmes et regrets. Mais elle avançait. Profitant certainement de son dernier vol en balais. Car ce n’est pas lĂ  oĂč elle irait que l’amusement serait prĂ©sent. Certainement pas. Voila. Elle Ă©tait sortie des Jardins. Ses chaudes larmes. Tel un ocĂ©an qui ne cessait de couler. Elle resta des nuits et des nuits ainsi. Lorsqu’elle se rendit finalement lĂ -bas. Chez lui. Cet homme.......................~ Fin du Flash Back ~......................Silence. Regards nostalgiques. Paroles – Les excuses sont inutiles, il n’y a que les actes qui servent. Et chacun a droit Ă  ses secrets. »Dit-elle calmement. Soupirs. Que dire, la jeune femme ne voulait pas s’expliquer pour sa venue ici, elle ne prĂ©fĂ©rait mĂȘme plus y penser, le Flash Back qu’elle avait vu venait de l’anĂ©antir, avec son Sourire avec. Silence. Un regard, il comprendra qu’elle ne veut pas en parler. Silence. Bien qu’elle ne connaisse Brian que depuis peu vu que c’est un nouveau Mangemort, Riku eut l’impression de connaĂźtre cette personnalitĂ© et ce visage depuis bien longtemps 
_________________uc_ Brian McInvitĂ©Sujet Re Et si le temps s'arrĂȘtait pour seulement une soirĂ©e ? {PV} Dim 15 Oct 2006 - 1429 { Il Ă©tait lĂ , debout sur cette plage au sable fin mais froid depuis au moins 5 bonnes minutes, face Ă  celle que beaucoup considĂ©raient comme le maĂźtre suprĂȘme qui dirigera sans doute un de ces jours ce misĂ©rable monde, qui sait si elle pourra le rendre meilleur ... SĂ»rement avec beaucoup de travail, en Ă©tablissant la persĂ©cution et la peur Ă  travers l'esprit de chacun mais qu'importe, si seulement elle savait, si elle savait la raison pour laquelle il a Ă©tĂ© contraint Ă  devenir mangemort, Ă  entrer dans ses rangs si connus pour leur aspiration de crainte aux autres ... Si elle savait qu'un jour il devrait faire quelque chose qui peut-ĂȘtre l'obligera Ă  l'abandonner, elle, celle Ă  qui il a prĂȘtĂ© serment. Non pas l'abandonner pour le trahir, bien loin de lĂ , non peut-ĂȘtre qu'il devra se sacrifier le jour oĂč il devra en terminer avec tout cela, le jour oĂč il les fera tous tomber les uns aprĂšs les autres, peut-ĂȘtre qu'il ne rĂ©sistera pas Ă  la vue de cette femme, celle pour qui il est aujourd'hui mangemort, ou peut-ĂȘtre qu'il n'y arrivera jamais, que la chef des mangemorts s e rendra compte qu'il bosse sur quelque chose d'autre Ă  cĂŽtĂ© de leurs petites histoires de domination du monde sorcier et moldu rĂ©unis, qu'elle se rendra compte qu'il n'a pas prĂȘtĂ© serment uniquement dans le but de la suivre, elle et les autres dans leurs plans face Ă  l'Ordre du phĂ©nix, qu'il y a une autre raison Ă  cela, et que finalement elle viendra Ă  l'exĂ©cuter dans d'atroces souffrances pour lui avoir menti dans le passĂ©. Mais non, impossible. Comment la chef des mangemorts elle-mĂȘme aurait-elle pĂ»t se tromper tant Ă  ce point ? Comment aurait-elle pĂ»t accepter un homme qui lui Ă©tait totalement inconnu Ă  devenir mangemort, Ă  ĂȘtre mis au courant de chaque renseignements de leurs petite sociĂ©tĂ© sans qu'elle ne s'aperçoivent qu'il y avait quelque chose d'autre lĂ -dessous ?! Une fois de plus, je le rĂ©pĂšte, c'est impossible ! Mais alors, si ça se trouve, elle est au courant, elle saurait donc que Brian McMahon lui aurait mentit dans l'unique but d'obtenir une protection de nature d'identitĂ©, de façon Ă  ce qu'on ne le retrouve pas, ou du moins qu'on ne le retrouve beaucoup moins facilement grĂące Ă  sa couverture de mangemort. Ceux Ă  qui on n'osait chercher des histoires, Ă  part peut-ĂȘtre l'Ordre du PhĂ©nix, mais qu'importe.. Brian n'avait pas eĂ»t tellement de problĂšmes avec cela, il Ă©tait mangemort depuis peu et n'avait pas reçut d'ordre ni de missions de la part de Riku Harada, celle qui se trouvait en ce moment-mĂȘme juste en face de lui, sur, sur une plage ... il ne pouvait donc pas ĂȘtre trĂšs connu Ă  Londres ou en Angleterre. Bien que sa force n'en restait pas moindre, soyez-en sĂ»r. Mais alors, si elle le savait, Ă©tait-elle lĂ  en train de jouer un jeu pour lui faire croire qu'elle Ă©tait en plein moment de faiblesse pour mieux l'atteindre et finir par le torturer mentalement pour le laisser mourir, ici, sur une plage, remarquez qui ne rĂȘverait pas de mourir dans un pareil endroit que dans un lit d'hĂŽpital ou dans une rue abandonnĂ©e de la ville oĂč vivent les rats et toutes autres sortes de bestioles immondes ? ParanoĂŻa ! C'Ă©tait ça, il devenait de plus en plus paranoĂŻaque Ă  se poser toutes ces questions, Ă  s'imaginer toutes ces histoires dans sa tĂȘte, il fallait absolument qu'il s'arrĂȘte et maintenant, sinon il risquait de faire quelque chose qui lui attirerait plus d'ennuis qu'autre chose ... ArrĂȘte-toi Brian, ARRETE-TOI MERDE !! }- Brian - Vous n'ĂȘtes pas bĂȘte Mlle Harada, bien au contraire, je sais du moins je suis quasiment sĂ»r que vous savez que je doute ... Que je doute que votre apparence qui m'est aujourd'hui donnĂ©e ne soit fausse, je doute que je puisse, vous, rencontrer dans un pareil endroit. Je vis peut-ĂȘtre mes derniĂšres heures mais si c'est le cas, sachez que je suis ravie de les passer en votre compagnie.{ Brian hĂ©sitait, devait-il se battre pour finalement ĂȘtre quasiment certain de mourir contre elle seule ou aidĂ©e par d'autres mangemorts qu'elle aurait appelĂ©, devait-il le faire et perdre tout ce qu'il avait fait jusque ici dans l'unique but de mettre fin Ă  toutes ces histoires qui commençaient vraiment Ă  le bouffer ? Ou devait-il tout simplement continuer, faire comme si de rien n'Ă©tait, comme si cette femme Ă©tait aveugle et qu'elle n'Ă©tait au courant de rien.. cette fois-ci dans l'unique but de parvenir Ă  la fin de sa quĂȘte, de sa destinĂ©e, ce dont pourquoi il est lĂ  aujourd'hui d'ailleurs ... ? Le jeune homme s'asseya, il stoppa net la conversation pour s'asseoir dans le sable de cette plage, pour lĂącher un soupir tout en regardant la mer, en essayant de tout oublier, l'espace d'un instant, d'un tout petit instant, peut-ĂȘtre en faisant comme si cette femme, Ă  cĂŽtĂ© de lui n'Ă©tait pas Riku Harada, mais quelqu'un d'autre, peut-ĂȘtre mĂȘme celle qu'il avait aimĂ© durant sa jeunesse. Et si ça marchait, s'il parvenait Ă  tout effacer pour voir ça, en ce moment-mĂȘme. Au moins il mourrait heureux ...}- Brian - Oubliez.. Oubliez-tout, je deviens fou, vos yeux ils ... non plutĂŽt je suis fou.{ Le jeune homme ne termina pas la moitiĂ© de sa phrase, il changea tout simplement de sujet pour en arriver Ă  une conclusion assez frappante. Mais il la voyait autrement, ce n'Ă©tait plus Riku Hara, la chef des mangemorts, sa chef en l'occurence, dans son esprit, c'Ă©tait quelqu'un d'autre ... } Sakura R. HaradaMaraudeuse en de messages 1383Age 31Maison Ancienne d'inscription 25/04/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Co-FondatriceFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Et si le temps s'arrĂȘtait pour seulement une soirĂ©e ? {PV} Jeu 26 Oct 2006 - 1716 { Ton RP est vraiment magnifique, le mien fait pĂąle figure Ă  cotĂ© >._< { Brian qui espĂ©rant tant pouvoir lire dans ces yeux le seul petit espoir qui lui permettrait de savoir s’il n’avait pas tort de fuir encore une fois, n’était-il donc pas capable une fois pour toute de rester aux cĂŽtĂ©s de quelqu’un surtout que cette fois-ci, cette personne Ă©tait diffĂ©rente de toutes les autres rĂ©unies
 Justement, s’il l’aimait rĂ©ellement il devait partir de cet endroit et faire comme s’il ne s’était jamais rien passĂ© avec Riku, c’était la meilleure chose Ă  faire s’il ne voulait pas s’attirer plus d’ennuis qu’il n’en avait dĂ©jĂ  et pourtant
 Il ne parvenait pas Ă  se faire Ă  l’idĂ©e d’abandonner tout ça derriĂšre lui, pas aprĂšs tout ce qu’il lui avait dit, ce qu’il avait entendu c’était tout simplement inimaginable pour lui. Quel homme normalement constituĂ© aurait pĂ»t laisser une chance pareille ? Cette Harada Ă©tait comme lui, Ă  l’identique, c’était en quelque sorte son jumeau au fĂ©minin. Ils n’avaient pas besoin de parler pour se comprendre et cette fois encore il voyait qu’elle n’était pas du tout du mĂȘme avis que lui mais comment aurait-elle pĂ»t l’ĂȘtre de toute maniĂšre ? Au fond elle ne savait rien de lui et c’était rĂ©ciproque, ils avaient beau se faire de belles promesses, l’amour ce n’est pas ça
 }Hana-Bi – Brian ... Tu la sens cette douleur ? Cette douleur qui pourrait mĂȘme t'empĂȘcher de respirer ? Crois moi, si tu pars, nous la ressentiront tous les deux jusqu'Ă  notre nouvelle rencontre. Ne pars pas Brian. Reste avec moi ... »{ Elle avait la main posĂ© sur le torse de Brian, au niveau de son cƓur, une longue traĂźnĂ©e noire sur la joue de sa bien-aimĂ©e interpella le regard de ce dernier
 Elle pleurait de nouveau comme quand il l’avait croisĂ© au tout dĂ©but de leur rencontre. Etaient-ils en train de repartir Ă  zĂ©ro ? Non. Le pire dans tout c’est qu’elle avait mĂ©chamment raison, il avait terriblement mal et loin de lui l’idĂ©e d’imposer ce sentiment horrible Ă  Riku
 Il aurait prĂ©fĂ©rĂ© tout endosser aprĂšs tout s’il en Ă©tait lĂ  Ă  cet instant prĂ©cis, c’était de sa faute. Lui qui Ă©tait partit pour se changer un peu les idĂ©es, voilĂ  qu’il se retrouvait aux bras d’une femme pour qui il serait prĂšs Ă  crever d’ailleurs il n’en Ă©tait pas trĂšs loin en ce moment. Son cƓur lui faisait endurer ce qu’il n’avait dĂ»t supporter une seule fois dans toute sa vie
 Il ne se savait pas atteint Ă  ce point puis Brian se reprit et inspira un grand coup tout en tentant de laisser plus ou moins apparaĂźtre un faible sourire sur ses lĂšvres histoire de ne pas inquiĂ©ter Riku ou plutĂŽt de ne pas lui laisser supposer qu’il Ă©tait juste en train de tout faire pour changer de sujet de conversation ce qui Ă©videmment n’était pas le cas. Il souffrait Ă  mort et la seule chose qui aurait pĂ»t le calmer, c’était peut ĂȘtre d’oublier toutes ces conneries pour partir loin d’ici avec celle qu’il aimait plus que tout au monde. Il ne le fit pas, non, il posa juste sa main gauche sur celle de Riku qui Ă©tait toujours sur son torse
 Il n’allait pas tarder Ă  s’écrouler si ça continuait de cette façon. Transplane bordel ! } Brian - Riku
 »{ Brian prononça d’une voix douce & tendre comme il n’avait pas tellement l’habitude de prendre ordinairement, il retira sa main qui Ă©tait toujours posĂ©e sur celle de Riku pour la placer autour du cou de cette derniĂšre
 Il approcha lentement sa tĂȘte et dĂ©posa un lĂ©ger baisĂ©. Puis lĂ , plus rien
 Le grand vide, juste du noir. Il se sentit tomber Ă  terre sans pouvoir rĂ©agir comme s’il n’avait plus aucune force en lui pour pouvoir se tenir debout. Peu Ă  peu sa main se dĂ©tacha du cou de son - ange - et il s’étala dans le sable totalement inconscient, sa baguette Ă  quelques mĂštres qui s'Ă©tait apparemment apprĂštĂ©e Ă  utiliser un sort sans en avoir eut le temps
 A prĂ©sent, Riku Ă©tait loin, trĂšs loin. } Sakura R. HaradaMaraudeuse en de messages 1383Age 31Maison Ancienne d'inscription 25/04/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Co-FondatriceFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Et si le temps s'arrĂȘtait pour seulement une soirĂ©e ? {PV} Mar 2 Jan 2007 - 142 { Meuh nan, c'est Perfect .Je poste la suite chez Rik' et j'envois le lien Ă  la suite. }Aie. Elle avait si mal au coeur. C'Ă©tait si dur, la jeune Harada tremblait de tous ses membres. S'il partait, qu'est ce qu'elle pourrait bien faire ? Rester Ă  Poudlard et l'attendre ? En vain. Sans aucunes nouvelles, sans mĂȘme savoir s'il va bien ? Impossible. Ça faisait trop mal Ă  la longue. Ça aboutirait plus Ă  de la destruction qu'Ă  de l'amour. Il fallait ĂȘtre Maso pour ĂȘtre apte Ă  ce genre de scĂšne. Hum. Souffrance. Riku n'attendait qu'une chose, sa rĂ©ponse. Elle en avait plus qu'assez d'attendre. Oh Brian. Wake me up. Don't forget. Don't forget. Brian ? Le sorcier posa sa main sur son coeur, lĂ  oĂč se trouvait dĂ©jĂ  celle de Riku. Il la serra, lui donnant espoir. Gardant l'Ă©treinte un moment. Oh Brian. Reste. Ne t'en va pas. Hum. Si seulement la paix rĂ©gnait, qu'ils aient pas Ă©tĂ© tous les deux confrontĂ©s Ă  de telles existences, tout aurait Ă©tĂ© beaucoup plus simple. Hum... Chut. Les larmes sur le visage de la Directrice des Serdaigles perlĂšrent d'avantage. Elle ne contrĂŽlait plus son corps. Il faisait tout ce qu'il voulait d'elle. Il la faisait pleurer, lui donnĂ© une personne a aimĂ©, pour qui elle serait capable de tout faire. Tout. Mourir. Tuer. Tout. La jeune femme Ă©tait Ă  bout, elle ne pouvait tenir plus longtemps avec une telle tension. C'Ă©tait impossible. Hum. Surprise. Brian s'approcha d'avantage d'elle. Alors il restait ? Ou bien ...Brian – Riku
 »Wow. Ses yeux, elle les voyait de nouveau, il la regardait, encore. Regardes moi. Regardes moi toujours, ne m'oublies jamais. N'ai que moi en tĂȘte. Hum. Chut. C'Ă©tait si romantique. Perfect. Yeux dans les yeux. Pour toujours. Quoi ? Alors que Brian posait sa main sur le coup de Riku, celui-ci commence Ă  fermer les yeux, et Ă  s'Ă©crouler sur le corps frĂȘle de l'ancienne Serdaigle. Brian ? Apparemment il s'Ă©tait Ă©vanouis. Riku ne fut pas paniquĂ©e, elle comprit d'oĂč venait le problĂšme. C'Ă©tait sĂ»rement dut au trop plein de sentiments. Son pouls Ă©tait plutĂŽt fort. Elle s'approcha de son bien aimĂ©, et le serra dans ses bras, avant de lui glisser Ă  l'oreille mĂȘme s'il ne l'entend pas forcĂ©ment Hana-Bi – Tu m'en auras fais voir des frayeurs en une soirĂ©e. Mais je t'aime. Je t'aime Ă  la folie. » Avoua-t-elle en lui donnant un baisĂ© sur la Hum. Riku serra fort Brian contre elle, elle prit bien soin de ne pas oublier la baguette de ce dernier, et serra son corps contre le sien. LĂ , en ce moment prĂ©cis, elle Ă©tait heureuse. Elle savait qu'elle Ă©tait capable de tout. Que l'amour donnĂ© des ailes. Et que les siennes devenaient de plus en plus grande. De plus en plus branche. Adieu le noir. Adieu le Mal. Maintenant, elle fera tout, tout ce qui est en son pouvoir pour que cette histoire se termine en " Happy End " . Tout ça, car elle l'aimait, elle l'aimait. Point barre. Riku resserra d'avantage son Ă©treinte. Se mĂ©morant Ă  tout jamais le paysage. Ce sable chaud qu'elle avait frĂŽler toute la nuit, cette plage dans laquelle elle aurait put se baigner. Tout. Puis soudain Op. Transplanage. Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Et si le temps s'arrĂȘtait pour seulement une soirĂ©e ? {PV} Et si le temps s'arrĂȘtait pour seulement une soirĂ©e ? {PV} Page 1 sur 1 Sujets similaires» ~Si seulement...[PV]» Si seulement... [PV Shaylee]Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumMÉFAITS ACCOMPLISℱ Corbeille &&. ANCIENS RPSauter vers
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